CLARAMID - La roxithromycine est un antibiotique de la famille des macrolides.
Le médicament CLARAMID appartient au groupe appelés Macrolides semi-synthétiques
Cette spécialité pharmaceutique a un code ATC - J01FA06
PFIZER HOLDING FRANCE (FRANCE) - Claramid comprimé pelliculé 150 mg , 1986-09-16
PFIZER HOLDING FRANCE (FRANCE) - Claramid comprimé pour suspension buvable 50 mg , 1995-09-04
PFIZER HOLDING FRANCE (FRANCE) - Claramid poudre pour suspension buvable 50 mg , 1988-03-23
Claramid 150 mg
comprimé pelliculé 50 mg
PFIZER HOLDING FRANCE (FRANCE)
Claramid 50 mg
comprimé pour suspension buvable 50 mg
PFIZER HOLDING FRANCE (FRANCE)
Claramid 50 mg
poudre pour suspension buvable 50 mg
PFIZER HOLDING FRANCE (FRANCE)
Claramid ENFANTS 100 mg
comprimé pelliculé 50 mg
PFIZER HOLDING FRANCE (FRANCE)
Claramid ENFANTS 50 mg
comprimé pelliculé 50 mg
PFIZER HOLDING FRANCE (FRANCE)
Elles procèdent de l'activité antibactérienne et des caractéristiques pharmacocinétiques de la roxithromycine. Elles tiennent compte à la fois des études cliniques auxquelles a donné lieu ce médicament et de sa place dans l'éventail des produits antibactériens actuellement disponibles.
Elles sont limitées aux infections dues aux germes définis comme sensibles:
Angines documentées à streptocoque A bêta-hémolytique, en alternative au traitement par bêta-lactamines, particulièrement lorsque celui-ci ne peut être utilisé.
Sinusites aiguës. Compte tenu du profil microbiologique de ces infections, les macrolides sont indiqués lorsqu'un traitement par une bêta-lactamine est impossible.
Surinfections des bronchites aiguës.
Exacerbations des bronchites chroniques.
Pneumopathies communautaires chez les sujets:
sans facteurs de risque,
sans signes de gravité clinique,
en l'absence d'éléments cliniques évocateurs d'une étiologie pneumococcique. En cas de suspicion de pneumopathie atypique, les macrolides sont indiqués quels que soient la gravité et le terrain.
Infections cutanées bénignes: impétigo, impétiginisation des dermatoses, ecthyma, dermohypodermite infectieuse (en particulier, érysipèle), érythrasma.
Infections génitales non gonococciques.
Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l'utilisation appropriée des antibactériens.
La roxithromycine est un antibiotique de la famille des macrolides.
Les concentrations critiques séparent les souches sensibles des souches de sensibilité intermédiaire et ces dernières, des résistantes :
S £ 1 mg/l et R > 4 mg/l
La prévalence de la résistance acquise peut varier en fonction de la géographie et du temps pour certaines espèces. Il est donc utile de disposer d'informations sur la prévalence de la résistance locale, surtout pour le traitement d'infections sévères. Ces données ne peuvent apporter qu'une orientation sur les probabilités de la sensibilité d'une souche bactérienne à cet antibiotique.
Lorsque la variabilité de la prévalence de la résistance en France est connue pour une espèce bactérienne, elle est indiquée dans le tableau ci-dessous :
Catégories | Fréquence de résistance acquise en France (> 10%) (valeurs extrêmes) |
ESPÈCES SENSIBLES | |
Aérobies à Gram positif | |
Bacillus cereus | |
Corynebacterium diphtheriae | |
Entérocoques | 50 - 70 % |
Rhodococcus equi | |
Staphylococcus méti-S | |
Staphylococcus méti-R * | 70 - 80 % |
Streptococcus B | |
Streptococcus non groupable | 30 - 40 % |
Streptococcus pneumoniae | 35 - 70 % |
Streptococcus pyogenes | 16 - 31 % |
Aérobies à Gram négatif | |
Bordetella pertussis | |
Branhamella catarrhalis | |
Campylobacter | |
Legionella | |
Moraxella | |
Anaérobies | |
Actinomyces | |
Bacteroides | 30 - 60 % |
Eubacterium | |
Mobiluncus | |
Peptostreptococcus | 30 - 40 % |
Porphyromonas | |
Prevotella | |
Propionibacterium acnes |
Catégories | Fréquence de résistance acquise en France (> 10%) (valeurs extrêmes) |
Autres | |
Borrelia burgdorferi | |
Chlamydia | |
Coxiella | |
Leptospires | |
Mycoplasma pneumoniae | |
Treponema pallidum | |
ESPÈCES MODÉRÉMENT SENSIBLES | |
(in vitro de sensibilité intermédiaire) | |
Aérobies à Gram négatif | |
Haemophilus | |
Neisseria gonorrhoeae | |
Anaérobies | |
Clostridium perfringens | |
Autres | |
Ureaplasma urealyticum | |
ESPÈCES RÉSISTANTES | |
Aérobies à Gram positif | |
Corynebacterium jeikeium | |
Nocardia asteroïdes | |
Aérobies à Gram négatif | |
Acinetobacter | |
Entérobactéries | |
Pseudomonas | |
Anaérobies | |
Fusobacterium | |
Autres | |
Mycoplasma hominis |
La roxithromycine possède une activité in vitro et in vivo sur Toxoplasma gondii.
La roxithromycine a in vitro une activité modérée sur Mycobacterium avium.
* La fréquence de résistance à la méticilline est environ de 30 à 50 % de l'ensemble des staphylocoques et se rencontre surtout en milieu hospitalier.
Biodisponibilité
Une étude de biodisponibilité comparant le sachet à 50 mg et le comprimé à 50 mg pour suspension buvable a montré que les 2 formes sont bioéquivalentes en terme de quantité de produit absorbé.
Absorption
L'absorption est rapide. La roxithromycine se révèle stable en milieu acide et l'antibiotique est retrouvé dans le sérum dès la 15ème minute. Le pic sérique se situe à 2,2 heures après la prise de 150 mg à jeun chez l'adulte, à 1,6 heures après la prise de 2,5 mg/kg à jeun chez l'enfant. Il a été montré que la prise d'un comprimé 1/4 heure avant le repas n'entraîne pas de modifications de la pharmacocinétique chez le sujet sain.
Distribution
Lors d'une administration réitérée de 2,5 mg/kg toutes les 12 heures chez l'enfant, les concentrations plasmatiques résiduelles sont identiques pendant toute la durée du traitement.
Les concentrations à l'état d'équilibre sont les suivantes:
Concentration maximale: 9 µg/ml.
Concentration minimale: 3,1 µg/ml. Elle ne diffère pas de celle retrouvée 12 heures après prise unique de 2,5 mg/kg (3,6 µg/ml).
Demi-vie d'élimination moyenne: 20 heures (plus longue que chez l'adulte: 10,5 heures).
En raison de l'absence d'accumulation du produit, la dose journalière peut être donnée en 2 prises, à 12 heures d'intervalle, ce qui assure une concentration plasmatique de l'antibiotique efficace sur les germes sensibles pendant 24 heures.
Liaison aux protéines
Le pourcentage de liaison aux protéines plasmatiques de la roxithromycine est de 96 %. La roxithromycine se fixe essentiellement sur l'alpha 1 glycoprotéine acide. Cette liaison est saturable et diminue pour une concentration de roxithromycine supérieure à 4 mg/l.
Diffusion tissulaire
La diffusion est bonne, notamment dans le tissu pulmonaire, les amygdales, les végétations, les sécrétions de l'oreille moyenne, 6 heures et 12 heures après prises répétées de roxithromycine.
Les macrolides pénètrent et s'accumulent dans les phagocytes (polynucléaires neutrophiles, monocytes, macrophages péritonéaux et alvéolaires).
Les concentrations intraphagocytaires sont élevées chez l'homme.
Ces propriétés expliquent l'activité de la roxithromycine sur les bactéries intracellulaires.
Biotransformation
La roxithromycine est relativement peu biotransformée, plus de la moitié du produit étant excrétée inchangée.
Trois structures ont été identifiées dans l'urine et les matières fécales: la des-cladinose roxithromycine, dérivé le plus abondant, et les N-mono et N-didéméthyl roxithromycine, métabolites mineurs.
Les proportions de roxithromycine et de ses trois dérivés sont voisines dans l'urine et les matières fécales.
Excrétion
L'élimination est essentiellement fécale:
Après administration orale de roxithromycine-14C, la radioactivité urinaire ne représente en 72 heures que 12 % de l'ensemble excrété dans l'urine et les matières fécales.
Une étude de bioéquivalence a montré qu'il y avait bioéquivalence entre les formes:
sachet 50 mg
comprimé 50 mg
comprimé 150 mg
La forme comprimé 100 mg étant homothétique à la forme comprimé 150 mg, il n'a pas été effectué d'étude de bio-équivalence.
Absorption
L'absorption est rapide. La roxithromycine se révèle stable en milieu acide et l'antibiotique est retrouvé dans le sérum dès la 15ème minute. Le pic sérique se situe à 2,2 heures après la prise de 150 mg à jeun. Il a été montré que la prise du médicament, 1/4 d'heure avant le repas, n'entraîne pas de modification de la pharmacocinétique chez le sujet sain.
Distribution
Lors d'une administration réitérée de 2,5 mg/kg/ toutes les 12 heures chez l'enfant, les concentrations plasmatiques résiduelles sont identiques pendant toute la durée du traitement.
Les concentrations à l'état d'équilibre sont les suivantes:
concentration maximale: 9 mcg/ml
concentration minimale: 3.1 mcg/ml, elle ne diffère pas de celle retrouvée 12 heures après prise unique de 2,5 mg/kg (3.6 mcg/ml).
Demi-vie d'élimination moyenne 20 heures (plus longue que chez l'adulte 10,5 heures).
En raison de l'absence d'accumulation du produit, la dose journalière peut donc être donnée en 2 prises, à 12 heures d'intervalle, ce qui assure une concentration plasmatique de l'antibiotique efficace sur les germes sensibles pendant 24 heures.
Les macrolides pénètrent et s'accumulent dans les phagocytes (polynucléaires neutrophiles, monocytes, macrophages péritonéaux et alvéolaires).
Les concentrations intra-phagocytaires sont, élevées chez l'homme. Ces propriétés expliquent l'activité de la roxithromycine sur les bactéries intra-cellulaires.
Diffusion tissulaire
Bonne, notamment dans le tissu pulmonaire, les amygdales, les végétations, les sécrétions de l'oreille moyenne, 6 h et 12 h après prises répétées de roxithromycine.
Liaison aux protéines plasmatiques: 96 %; la roxithromycine se fixe essentiellement sur l'α1 glyco-protéine acide. Cette liaison est saturable et diminue pour une concentration de roxithromycine supérieure à 4 mg.l-1.
Biotransformation
La roxithromycine est relativement peu biotransformée, plus de la moitié du produit étant excrété inchangé. Trois structures ont été identifiées dans l'urine et les matières fécales: la descladinose/roxithromycine, dérivé le plus abondant, et les N-mono et N-didéméthyles/roxithromycine, métabolites mineurs. Les proportions de roxithromycine et de ses trois dérivés sont voisines dans l'urine et les matières fécales.
Excrétion
L'élimination est principalement fécale: après administration orale de roxithromycine -14C, la radioactivité urinaire ne représente en 72 heures que 12 % de l'ensemble excrété dans l'urine et les matières fécales.
Le tableau ci-dessous récapitule les effets indésirables identifiés durant les essais cliniques et enregistrés dans la base de données de pharmacovigilance, par catégorie de système et d'organe et par fréquence. Les catégories de fréquence sont définies en appliquant la convention suivante : très fréquent (≥1/10) ; fréquent (≥ 1/100 à <1/10) ; peu fréquent (≥1/1 000 à <1/100) ; et fréquence indéterminée (impossible à estimer à partir de données disponibles).
Classe par système et organe | Très fréquent (>1/10) | Fréquent (≥1/100 to <1/10 ) | Peu fréquent (≥1/1000 to <1/100 ) | Fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles) |
Infections et Infestations | Surinfection (en cas d'utilisation prolongée), colite à Clostridium difficile (colite pseudomembraneuse). | |||
Affections hématologiques et du tissu lymphatique | Eosinophilie | thrombopénie, neutropénie, agranulocytose | ||
Troubles du système immunitaire | Réactions d'hypersensibilité à type d'urticaire, d'dème de Quincke, de bronchospasme, de réactions anaphylactoïdes, choc anaphylactique | |||
Troubles psychiatriques | Hallucinations ; état confusionnel (confusion). | |||
Affections du système nerveux | Sensations vertigineuses, céphalées, | paresthésies, agueusie, dysgueusie, parosmie, anosmie. | ||
Affections gastro-intestinales | Nausées, vomissements, gastralgie, diarrhées | Diarrhée sanglante, pancréatite. | ||
Affections hépatobiliaires | Ictère, hépatite cholestatique ou cytolytique aigue (voir 4.4) | |||
Affections de la peau ou du tissu sous-cutané | Rash | réactions bulleuses dont érythèmes polymorphes Urticaire | syndromes de Stevens-Johnson, syndromes de Lyell, purpura, angioedème | |
Investigations | Augmentation des transaminases ASAT et des ALAT, Augmentation des phosphatases alcalines sériques | |||
Affection de l'oreille et du labyrinthe | Surdité transitoire, hypoacousie, vertige, acouphène | |||
Affections cardiaques | Allongement de l'intervalle QT. Arythmies ventriculaires telles que torsades de pointes, tachycardie ventriculaire, pouvant entraîner une fibrillation ventriculaire ou un arrêt cardiaque |
Ce médicament NE DOIT JAMAIS ETRE UTILISE dans les situations suivantes:
allergie aux macrolides.
association avec :
les alcaloïdes de l'ergot de seigle vasoconstricteurs: dihydroergotamine, ergotamine .
la colchicine ,
le cisapride .
femme qui allaite un enfant traité par cisapride .
Ce médicament est destiné à l'enfant. Cependant, en cas d'utilisation dans des circonstances exceptionnelles chez les femmes en âge de procréer, il faut rappeler les points suivants:
GrossesseIl est préférable, par mesure de précaution, de ne pas utiliser la roxithromycine au cours de la grossesse. En effet, les données cliniques sont insuffisantes, bien que les données animales ne mettent pas en évidence d'effet malformatif ou ftotoxique à des doses supérieures à 200 mg/kg/j ou 40 fois la dose thérapeutique chez l'homme.
AllaitementLe passage de la plupart des macrolides dans le lait maternel est documenté, avec des concentrations dans le lait égales ou supérieures aux concentrations plasmatiques. Cependant, les quantités ingérées par le nouveau-né reste faibles au regard des posologies pédiatriques. Le risque majeur consiste en une modification de la flore intestinale de l'enfant. En conséquence, l'allaitement est possible. En cas de survenue de troubles digestifs chez le nourrisson (candidose intestinale, diarrhée), il est nécessaire d'interrompre l'allaitement (ou le médicament).
En cas de prise de cisapride chez le nouveau-né ou le nourrisson allaité, l'administration de macrolides à la mère est contre-indiquée par mesure de prudence, en raison du risque potentiel d'interaction chez l'enfant (torsade de pointe).
Conduite en cas de surdosage: lavage gastrique et traitement symptomatique.
Il n'existe pas d'antidote spécifique.
La roxithromycine est un inhibiteur faible du CYP3A4.
Associations contre-indiquées + ColchicineAugmentation des effets indésirables de la colchicine, aux conséquences potentiellement fatales.
+ CisaprideRisque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
+ Ergotamine, dihydroergotamineErgotisme avec possibilité de nécrose des extrémités (diminution de l'élimination hépatique de l'ergotamine et inhibition de l'élimination hépatique de la dihydroergotamine).
Associations déconseillées + Alcaloïdes de l'ergot de seigle dopaminergiques (bromocriptine, cabergoline, lisuride, pergolide)Augmentation des concentrations plasmatiques du dopaminergique avec accroissement possible de son activité ou apparition de signes de surdosage.
Associations faisant l'objet de précautions d'emploi + Médicaments suceptibles de donner des torsades de pointes(amiodarone, amisulpride, arsenieux, bepridil, chlorpromazine, cisapride, citalopram, cyamemazine, diphemanil, disopyramide, dofetilide, dolasetron, domperidone, dronedarone, droperidol, erythromycine, escitalopram, flupentixol, fluphenazine, halofantrine, haloperidol, hydroquinidine, ibutilide, levofloxacine, levomepromazine, lumefantrine, mequitazine, methadone, mizolastine, moxifloxacine, pentamidine, pimozide, pipamperone, pipotiazine, prucalopride, quinidine, sertindole, sotalol, spiramycine, sulpiride, sultopride, tiapride, toremifene, vandétanib, vincamine, zuclopenthixol).
Ce trouble du rythme cardiaque grave peut être provoqué par un certain nombre de médicaments, antiarythmiques ou non. L'hypokaliémie (notamment induite par des médicaments hypokaliémiants) est un facteur favorisant, de même que la bradycardie (notamment induite par des médicaments bradycardisants) ou un allongement préexistant de l'intervalle QT, congénital ou acquis. Les médicaments à l'origine de cet effet indésirable sont notamment les antiarythmiques de classe Ia et III, et certains neuroleptiques. D'autres molécules n'appartenant pas à ces classes sont également en cause.
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
Surveillance clinique et électrocardiographique pendant l'association.
+ BradycardisantRisque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
Surveillance clinique et électrocardiographique.
+ Antivitaminique K (acenocoumarol, fluindione, phenindione, warfarine)Augmentation de l'effet de l'antivitamine K et du risque hémorragique. Contrôle plus fréquent de l'INR. Adaptation éventuelle de la posologie de l'antivitamine K pendant le traitement par le macrolide et après son arrêt.
Problèmes particuliers du déséquilibre de l'INR
De nombreux cas d'augmentation de l'activité des anticoagulants oraux ont été rapportés chez des patients recevant des antibiotiques. Le contexte infectieux ou inflammatoire marqué, l'âge et l'état général du patient apparaissent comme des facteurs de risque. Dans ces circonstances, il apparaît difficile de faire la part entre la pathologie infectieuse et son traitement dans la survenue du déséquilibre de l'INR.
Cependant, certaines classes d'antibiotiques sont davantage impliquées: il s'agit notamment des fluoroquinolones, des macrolides, des cyclines, du cotrimoxazole et de certaines céphalosporines.
+ Atorvastatine, simvastatineRisque majoré d'effets indésirables (concentration-dépendants) à type de rhabdomyolyse.
Utiliser des doses plus faibles d'hypocholestérolémiants.
+ CiclosporineRisque d'augmentation des concentrations sanguines de ciclosporine et de la créatininémie.
Dosage des concentrations sanguines de ciclosporine, contrôle de la fonction rénale et adaptation de la posologie pendant l'association et après l'arrêt du macrolide.
+ Digoxine et autres digitaliquesAugmentation de la digoxinémie par augmentation de son absorption
Surveillance clinique (symptomatologie et contrôle ECG) et éventuellement de la digoxinémie pendant le traitement par l'azithromycine et après son arrêt.
Cette surveillance clinique est obligatoire s'il survient les symptômes suggérant un surdosage de digitalique. La toxicité cardiaque du digitalique peut se manifester par les symptômes suivants: nausée, vomissement, diarrhée, céphalée ou vertige, troubles du rythme ou de la conduction cardiaque.
Associations à prendre en compte + MidazolamMajoration légère de la sédation.
+ Théophylline (et, par extrapolation, aminophylline)Risque d'augmentation de la théophyllinémie, particulièrement chez l'enfant. Toutefois ceci ne requiert généralement pas de modification de la posologie usuelle.
Analogues en Russie
таб., покр. плен. обол.:
100 мг, 150 мг, 50 мг
таб., покр. плен. обол.:
150 мг
таб.:
150 мг
таб., покр. плен. обол.:
150 мг
таб., покр. плен. обол.:
150 мг
таб., покр. плен. обол.:
100 мг, 150 мг, 50 мг
таб., покр. плен. обол.:
150 мг
Analogues en France
comprimé pelliculé:
100 mg, 150 mg, 50 mg
poudre pour suspension buvable:
50 mg
comprimé pour suspension buvable:
50 mg
comprimé pelliculé:
100 mg, 150 mg
comprimé pelliculé:
100 mg, 50 mg
comprimé enrobé:
150 mg
poudre pour suspension buvable:
50 mg
comprimé pour suspension buvable:
50 mg
comprimé pelliculé:
150 mg