Clofranil - Les effets biochimiques, vraisemblablement à l'origine de l'effet thérapeutique, reposent sur une diminution du recaptage présynaptique de la noradrénaline et de la sérotonine dont la transmission synaptique est facilitée.
Le médicament Clofranil appartient au groupe appelés Antidépresseurs tricycliques
Cette spécialité pharmaceutique a un code ATC - N06AA04
Sun Pharmaceutical Industries ltd (Inde) - Clofranil comprimé enrobé 25 мг , П N011779/01 - 06.12.2007
Clofranil
comprimé enrobé 25 мг
Sun Pharmaceutical Industries ltd (Inde)
Episodes dépressifs majeurs (c'est-à-dire caractérisés).
Troubles obsessionnels compulsifs.
Prévention des attaques de panique avec ou sans agoraphobie.
Certains états dépressifs apparaissant lors des schizophrénies, en association avec un traitement neuroleptique.
Douleurs neuropathiques de l'adulte.
Les effets biochimiques, vraisemblablement à l'origine de l'effet thérapeutique, reposent sur une diminution du recaptage présynaptique de la noradrénaline et de la sérotonine dont la transmission synaptique est facilitée.
L'effet sédatif est en rapport avec la composante histaminergique de la molécule.
Par ailleurs, celle-ci exerce un effet anticholinergique central et périphérique, à l'origine d'effets indésirables.
Les propriétés adrénolytiques peuvent provoquer une hypotension orthostatique.
L'amélioration portant spécifiquement sur l'humeur est souvent retardée par rapport aux améliorations symptomatiques tels que le ralentissement idéomoteur, l'insomnie ou l'anxiété. Cette notion doit être prise en compte avant l'interruption d'un traitement pour raison d'inefficacité, ainsi que dans l'ajustement des doses efficaces.
La clomipramine a prouvé son efficacité dans le traitement de formes sévères d'épisodes dépressifs majeurs au cours d'études cliniques comparatives, randomisées et conduites en double aveugle.
Absorption
La biodisponibilité de la clomipramine est variable d'un sujet à l'autre (de 35 à 65 % environ). En raison d'un effet de premier passage hépatique important, la biodisponibilité de la clomipramine est réduite après administration par voie orale d'environ 50 % par rapport à l'administration parentérale.
Distribution
Le volume de distribution est élevé, en moyenne de 12 l/kg. La clairance totale plasmatique de la clomipramine, calculée après administration intraveineuse, est de 0,73 l/min.
La clomipramine passe la barrière hémato-encéphalique.
La concentration de clomipramine dans le lait maternel est égale ou supérieure à celle du sang.
Liaison aux protéines plasmatiques :
La liaison aux protéines est importante : 98 %.
Demi-vie d'élimination :
La demi-vie d'élimination plasmatique de la clomipramine est d'environ 21 heures.
Métabolisme
Le foie joue un rôle majeur dans le processus de métabolisation des antidépresseurs imipraminiques : captation (effet de premier passage) puis biotransformation intense, ce qui explique :
la forte valeur de la clairance plasmatique, rapportée au débit sanguin hépatique (1,5 l/min),
la quasi-absence de composés actifs retrouvés au niveau urinaire.
Le métabolite principal de la clomipramine est la desméthylclomipramine, composé actif, dont la demi-vie est plus longue que celle de la molécule-mère (entre 25 et 50 heures). L'inactivation de la clomipramine ou de la desméthylclomipramine se fait par oxydation puis par conjugaison avec l'acide glucuronique, aboutissant à des substances hydrosolubles éliminées dans les urines ou la bile.
Élimination
Deux tiers des conjugués hydrosolubles sont excrétés dans l'urine et environ un tiers dans les fèces. Seulement 1 % environ de la dose est excrété inchangé. Egalement 1 % de la dose est excrété sous forme de desméthylclomipramine.
Relation concentration-activité
Pour la clomipramine, la fourchette thérapeutique communément retenue se situe entre 40 et 80 ng/ml, 250 à 500 ng/ml pour la somme clomipramine/desméthylclomipramine. En pratique courante, le dosage plasmatique de la clomipramine n'est pas nécessaire pour assurer le suivi thérapeutique. Toutefois, on distingue 2 groupes de malades pour lesquels le monitoring des concentrations plasmatiques peut être souhaitable :
les patients à risque : sujet âgé, pathologie cardiaque, hépatique, rénale, enfant ;
les patients résistant au traitement ou chez lesquels les effets indésirables sont marqués ou encore polymédiqués .
Populations à risque
Sujet âgé
Le métabolisme hépatique diminue et donc la clairance totale avec augmentation des concentrations à l'équilibre, de la fraction libre et des demi-vies. Il importe alors de diminuer les doses, au moins dans un premier temps.
Insuffisants hépatiques et rénaux
Il convient de diminuer la posologie de la clomipramine.
Il peut être difficile de distinguer certains effets indésirables de certains symptômes de la dépression comme l'asthénie, les troubles du sommeil, l'agitation, l'anxiété, la constipation et la sécheresse de la bouche, l'apparition d'épisodes maniaques ou hypomaniaques.
Estimation de la fréquence : très fréquent : ≥ 10 % ; fréquent : ≥1 % - < 10 % ; peu fréquent : ≥ 0,1 % - < 1 % ; rare : ≥ 0,01 % - 0,1 % ; très rare : < 0,01 %.
Manifestations générales
Très fréquent : asthénie souvent associée à d'autres effets indésirables de la clomipramine.
Très rare : fièvre parfois dans le cadre d'un syndrome sérotoninergique ou malin.
Effets psychiatriques
Très fréquent : somnolence.
Fréquent : confusion, agitation (parfois dans le cadre d'un syndrome sérotoninergique ou malin), délires, troubles de la mémoire, insomnie.
Des cas d'idées et de comportements suicidaires ont été rapportés durant le traitement par Clofranil ou peu après son arrêt .
Des cas d'agressivité ont été rapportés de manière occasionnelle.
Effets neurologiques et musculaires
Très fréquent : vertiges, tremblements, myoclonie.
Fréquent : céphalée, paresthésies.
Peu fréquent : convulsions (dont le risque d'apparition augmente avec la posologie et notamment au-dessus de 250 mg par jour), ataxie.
Très rare : modification infraclinique des fréquences encéphalographiques.
Des cas de dysarthrie et de syncopes ont été rapportés.
Des hypertonies et hypotonies musculaires, parfois dans le cadre de syndrome sérotoninergique ou malin, ont été rapportées.
Des akathisies ont été rapportées.
Effets anticholinergiques
Très fréquent : sécheresse de la bouche, constipation, vision floue, trouble de l'accommodation, trouble de la miction.
Fréquent : bouffées de chaleur, sueur, mydriase.
Très rare : glaucome, rétention urinaire.
Troubles cardio-vasculaires
Très fréquent : hypotension orthostatique.
Fréquent : tachycardie, palpitation .
Très rare : troubles de la conduction ou du rythme, cardiomyopathie.
Troubles gastro-intestinaux
Très fréquent : nausées.
Fréquent : vomissements, douleurs abdominales, anorexie.
Effets hépatiques
Fréquent : élévation asymptomatique des enzymes hépatiques.
Très rare : hépatites cholestatiques ou cytolytiques.
Effets cutanés
Fréquent : réactions cutanées incluant urticaire, éruption maculo-papuleuse, vascularite et prurit.
Rare : réaction de photosensibilité pouvant entraîner une pigmentation cutanée.
Très rare : alopécie.
Troubles endocriniens
Très fréquent : prise de poids, trouble de la libido, impuissance.
Rare : galactorrhée, hypertrophie mammaire.
Très rare : syndrome de sécrétion inappropriée de l'hormone anti-diurétique, dèmes périphériques.
Manifestations pulmonaires
Très rare : pneumopathie infiltrante.
Réaction d'hypersensibilité
Très rare : réaction anaphylactique ou anaphylactoïde.
Effets hématologiques
Très rare : leucopénie, agranulocytose, thrombocytopénie et purpura thrombocytopénique, éosinophilie.
Organes des sens
Fréquent : altération du goût, acouphènes.
Autres
Réaction de sevrage avec les effets indésirables suivants : nausées, vomissements, douleurs abdominales, insomnie, céphalées, nervosité, anxiété, surviennent fréquemment à l'arrêt brutal du traitement ou lors d'une réduction de posologie.
Syndrome sérotoninergique, exceptionnellement en monothérapie, le plus souvent décrit en cas d'interaction médicamenteuse ou de surdosage .
Effet de classe : Des études épidémiologiques, réalisées principalement chez des patients âgés de 50 ans et plus, montrent un risque accru de fractures osseuses chez les patients recevant des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) ou des antidépresseurs tricycliques. Le mécanisme conduisant à ce risque est inconnu.
Certains de ces effets indésirables peuvent être prévenus ou combattus par des thérapeutiques adjuvantes ou correctrices, voire une réduction de la posologie.
Ce médicament NE DOIT JAMAIS ETRE prescrit dans les cas suivants :
risque connu de glaucome par fermeture de l'angle ;
risque de rétention urinaire lié à des troubles urétro-prostatiques ;
infarctus du myocarde récent ;
associations aux IMAO non sélectifs (iproniazide, nialamide) et au sultopride (neuroleptique benzamide) .
Grossesse
Le maintien d'un bon équilibre psychique maternel est souhaitable tout au long de la grossesse. Si une prise en charge médicamenteuse est nécessaire pour assurer cet équilibre, elle doit être instituée ou poursuivie à dose efficace tout au long de la grossesse et si possible en monothérapie.
A ce jour, les données semblent exclure un risque malformatif particulier de la clomipramine.
Chez les nouveau-nés, de mères traitées en fin de grossesse par un antidépresseur imipraminique, des signes d'imprégnation (notamment atropiniques) et/ou de sevrage ont parfois été décrits :
troubles neurologiques dans la première semaine de vie (hypotonie, hyperexcitabilité, trémulations, voire exceptionnellement convulsions) ;
troubles respiratoires (polypnées, accès de cyanose, voire exceptionnellement détresse respiratoire) ;
troubles digestifs (difficulté de mise en route de l'alimentation, retard à l'émission du méconium et distension abdominale).
Tous ces signes apparaissent dans les premiers jours de vie et sont le plus souvent de courte durée et peu sévères.
Compte tenu de ces données, l'utilisation de clomipramine est possible quel que soit le terme de la grossesse. La surveillance du nouveau-né tiendra compte des effets précédemment décrits.
Allaitement
Le passage dans le lait maternel est mal connu mais probablement faible ; néanmoins, par mesure de précaution, l'allaitement est à éviter pendant la durée du traitement.
Les manifestations d'un surdosage en clomipramine sont semblables à celles rapportées avec les autres antidépresseurs tricycliques. Des anomalies cardiaques et des troubles neurologiques représentent les principales complications. Chez l'enfant, l'ingestion accidentelle doit être considérée comme sérieuse et potentiellement fatale, quelle que soit la dose ingérée.
Symptômes
Ils apparaissent généralement dans les 4 heures après l'ingestion pour atteindre une sévérité maximale après 24 heures. En raison de l'absorption retardée du médicament (due à un effet anticholinergique), de sa longue demi-vie et d'un cycle entérohépatique, le patient peut être en danger pendant 4 à 6 jours.
Les symptômes suivants sont possibles :
Système nerveux central : somnolence, stupeur, coma, ataxie, agitation, hyperréflexie, rigidité musculaire et mouvements choréo-athétosiques, convulsions. Des symptômes en rapport avec un syndrome sérotoninergique (hyperpyrexie, myoclonies, délire et coma) peuvent également être observés.
Système cardiovasculaire : hypotension, tachycardie, allongement du QT et troubles du rythme incluant torsades de pointes, troubles de la conduction, état de choc, insuffisance cardiaque, et, dans de très rares cas, arrêt cardiaque.
Dépression respiratoire, cyanose, vomissement, fièvre, mydriase, sueurs et oligurie ou anurie peuvent survenir.
Traitement
Il n'existe pas d'antidote spécifique, et le traitement est essentiellement symptomatique. Toute personne suspecte de surdosage en clomipramine (en particulier s'il s'agit d'un enfant), doit être hospitalisée et maintenue sous surveillance médicale stricte pendant au moins 72 heures.
Si le patient est conscient, pratiquer un lavage gastrique ou induire des vomissements dès que possible. Si le patient est inconscient, assurer la liberté des voies aériennes grâce à une sonde endotrachéale avant de commencer le lavage, et ne pas provoquer de vomissements. Ces mesures sont recommandées dans les 12 heures voire plus suivant le surdosage, car l'effet anticholinergique peut retarder la vidange gastrique. L'administration de charbon activé peut aider à réduire l'absorption.
Le traitement symptomatique fait appel à des soins médicaux intensifs, comportant une surveillance continue de la fonction cardiaque, des gaz du sang et des électrolytes, et si nécessaire des mesures d'urgence comme un traitement anticonvulsivant, une réanimation respiratoire ou cardiaque. L'administration de physostigmine est déconseillée, car elle peut provoquer une bradycardie sévère, une asystolie et des convulsions. L'hémodialyse ou la dialyse péritonéale sont inefficaces en raison des faibles concentrations plasmatiques de clomipramine.
Syndrome sérotoninergique
Certains surdosages ou certains médicaments peuvent donner lieu à un syndrome sérotoninergique justifiant l'arrêt immédiat du traitement.
Ces médicaments sont essentiellement représentés par :
le linézolide,
le bleu de méthylène,
le millepertuis,
la péthidine et le tramadol,
la plupart des antidépresseurs,
la classe des inhibiteurs de la recapture de la sérotonine,
certains tricycliques (clomipramine, amitriptyline, imipramine),
les mixtes (venlafaxine, milnacipran, sibutramine),
avec indications d'autres que la dépression : atomoxétine, duloxétine, oxitriptan),
les IMAO, essentiellement non sélectifs, voire les IMAO-A sélectifs.
Le syndrome sérotoninergique se manifeste par l'apparition (éventuellement brutale) simultanée ou séquentielle, d'un ensemble de symptômes pouvant nécessiter l'hospitalisation voire exceptionnellement entraîner le décès.
Ces symptômes peuvent être d'ordre :
digestifs (diarrhée),
neuropsychiques (agitation, confusion, hypomanie),
moteur (myoclonies, tremblements, hyperréflexie, rigidité, hyperactivité),
végétatifs (variations tensionnelles, tachycardie, frissons, hyperthermie, sueurs, éventuellement coma).
Le strict respect des doses préconisées constitue un facteur essentiel dans la prévention de l'apparition de ce syndrome.
Médicaments abaissant le seuil épileptogène
L'utilisation conjointe de médicaments proconvulsivants, ou abaissant le seuil épileptogène, devra être soigneusement pesée, en raison de la sévérité du risque encouru. Ces médicaments sont représentés notamment par la plupart des antidépresseurs (imipraminiques, inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine), les neuroleptiques (phénothiazines et butyrophénones), la méfloquine, la chloroquine, le bupropion, le tramadol.
Médicaments à l'origine d'une hypotension orthostatique
Outre les antihypertenseurs, de nombreux médicaments peuvent entraîner une hypotension orthostatique. C'est le cas notamment des dérivés nitrés, des inhibiteurs de la phosphodiestérase de type 5, des alpha-bloquants à visée urologique, des antidépresseurs imipraminiques et des neuroleptiques phénothiaziniques, des agonistes dopaminergiques et de la lévodopa. Leur utilisation conjointe risque donc de majorer la fréquence et l'intensité de cet effet indésirable. Se reporter aux interactions propres à chaque classe, avec les niveaux de contrainte correspondants.
Médicaments atropiniques
Il faut prendre en compte le fait que les substances atropiniques peuvent additionner leurs effets indésirables et entraîner plus facilement une rétention urinaire, une poussée aiguë de glaucome, une constipation, une sécheresse de la bouche, etc
Les divers médicaments atropiniques sont représentés par les antidépresseurs imipraminiques, la plupart des antihistaminiques H1 atropiniques, les antiparkinsoniens anticholinergiques, les antispasmodiques atropiniques, le disopyramide, les neuroleptiques phénothiaziniques ainsi que la clozapine.
Associations contre-indiquées
+ IMAO non sélectifs (iproniazide)
Risque d'apparition d'un syndrome sérotoninergique : diarrhée, tachycardie, sueurs, tremblements, confusion voire coma.
Respecter un délai de deux semaines entre l'arrêt de l'IMAO et le début du traitement par l'antidépresseur, et d'au moins une semaine entre l'arrêt de l'antidépresseur et le début du traitement par l'IMAO.
Associations déconseillées
+ Clonidine, guanfacine
Décrit pour désipramine et imipramine : inhibition de l'effet antihypertenseur de la clonidine ou de la guanfacine (antagonisme au niveau des récepteurs adrénergiques).
+ IMAO-A sélectifs (moclobémide, toloxatone), y compris linézolide et bleu de méthylèneRisque d'apparition d'un syndrome sérotoninergique : diarrhée, tachycardie, sueurs, confusion voire coma.
Si l'association ne peut être évitée, surveillance clinique très étroite. Débuter l'association aux posologies minimales recommandées.
+ Sympathomimétiques alpha et bêta (voie IM et IV) :
Hypertension paroxystique avec possibilité de troubles du rythme (inhibition de l'entrée du sympathomimétique dans la fibre sympathique).
Associations faisant l'objet de précautions d'emploi
+ Adrénaline (voie bucco-dentaire ou sous-cutanée)
Troubles du rythme ventriculaire graves par augmentation de l'excitabilité cardiaque. Limiter l'apport, par exemple : moins de 0,1 mg d'adrénaline en 10 minutes ou 0,3 mg en 1 heure chez l'adulte.
+Inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine :citalopram, escitalopram, fluoxétine, fluvoxamine, paroxétine, sertraline.
Augmentation des concentrations plasmatiques de la clomipramine avec risque de convulsions et augmentation des effets indésirables.
Surveillance clinique accrue et, si nécessaire, adaptation posologique.
+ Bupropion
Risque d'augmentation des effets indésirables de la clomipramine, par diminution de son métabolisme hépatique par le bupropion. Surveillance clinique. Si besoin, adaptation de la posologie de la clomipramine pendant le traitement par bupropion.
Associations à prendre en compte
+ Médicaments abaissant la pression artérielle
Majoration du risque d'hypotension, notamment orthostatique.
+ Dapoxétine
Risque de majoration d'effets indésirables, notamment à type de vertiges ou de syncopes.
+ Médicaments abaissant le seuil épileptogène**
Risque accru de convulsions
+Baclofène
Risque d'augmentation de l'hypotonie musculaire.
+Bêtabloquants dans l'insuffisance cardiaque :(bisoprolol, carvédilol, métoprolol, nébivolol)
Effet vasodilatateur et risque d'hypotension, notamment orthostatique (effet additif).
Analogues en Russie
таб., покр. обол.:
25 мг
таб., покр. плен. обол., пролонгир. действ.:
75 мг
таб., покр. плен. обол.:
25 мг
р-р д/в/в и в/м введ.:
12.5 мг/мл
таб., покр. обол.:
25 мг
Analogues en France
comprimé pelliculé:
75 mg
solution injectable:
25 mg
comprimé enrobé:
10 mg, 25 mg
comprimé pelliculé:
10 mg, 10,00 mg, 25 mg, 25,00 mg, 75 mg
gélule:
10 mg, 25 mg, 50 mg