VASOBRAL - Expérimentalement, l'administration orale de dihydroergocryptine + caféine accroît la circulation sanguine dans les capillaires.
Le médicament VASOBRAL appartient au groupe appelés Alcaloïdes dérivé de l'ergot de seigle
Cette spécialité pharmaceutique a un code ATC - C04AE51
CHIESI (FRANCE) - Vasobral comprimé 40 mg+4 mg , 1995-05-29
CHIESI (FRANCE) - Vasobral solution buvable 0,10 g+1 g , 1990-12-06
Vasobral
comprimé 0,10 g+1 g
CHIESI (FRANCE)
Vasobral
solution buvable 0,10 g+1 g
CHIESI (FRANCE)
Traitement d'appoint à visée symptomatique du déficit pathologique cognitif et neurosensoriel chronique du sujet âgé (à l'exclusion de la maladie d'Alzheimer et des autres démences).
Traitement d'appoint du syndrome de Raynaud.
Expérimentalement, l'administration orale de dihydroergocryptine + caféine accroît la circulation sanguine dans les capillaires.
In vitro, dans des conditions reproduisant les effets de l'ischémie, cette association augmente la déformabilité des hématies à des concentrations compatibles avec celles retrouvées en thérapeutique humaine.
Après administration orale, l'absorption de la dihydroergocryptine en présence de caféine est rapide (Tmax: 0,5 heure).
La concentration maximale est faible (Cmax: 227 pg/ml) après ingestion de 8 mg de dihydroergocryptine et le temps de demi-vie plasmatique est inférieur à 2 heures.
Possibilité de nausées, surtout en cas de prise à jeun.
Très rarement: valvulopathie cardiaque (y compris régurgitation valvulaire) et troubles associés (péricardite et épanchement péricardique).
En raison de la présence de glycérol dans la solution: possibilité de céphalées, troubles digestifs et diarrhée.
Hypersensibilité à l'un des constituants de la solution.
Pour le traitement à long terme: signe de valvulopathie cardiaque décelé lors de l'échocardiographie préalable au traitement.
Ce médicament est principalement utilisé chez le sujet âgé, pour lequel le risque de grossesse est absent.
En l'absence de données pertinentes, l'utilisation de cette spécialité est déconseillée pendant la grossesse ou l'allaitement.
Un surdosage peut être à l'origine de vomissements.
Liées à l'alcool (0,092 g pour 2 ml), l'association de ce médicament est à prendre en compte avec:
+ Les médicaments provoquant une réaction antabuse avec l'alcool
Effet antabuse: (chaleur, rougeur, vomissement, tachycardie), disulfirame, céfamandole, céfopérazone, latamoxef (antibactériens-céphalosporines), chloramphénicol (antibactérien-phénicolé), chlorpropamide, glibenclamide, glipizide, tolbutamide (antidiabétiques-sulfamides hypoglycémiants), griséofulvine (antifongique), nitro-5-imidazolés (métronidazole, ornidazole, secnidazole, tinidazole), kétoconazole, procarbazine (cytostatique).
+ Les dépresseurs du système nerveux central
Mises en garde spéciales
Chez les patients traités par dihydroergocryptine, en particulier dans le cas de traitement à long terme et à forte dose, des épanchements pleuraux et péricardiques, ainsi que des fibroses pleurales et pulmonaires et des péricardites constrictives ont parfois été rapportées. Les patients présentant des troubles pleuro-pulmonaires inexpliqués doivent subir un examen approfondi et l'arrêt du traitement par dihydroergocryptine doit être envisagé.
De rares cas de fibrose rétropéritonéale ont été signalés, en particulier avec des traitements à long terme et à forte dose. Afin de garantir un diagnostic de la fibrose rétropéritonéale à un stade encore réversible, il est recommandé d'en contrôler les manifestations (par ex. douleurs dorsales, dème des membres inférieurs, insuffisance rénale) chez cette catégorie de patients. Le traitement par dihydroergocryptine doit être interrompu si des modifications fibrotiques du rétropéritoine sont diagnostiquées ou suspectées.
L'attention des sportifs est attirée sur le fait que cette spécialité contient un principe actif pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopages.
Précaution d'emploi
Eviter la prise à distance des repas .
Analogues en Russie
Rien trouvé
Analogues en France
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