Résumé des caractéristiques du médicament - ROVAMYCINE

Langue

- Français

ROVAMYCINE

ROVAMYCINE - Antibiotique antibactérien de la famille des macrolides.

Le médicament ROVAMYCINE appartient au groupe appelés Macrolides naturels

Cette spécialité pharmaceutique a un code ATC - J01FA02

Substance active: SPIRAMYCINE
Titulaires de l'autorisation de mise sur le marché:

SANOFI AVENTIS FRANCE (FRANCE) - Rovamycine comprimé pelliculé 0,75 mill. UI , 1983-03-21

SANOFI AVENTIS FRANCE (FRANCE) - Rovamycine comprimé pelliculé 1 500 000 UI , 1983-03-21

SANOFI AVENTIS FRANCE (FRANCE) - Rovamycine lyophilisat pour préparation injectable 1 500 000 UI , 1987-03-30

Montrer plus >>>

Rovamycine 750 000 UI

comprimé pelliculé 750 000 UI

SANOFI AVENTIS FRANCE (FRANCE)

Rovamycine 1 500 000 UI

comprimé pelliculé 750 000 UI

SANOFI AVENTIS FRANCE (FRANCE)

Rovamycine 1 500 000 UI

lyophilisat pour préparation injectable 750 000 UI

SANOFI AVENTIS FRANCE (FRANCE)

Rovamycine 3 000 000 UI

comprimé pelliculé 750 000 UI

SANOFI AVENTIS FRANCE (FRANCE)

Rovamycine GRANDS ENFANTS 1 500 000 UI

granulés pour suspension buvable 750 000 UI

SANOFI AVENTIS FRANCE (FRANCE)

Rovamycine NOURRISSONS 375 000 UI

granulés pour suspension buvable 750 000 UI

SANOFI AVENTIS FRANCE (FRANCE)

Rovamycine NOURRISSONS 375 000 U.I./5 ml

sirop 750 000 UI

SANOFI AVENTIS FRANCE (FRANCE)

Rovamycine NOURRISSONS ET ENFANTS 750 000 UI

granulés pour suspension buvable 750 000 UI

SANOFI AVENTIS FRANCE (FRANCE)



Сlassification pharmacothérapeutique :




Formes pharmaceutiques et Dosage du médicament

  • comprimé pelliculé : 0,75 mill. UI, 1 500 000 UI, 3 000 000 UI
  • lyophilisat pour préparation injectable : 1 500 000 UI
  • granulés pour suspension buvable : 1 500 000 UI, 375 000 UI, 750 000 UI
  • sirop : 7 500 000 UI

Dosage

Posologie
Ce médicament est réservé à l'adulte.
Chez le sujet aux fonctions rénales normales :
1,5 M U.I. toutes les 8 heures (soit 4,5 M U.I. par jour) en perfusion lente.
En cas d'infection sévère, la posologie peut être doublée.
Dès que l'état clinique du patient le permet, le relais peut être assuré par la voie orale.
Chez le sujet insuffisant rénal :
Aucun ajustement posologique n'est nécessaire.
Mode d'administration
Dissoudre le contenu d'un flacon à l'aide de 4 ml d'eau pour préparations injectables. Administrer en perfusion lente d'une heure dans un volume minimal de 100 ml de solution injectable de glucose à 5 %.

Indications

Elles procèdent de l'activité antibactérienne et des caractéristiques pharmacocinétiques de la spiramycine. Elles tiennent compte à la fois des études cliniques auxquelles a donné lieu le médicament et de sa place dans l'éventail des produits antibactériens actuellement disponibles.

Elles sont limitées aux infections dues aux germes définis comme sensibles:

angines documentées à streptocoque A bêta-hémolytique, en alternative au traitement par bêta-lactamines, particulièrement lorsque celui-ci ne peut être utilisé.

sinusites aiguës. Compte-tenu du profil microbiologique de ces infections, les macrolides sont indiqués lorsqu'un traitement par une bêta-lactamine est impossible.

surinfections des bronchites aiguës.

exacerbations des bronchites chroniques.

pneumopathies communautaires chez des sujets:

sans facteurs de risque,

sans signes de gravité clinique,

en l'absence d'éléments cliniques évocateurs d'une étiologie pneumococcique.

En cas de suspicion de pneumopathie atypique, les macrolides sont indiqués quels que soient la gravité et le terrain.

infections cutanées bénignes: impétigo, impétiginisation des dermatoses, ecthyma, dermohypodermite infectieuse (en particulier, érysipèle), érythrasma.

infections stomatologiques.

infections génitales non gonococciques.

chimioprophylaxie des rechutes du RAA en cas d'allergie aux bêta-lactamines.

toxoplasmose de la femme enceinte.

prophylaxie des méningites à méningocoque en cas de contre-indication à la rifampicine:

le but est d'éradiquer le germe (Neisseria meningitidis) du nasopharynx,

la spiramycine n'est pas un traitement de la méningite à méningocoque,

elle est préconisée en prophylaxie chez:

§ le malade après son traitement curatif et avant sa réintégration en collectivité, § les sujets ayant été exposés aux sécrétions oropharyngées dans les dix jours précédant son hospitalisation.

Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l'utilisation appropriée des antibactériens.

Pharmacodynamique

Antibiotique antibactérien de la famille des macrolides.

SPECTRE D'ACTIVITE ANTIBACTERIENNE

Les concentrations critiques séparent les souches sensibles des souches de sensibilité intermédiaire et ces dernières, des résistantes :

S ≤ 1 mg/l et R > 4 mg/l

La prévalence de la résistance acquise peut varier en fonction de la géographie et du temps pour certaines espèces. Il est donc utile de disposer d'informations sur la prévalence de la résistance locale, surtout pour le traitement d'infections sévères. Ces données ne peuvent apporter qu'une orientation sur les probabilités de la sensibilité d'une souche bactérienne à cet antibiotique.

Lorsque la variabilité de la prévalence de la résistance en France est connue pour une espèce bactérienne, elle est indiquée dans le tableau ci-dessous :

Catégories

Fréquence de résistance acquise en France (>10%) (valeurs extrêmes)

ESPECES SENSIBLES

Aérobies à Gram positif

Bacillus cereus

Corynebacterium diphtheriae

Entérocoques

50 - 70 %

Rhodococcus equi

Staphylococcus méti-S

Staphylococcus méti-R *

70 - 80 %

Streptococcus B

Streptococcus non groupable

30 - 40 %

Streptococcus pneumoniae

35 - 70 %

Streptococcus pyogenes

16 - 31 %

Aérobies à Gram négatif

Bordetella pertussis

Branhamella catarrhalis

Campylobacter

Legionella

Moraxella

Anaérobies

Actinomyces

Bacteroides

30 - 60 %

Eubacterium

Mobiluncus

Peptostreptococcus

30 - 40 %

Porphyromonas

Prevotella

Propionibacterium acnes

Catégories

Fréquence de résistance acquise en France (>10%) (valeurs extrêmes)

Autres

Borrelia burgdorferi

Chlamydia

Coxiella

Leptospires

Mycoplasma pneumoniae

Treponema pallidum

ESPÈCES MODÉRÉMENT SENSIBLES

(in vitro de sensibilité intermédiaire)

Aérobies à Gram négatif

Neisseria gonorrhoeae

Anaérobies

Clostridium perfringens

Autres

Ureaplasma urealyticum

ESPÈCES RÉSISTANTES

Aérobies à Gram positif

Corynebacterium jeikeium

Nocardia asteroïdes

Aérobies à Gram négatif

Acinetobacter

Entérobactéries

Haemophilus

Pseudomonas

Anaérobies

Fusobacterium

Autres

Mycoplasma hominis

La spiramycine possède une activité in vitro et in vivo sur Toxoplasma gondii.

* La fréquence de résistance à la méticilline est environ de 30 à 50 % de l'ensemble des staphylocoques et se rencontre surtout en milieu hospitalier.

Montrer plus

Mécanisme d'action

Pharmacocinétique

Absorption

L'absorption de la spiramycine est rapide, mais incomplète. Elle n'est pas modifiée par la prise d'aliments.

Distribution

Après administration per os de 6 M.U.I., la concentration sérique maximale est de 3,3 mcg/ml.

La demi-vie plasmatique est voisine de 8 heures.

La spiramycine ne pénètre pas dans le LCR. Elle passe dans le lait maternel.

La liaison aux protéines plasmatiques est faible (10 %).

Il existe une excellente diffusion salivaire et tissulaire (poumons: 20 - 60 mcg/g, amygdales: 20 - 80 mcg/g, sinus infectés: 75 - 110 mcg/g, os: 5 - 100 mcg/g).

Dix jours après l'arrêt du traitement, il reste 5 à 7 mcg/g de principe actif dans la rate, le foie, les reins.

Les macrolides pénètrent et s'accumulent dans les phagocytes (polynucléaires neutrophiles, monocytes, macrophages péritonéaux et alvéolaires).

Les concentrations intraphagocytaires sont élevées chez l'homme.

Ces propriétés expliquent l'activité des macrolides sur les bactéries intracellulaires.

Biotransformation

La spiramycine est métabolisée dans le foie, avec formation de métabolites inconnus chimiquement mais actifs.

Élimination

Urine: 10 % de la dose ingérée.

Elimination biliaire très importante: concentrations 15 à 40 fois supérieures aux concentrations sériques.

La spiramycine est présente en quantité non négligeable dans les fécès.

Montrer plus

Informations supplémentaires sur la pharmacocinétique du médicament ROVAMYCINE en fonction de la voie d'administration

Effets indésirables

Les effets indésirables sont présentés par système classe-organe et par ordre de fréquence. Les fréquences sont définies comme suit : très fréquent (≥ 1/10) ; fréquent (≥ 1/100, < 1/10) ; peu fréquent (≥ 1/1,000 ; < 1/100) ; rare (≥ 1/10,000, < 1/1,000) ; très rare (< 1/10,000), fréquence indéterminée (ne peut être estimée à partir des données disponibles).

Système cardiovasculaire

Fréquence indéterminée : allongement de l'intervalle QT, arythmie ventriculaire, tachycardie ventriculaire, torsade de pointes pouvant conduire à un arrêt cardiaque

Système gastro intestinal

Fréquent : douleur abdominale, nausées, vomissements, gastralgies, diarrhée.

Très rares : colites pseudo-membraneuses.

Peau et annexes

Fréquent : éruptions.

Fréquence indéterminée : urticaire, prurit, oedème de Quincke, chocs anaphylactiques Syndrome de Stevens-Johnson, syndrome de Lyell, pustulose exanthématique aiguë généralisée (PEAG) .

Système nerveux central et périphérique

Très fréquent : paresthésies occasionnelles et transitoires.

Fréquent : dysgueusie transitoire.

Manifestations hépatiques

Très rares cas d'anomalies des tests hépatiques.

Fréquence indéterminée : cas d'hépatite cholestatique, mixte ou plus rarement cytolytique.

Lignée sanguine

Fréquence indéterminée : leucopénie, neutropénie, anémie hémolytique .

Contre-indications

Ce médicament NE DOIT JAMAIS ETRE UTILISE dans les situations suivantes :

chez les sujets à risque de « QT long » :

syndrome du QT long congénital connu ou antécédent familial de syndrome du QT long congénital (sauf si un ECG a éliminé ce diagnostic),

ou allongement acquis connu de l'intervalle QT d'origine médicamenteuse, métabolique ou cardiovasculaire.

en association avec les médicaments donnant des torsades de pointes :

les antiarythmiques de classe Ia (quinidine, hydroquinidine, disopyramide),

les antiarythmiques de classe III (amiodarone, sotalol, dofétilide, ibutilide),

le sultopride (neuroleptique benzamide),

autres : arsénieux, diphémanil, dolasétron IV, mizolastine, lévofloxacine, moxifloxacine, prucalopride, torémifène, vincamine IV, érythromycine IV, méquitazine, citalopram, disopyramide, dofétilide, dompéridone, dronédarone, escitalopram, hydroquinidine, vandétanib .

Grossesse/Allaitement

Grossesse

L'utilisation de la spiramycine peut être envisagée au cours de la grossesse si besoin. En effet, l'utilisation large de la spiramycine au cours de la grossesse n'a pas révélé, à ce jour, d'effet malformatif ou fœtotoxique de cette molécule.

Allaitement

Le passage de la spiramycine dans le lait maternel est non négligeable. Des troubles digestifs ont été décrits chez le nouveau-né. En conséquence, l'allaitement est déconseillé en cas de traitement par ce médicament.

Surdosage

Il n'y a pas de dose toxique connue pour la spiramycine.

Les signes attendus à forte dose sont digestifs: nausées, vomissements, diarrhée.

Des cas d'allongement de l'intervalle QT régressifs à l'arrêt du traitement ont été observés chez des nouveau-nés traités à de fortes doses de spiramycine et après administration intraveineuse de spiramycine chez les sujets à risque d'allongement de l'intervalle QT. En cas de surdosage en spiramycine, un ECG est donc recommandé pour mesure de l'intervalle QT, ce d'autant qu'il existe d'autres facteurs de risque associé (hypokaliémie, allongement congénital de l'intervalle QTc, association aux médicaments prolongeant l'intervalle QT et/ou donnant des torsades de pointes).

Il n'existe pas d'antidote spécifique.

Le traitement symptomatique est recommandé.

Interactions avec d'autres médicaments

Torsades de pointes

Ce trouble du rythme cardiaque grave peut être provoqué par un certain nombre de médicaments antiarythmiques ou non. La spiramycine par voie IV fait partie des médicaments donnant des torsades de pointes. L'hypokaliémie (diurétiques hypokaliémiants, laxatifs stimulants, amphotéricine B (voie IV), glucocorticoïdes, tétracosactide) est un facteur favorisant, de même que la bradycardie (voir médicaments bradycardisants) et un espace QT long préexistant, congénital ou acquis.

Associations contre-indiquées

+ Médicaments donnant des torsades de pointes : antiarythmiques de classe la (quinidine, hydroquinidine, disopyramide), antiarythmiques de classe III (amiodarone, sotalol, dofétilide, ibutilide), sultopride (neuroleptique benzamide), autres torsadogènes (arsénieux, diphémanil, dolasétron IV, érythromycine IV, lévofloxacine, mizolastine, moxifloxacine, prucalopride, torémifène, vincamine IV), dronédarone, méquitazine, citalopram, disopyramide, dofétilide, dompéridone, escitalopram, hydroquinidine, vandétanib.

Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.

Associations déconseillées

+ Antiparasitaires susceptibles de donner des torsades de pointes (halofantrine, luméfantrine, pentamidine)

Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.

Si cela est possible, interrompre l'un des deux traitements. Si l'association ne peut être évitée, contrôle préalable du QT et surveillance ECG monitorée.

+ Neuroleptiques susceptibles de donner des torsades de pointes (amisulpride, chlorpromazine, cyamémazine, dropéridol, flupenthixol, fluphénazine, halopéridol, lévomépromazine, pimozide, pipampérone, pipotiazine, sulpiride, sultopride, tiapride, zuclopenthixol)

Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.

+ Méthadone

Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.

Associations faisant l'objet de précautions d'emploi

+ Bêta-bloquants dans l'insuffisance cardiaque (bisoprolol, carvedilol, metoprolol, nebivolol), bradycardisants [notamment antiarythmiques de classe Ia, bêta-bloquants, certains antiarythmiques de classe III, certains antagonistes du calcium, digitaliques, pilocarpine, anticholinestérasiques (ambenomium, donepezil, galantamine, memantine, neostigmine, pyridostigmine, rivastigmine)]

Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.

Surveillance clinique et électrocardiographique.

+ Hypokaliémiants (diurétiques hypokaliémiants, seuls ou associés, laxatifs stimulants, glucocorticoïdes, tétracoside, amphotéricine B par voie IV)

Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.

Corriger toute hypokaliémie avant d'administrer le produit et réaliser une surveillance clinique, électrolytique et électrocardiographique.

+ Azithromycine, clarithromycine, roxithromycine

Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.

Surveillance clinique et électrocardiographique pendant l'association.

+ Anagrelide

Surveillance clinique et électrocardiographique pendant l'association. Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.

+ Bradycardisants

Surveillance clinique et électrocardiographique. Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.

+ Ciprofloxacine, levofloxacine, norfloxacine

Surveillance clinique et électrocardiographique pendant l'association.

Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.

+ Ondansétron

Surveillance clinique et électrocardiographique pendant l'association.

Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.

+ Lévodopa

En cas d'association à la carbidopa : inhibition de l'absorption de la carbidopa avec diminution des concentrations plasmatiques de la lévodopa.

Surveillance clinique et adaptation éventuelle de la posologie de la lévodopa.

Problèmes particuliers du déséquilibre de l'INR :

De nombreux cas d'augmentation de l'activité des anticoagulants oraux ont été rapportés chez des patients recevant des antibiotiques. Le contexte infectieux ou inflammatoire marqué, l'âge et l'état général du patient apparaissent comme des facteurs de risque. Dans ces circonstances, il apparaît difficile de faire la part entre la pathologie infectieuse et son traitement dans la survenue du déséquilibre de l'INR. Cependant, certaines classes d'antibiotiques sont davantage impliquées : il s'agit notamment des fluoroquinolones, des macrolides, des cyclines, du cotrimoxazole et de certaines céphalosporines.

Mises en garde et précautions

La survenue, en début de traitement, d'un érythème généralisé fébrile associé à des pustules, doit faire suspecter une pustulose exanthématique aiguë généralisée ; elle impose l'arrêt du traitement et contre-indique toute nouvelle administration de spiramycine seule ou associée.

L'absence d'élimination rénale de la molécule active permet de ne pas modifier les posologies en cas d'insuffisance rénale.

De très rares cas d'anémie hémolytique ayant été rapportés chez les patients ayant un déficit en Glucose-6-Phosphate-Déshydrogénase, l'utilisation de la spiramycine dans cette population de patients n'est pas recommandée.

Ce médicament contient du lactose. Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit en lactase de lapp ou un syndrome de malabsorption du glucose ou du galactose (maladies héréditaires rares).

Ce médicament peut être administré en cas de maladie coeliaque. L'amidon de blé peut contenir du gluten, mais seulement à l'état de trace et est donc considéré comme sans danger pour les sujets atteints d'une maladie coeliaque.






Analogues du médicament ROVAMYCINE qui a la même composition

Analogues en Russie

Ровамицин
  • таб., покр. плен. обол.:

    3 млн.МЕ, 1.5 млн.МЕ

  • таб., покр. обол.:

    3 млн.МЕ

  • лиофилизат д/пригот. р-ра д/в/в введ.:

    1.5 млн.МЕ

Analogues en France

  • comprimé pelliculé:

    0,75 mill. UI, 1 500 000 UI, 3 000 000 UI

  • sirop:

    7 500 000 UI

  • granulés pour suspension buvable:

    1 500 000 UI, 375 000 UI, 750 000 UI

  • lyophilisat pour préparation injectable:

    1 500 000 UI

  • comprimé pelliculé:

    1,5 M.UI, 3 000 000 UI, 3 M.U.I.

  • granulés pour suspension buvable:

    1 500 000 UI, 375 000 UI, 750 000 UI