Metronidazole tablets 0.25 g - Les éponges résorbables, de par leur principe actif: le métronidazole, ont une activité antimicrobienne qui ne porte que sur la majeure partie de la flore responsable des paradontopathies.
Le médicament Metronidazole tablets 0.25 g appartient au groupe appelés Dérivés du nitro-imidazole
Cette spécialité pharmaceutique a un code ATC - P01AB01
ОАО "Тюменский химико-фармацевтический завод" (Fédération de Russie) - Metronidazole tablets 0.25 g comprimé 250 мг , 94/158/13 - 29.07.1994
Metronidazole tablets 0.25 g
comprimé 250 мг
ОАО "Тюменский химико-фармацевтический завод" (Fédération de Russie)
Traitement local des infections canalaires après nécrose pulpaire et de leurs complications. Ce traitement doit être effectué après parage canalaire instrumental, dans le cas de dent ne répondant pas aux traitements locaux conventionnels appliqués lors du parage (hypochlorite et/ou hydroxyde de calcium).
Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l'utilisation appropriée des antibactériens.
Les éponges résorbables, de par leur principe actif: le métronidazole, ont une activité antimicrobienne qui ne porte que sur la majeure partie de la flore responsable des paradontopathies.
SPECTRE D'ACTIVITE ANTI-MICROBIENNE
Les concentrations critiques séparent les souches sensibles des souches de sensibilité intermédiaire et ces dernières, des résistantes :
S £ 4 mg/l et R > 4 mg/l
La prévalence de la résistance acquise peut varier en fonction de la géographie et du temps pour certaines espèces. Il est donc utile de disposer d'informations sur la prévalence de la résistance locale, surtout pour le traitement d'infections sévères. Ces données ne peuvent apporter qu'une orientation sur les probabilités de la sensibilité d'une souche bactérienne à cet antibiotique.
Lorsque la variabilité de la prévalence de la résistance en France est connue pour une espèce bactérienne, elle est indiquée dans le tableau ci-dessous :
Catégories | Fréquence de résistance acquise en France (> 10%) (valeurs extrêmes) |
ESPÈCES SENSIBLES | |
Aérobies à Gram négatif | |
Helicobacter pylori | 30 % |
Anaérobies | |
Bacteroides fragilis | |
Bifidobacterium | 60 - 70 % |
Bilophila | |
Clostridium | |
Clostridium difficile | |
Clostridium perfringens | |
Eubacterium | 20 - 30 % |
Fusobacterium | |
Peptostreptococcus | |
Porphyromonas | |
Prevotella | |
Veillonella | |
ESPÈCES RÉSISTANTES | |
Aérobies à Gram positif | |
Actinomyces | |
Anaérobies | |
Mobiluncus | |
Propionibacterium acnes | |
ACTIVITÉ ANTIPARASITAIRE | |
Entamoeba histolytica | |
Giardia intestinalis | |
Trichomonas vaginalis |
Remarque: ce spectre correspond à celui des formes systémiques du métronidazole. Avec les présentations pharmaceutiques locales, les concentrations obtenues in situ sont très supérieures aux concentrations plasmatiques. Quelques incertitudes demeurent sur la cinétique des concentrations in situ, sur les conditions physico-chimiques locales qui peuvent modifier l'activité de l'antibiotique et sur la stabilité du produit in situ.
Les doses de métronidazole administrées localement avec les éponges pour usage dentaire sont environ le 1/100ème des doses thérapeutiques utilisées habituellement par voie générale.
La libération du métronidazole dans la salive à partir des éponges est rapide puisque le pic salivaire observé entre 0 et 30 minutes varie entre 6,5 et 58 mg/l. Les concentrations restent supérieures à 0,1 mg/l pendant une durée de 5 à 7 heures suivant la pose de l'éponge.
Les effets indésirables sont rares.
Cependant, peuvent être observés des troubles digestifs bénins : nausées, goût métallique dans la bouche, anorexie, crampes épigastriques, vomissements et diarrhées.
Exceptionnellement :
des signes cutanéo-muqueux : urticaire, bouffées vasomotrices, prurit ;
des signes nerveux : céphalées, vertiges.
A forte posologies et/ou en cas de traitement prolongé :
des leucopénies ;
des neuropathies sensitives périphériques, qui ont toujours régressé à l'arrêt du traitement.
Par ailleurs, on peut observer une coloration brun-rougeâtre des urines dues à la présence de pigments hydrosolubles provenant du métabolisme du produit.
Absolue: antécédents d'hypersensibilité aux imidazolés.
Grossesse
Pendant le premier trimestre de la grossesse, il est conseillé, par mesure de prudence, d'éviter l'administration de métronidazole en raison de son passage dans le placenta.
Allaitement
Le métronidazole passe dans le lait.
Des cas d'administration d'une dose unique jusqu'à 12 g ont été rapportés lors de tentatives de suicide et de surdosage accidentel.
Les symptômes se sont limités à des vomissements, une ataxie et une légère désorientation. Il n'y a pas d'antidote spécifique pour les surdosages de métronidazole. En cas de surdosage massif, le traitement est symptomatique.
Associations déconseillées
+ Alcool : du fait d'un effet antabuse (chaleur, rougeur, vomissement, tachycardie). Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool. + Disulfirame : en raison de bouffées délirantes, d'état confusionnel.Associations faisant l'objet de précautions d'emploi
+ Anticoagulants oraux : (décrit avec la Warfarine). Augmentation de l'effet des anticoagulants oraux et du risque hémorragique par diminution de leur catabolisme hépatique. Contrôle plus fréquent du taux de prothrombine ; adaptation de la posologie des anticoagulants oraux pendant le traitement par le métronidazole et 8 jours après son arrêt.Associations à prendre en compte
+ 5-Fluoro-uracile : du fait d'une augmentation de la toxicité du 5-Fluoro-uracile par diminution de sa clairance.Interaction avec les examens paracliniques :
Le métronidazole peut immobiliser les tréponèmes et donc faussement positiver le test de Nelson.
Problèmes particuliers du déséquilibre de l'INR
De nombreux cas d'augmentation de l'activité des anticoagulants oraux ont été rapportés chez des patients recevant des antibiotiques. Le contexte infectieux ou inflammatoire marqué, l'âge et l'état général du patient apparaissent comme des facteurs de risque. Dans ces circonstances, il apparaît difficile de faire la part entre la pathologie infectieuse et son traitement dans la survenue du déséquilibre de l'INR. Cependant, certaines classes d'antibiotiques dont d'avantage impliquées : il s'agit notamment des fluoroquinolones, des macrolides, des cyclines, du cotrimoxazole et de certaines céphalosporines.
Analogues en Russie
р-р д/инфузий:
5 мг/мл
р-р д/инфузий:
5 мг/мл
таб.:
250 мг
р-р д/инфузий:
5 мг/мл
суппозитории вагинальн.:
500 мг
таб., покр. плен. обол.:
200 мг, 400 мг
р-р д/в/в введ.:
5 мг/мл
гель вагинальный:
1%
гель д/наружн. прим.:
1%
р-р д/инфузий:
5 мг/мл
Analogues en France
comprimé pelliculé:
250 mg, 500 mg
solution injectable:
500 mg
solution pour perfusion:
0,50 g
suspension buvable:
4 g
ovules vaginaux:
0,5 g
pâte dentifrice, gingivale ou pour usage dentaire:
10,00 g
ovules vaginaux:
0,5 g
pâte dentifrice, gingivale ou pour usage dentaire:
10 g
comprimé pelliculé:
250 mg, 500 mg
éponge pour usage dentaire:
4,5 mg