LOPERAMIDE - Anti-diarrhéique analogue structurel des opiacés.
Le médicament LOPERAMIDE appartient au groupe appelés Ralentisseurs du transit intestinal
Cette spécialité pharmaceutique a un code ATC - A07DA03
BIOGARAN (FRANCE) - Loperamide gélule 1,86 mg , 2010-11-12
ARROW GENERIQUES (FRANCE) - Loperamide gélule 2 mg , 1998-01-20
ARROW GENERIQUES (FRANCE) - Loperamide gélule 2 mg , 1998-02-24
Loperamide BIOGARAN CONSEIL 2 mg
gélule
BIOGARAN (FRANCE)
Dosage : 1,86 mg
Résumé des caractéristiques du médicament
Posologie
Réservé à l'adulte et à l'enfant à partir de 15 ans.
Posologie initiale : 2 gélules, puis 1 gélule supplémentaire, à prendre après chaque selle non moulée, mais :
ne jamais dépasser 6 gélules par jour ;
ne jamais dépasser 2 jours de traitement.
Enfant
LOPERAMIDE BIOGARAN CONSEIL ne doit pas être utilisé chez l'enfant de moins de 15 ans.
Sujets âgés
Sujets âgés
Aucun ajustement posologique n'est nécessaire.
Insuffisance rénale
Aucun ajustement posologique n'est nécessaire.
Insuffisance hépatique
Bien qu'il n'existe pas de données pharmacocinétiques chez les patients insuffisants hépatiques, le lopéramide doit être utilisé avec précaution chez ces patients du fait de la réduction de l'effet de premier passage .
Mode d'administration
Voie orale.
Fabricant
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LES LABORATOIRES SERVIER INDUSTRIE
905 ROUTE DE SARTAN, 45520 GIDY, FRANCE,
FRANCE
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Exploitant
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BIOGARAN
15, BOULEVARD CHARLES DE GAULLE, 92700 COLOMBES,
FRANCE
|
Loperamide ALMUS 2 mg
gélule 1,86 mg
BIOGARAN (FRANCE)
Loperamide ARROW 2 mg
gélule 1,86 mg
ARROW GENERIQUES (FRANCE)
Loperamide ARROW CONSEIL 2 mg
gélule 1,86 mg
ARROW GENERIQUES (FRANCE)
Loperamide BIOGARAN 2 mg
gélule 1,86 mg
BIOGARAN (FRANCE)
Loperamide CRISTERS 2 mg
gélule 1,86 mg
CRISTERS (FRANCE)
Loperamide EG 2 mg
gélule 1,86 mg
EG LABO - LABORATOIRES EUROGENERICS (FRANCE)
Loperamide EVOLUGEN 2 mg
gélule 1,86 mg
EVOLUPHARM (FRANCE)
Loperamide GNR 2 mg
gélule 1,86 mg
SANDOZ (FRANCE)
Loperamide LYOC 2 mg
lyophilisat oral 1,86 mg
TEVA SANTE (FRANCE)
Loperamide MYLAN 2 mg
gélule 1,86 mg
MYLAN SAS (FRANCE)
Loperamide MYLAN PHARMA 2 mg
gélule 1,86 mg
MYLAN SAS (FRANCE)
Loperamide NOR 2 mg
gélule 1,86 mg
BIOGARAN (FRANCE)
Loperamide PHARMYGIENE-SCAT 0,2 mg/ml ENFANTS
solution buvable en gouttes 1,86 mg
LABORATOIRES OMEGA PHARMA FRANCE (FRANCE)
Loperamide PHR LAB 2 mg
gélule 1,86 mg
BIOGARAN (FRANCE)
Loperamide RPG 2 mg
gélule 1,86 mg
RANBAXY PHARMACIE GENERIQUES (FRANCE)
Loperamide SANDOZ 2 mg
comprimé effervescent 1,86 mg
SANDOZ (FRANCE)
Loperamide SANDOZ 2 mg
gélule 1,86 mg
SANDOZ (FRANCE)
Loperamide SANDOZ CONSEIL 2 mg
gélule 1,86 mg
SANDOZ (FRANCE)
Loperamide SYNTHELABO OTC 2 mg
gélule 1,86 mg
SANOFI AVENTIS FRANCE (FRANCE)
Loperamide TEVA 2 mg
comprimé pelliculé 1,86 mg
TEVA SANTE (FRANCE)
Loperamide TEVA 2 mg
gélule 1,86 mg
TEVA SANTE (FRANCE)
Loperamide TEVA CLASSICS 2 mg
gélule 1,86 mg
TEVA SANTE (FRANCE)
Loperamide TEVA CONSEIL 2 mg
gélule 1,86 mg
TEVA SANTE (FRANCE)
Loperamide URGO 2 mg
gélule 1,86 mg
URGO (FRANCE)
Loperamide VIAREF 2 mg
gélule 1,86 mg
SANDOZ (FRANCE)
Loperamide WINTHROP 2 mg
gélule 1,86 mg
SANOFI AVENTIS FRANCE (FRANCE)
Loperamide ZENTIVA 2 mg
gélule 1,86 mg
SANOFI AVENTIS FRANCE (FRANCE)
Loperamide ZENTIVA CONSEIL 2 mg
gélule 1,86 mg
SANOFI AVENTIS FRANCE (FRANCE)
Loperamide ZYDUS 2 mg
gélule 1,86 mg
ZYDUS FRANCE (FRANCE)
Loperamide ZYDUS FRANCE 2 mg
gélule 1,86 mg
ZYDUS FRANCE (FRANCE)
Traitement symptomatique des diarrhées aiguës et chroniques.
Le traitement ne dispense pas de mesures diététiques et d'une réhydratation si elle est nécessaire.
L'importance de la réhydratation par soluté de réhydratation orale ou par voie intraveineuse doit être adaptée en fonction de l'intensité de la diarrhée, de l'âge et des particularités du patient (maladies associées...).
Anti-diarrhéique analogue structurel des opiacés.
Activité anti-sécrétoire par augmentation du flux hydroélectrolytique de la lumière intestinale vers le pôle plasmatique de l'entérocyte et réduction du flux inverse.
Ralentissement du transit colique avec augmentation des contractions segmentaires.
Effets rapides et durables.
Respecte les caractères bactériologiques et parasitologiques des selles.
Absorption
Le lopéramide est peu résorbé par voie digestive. Il subit un important effet de premier passage hépatique.
Les concentrations plasmatiques sont faibles (2 ng/mL après l'administration d'environ 8 mg de lopéramide par jour).
Chez l'homme, le pic plasmatique se situe entre 2 et 4 heures.
Élimination
Le lopéramide est principalement métabolisé par le foie et sa demi-vie d'élimination est de 10,8 heures avec des variations allant de 9 à 14 heures. Les études de distribution chez le rat montrent une forte affinité pour la paroi intestinale, le lopéramide se liant préférentiellement aux récepteurs de la couche musculaire longitudinale. Chez l'homme, le lopéramide est bien absorbé par l'intestin, mais il est pratiquement complètement métabolisé par le foie où il est conjugué et excrété par la bile. Du fait du très grand effet de premier passage hépatique, les concentrations plasmatiques en lopéramide restent extrêmement faibles.
Son élimination se fait principalement dans les fèces.
Adultes et enfants âgés de 12 ans ou plus
La sécurité d'emploi du chlorhydrate de lopéramide a été évaluée chez 3076 adultes et enfants âgés de 12 ans ou plus qui ont participé à 31 essais cliniques contrôlés et non contrôlés portant sur le traitement de la diarrhée par le chlorhydrate de lopéramide. Parmi ces essais, 26 concernaient le traitement de la diarrhée aigüe (N=2755) et 5 le traitement de la diarrhée chronique (N=321).
Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés (avec une incidence ≥ 1%) dans les essais cliniques au cours d'un traitement par le chlorhydrate de lopéramide dans la diarrhée aigüe ont été la constipation (2,7%), les flatulences (1,7%), les maux de tête (1,2%) et les nausées (1,1%).
Dans les essais cliniques portant sur la diarrhée chronique, les effets indésirables les plus fréquemment rapportés (avec une incidence ≥ 1%) ont été les flatulences (2,8%), la constipation (2,2%), les nausées (1,2%) et les sensations vertigineuses (1,2%).
Le tableau suivant présente les effets indésirables rapportés lors de l'utilisation du chlorhydrate de lopéramide au cours des essais cliniques ou lors de l'expérience post-marketing. Les effets indésirables sont classés par système organe et fréquence en utilisant la convention suivante : très fréquent (≥ 1/10), fréquent (≥ 1/100 à <1/10), peu fréquent (≥ 1/1 000 à <1/100), rare (≥ 1/10 000 à <1/1 000), très rare (<1/10 000), fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles). Le procédé de détermination des effets indésirables rapportés depuis la commercialisation pour le chlorhydrate de lopéramide ne permet pas de différencier les indications (aigüe ou chronique) ou la population (adulte, enfant).
Effets indésirables | ||||
Classes de système d'organe | Fréquent | Peu fréquent | Rare | Fréquence indéterminée |
Affections du système nerveux | Céphaléesa | Céphaléesb | Somnolence, perte de conscience, stupeur, diminution du niveau de conscience, hypertonie, troubles de la coordination | |
Sensations vertigineusesb | Sensations vertigineusesa | |||
Affections gastro-intestinales | Constipation, nausées, flatulences | Douleurs abdominales, gêne abdominale, sècheresse buccale | Distension abdominalea | Iléus (y compris iléus paralytique), mégacôlon (y compris |
Douleur abdominale hautea | colectasie), glossodynie | |||
vomissementsa | ||||
Dyspepsieb | ||||
Affections de la peau et du tissu sous-cutané | Rasha | Eruption bulleuse (incluant syndrome de Stevens Johnson, nécrolyse épidermique toxique et érythème multiforme), dème de Quincke, urticaire, prurit | ||
Affections du système immunitaire | Réaction d'hypersensibilité, réaction anaphylactique (incluant choc anaphylactique), réaction anaphylactoïde | |||
Affections oculaires | Myosis | |||
Affections du rein et des voies urinaires | Rétention urinaire | |||
Troubles généraux et anomalies au site d'administration | Fatigue | |||
a : indication diarrhée aiguë | ||||
b : indication diarrhée chronique |
Population pédiatrique
La sécurité d'emploi du chlorhydrate de lopéramide a été évaluée chez 607 patients âgés de 10 jours à 13 ans ayant participé à 13 essais cliniques contrôlés et non contrôlés utilisant le chlorhydrate de lopéramide dans le traitement de la diarrhée aigüe. En général, le profil de tolérance dans cette population était similaire à celui observé dans les essais cliniques chez les adultes et les enfants âgés de 12 ans ou plus.
Enfant de moins de 8 ans.
Le chlorhydrate de lopéramide ne doit pas être utilisé en traitement de 1ère intention en cas de :
dysenterie aiguë caractérisée par la présence de sang dans les selles et par une fièvre importante,
poussées aiguës de rectocolite hémorragique
entérocolite bactérienne due à une bactérie invasive telle que Salmonella, Shigella ou Campylobacter,
colite pseudomembraneuse associée à l'utilisation d'antibiotiques à large spectre.
Le chlorhydrate de lopéramide ne doit pas être utilisé lorsqu'une inhibition du péristaltisme doit être évitée en raison du risque de séquelles importantes incluant iléus, mégacôlon et colectasie. Le traitement doit être interrompu rapidement en cas d'apparition d'une constipation, d'une distension abdominale ou d'un iléus.
Grossesse
Les études chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène. En l'absence d'effet tératogène chez l'animal, un effet malformatif dans l'espèce humaine n'est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l'espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l'animal au cours d'études bien conduites sur deux espèces.
En clinique, l'utilisation du lopéramide au cours d'un nombre limité de grossesses n'a apparemment révélé aucun effet malformatif ou ftotoxique à ce jour. Toutefois, des études complémentaires sont nécessaires pour évaluer les conséquences d'une exposition en cours de grossesse.
En conséquence, l'utilisation du lopéramide ne doit être envisagée au cours de la grossesse que si nécessaire.
En cas de traitement prolongé, tenir compte de ses propriétés opiacées pouvant en particulier retentir sur les fonctions digestives du nouveau-né.
AllaitementLe passage du lopéramide dans le lait maternel est très faible; en conséquence, l'allaitement est possible en cas de traitement ponctuel par ce médicament.
En cas de traitement prolongé, tenir compte de ses propriétés opiacées.
Symptômes
En cas de surdosage (y compris de surdosage lié à une insuffisance hépatique), une dépression du système nerveux central ( diminution de la vigilance, stupeur somnolence, myosis, hypertonie, dépression respiratoire, incoordination motrice), une rétention urinaire et un iléus peuvent être observés. Les enfants peuvent être plus sensibles aux effets sur le système nerveux central.
Des effets cardiaques, tels qu'un allongement de l'intervalle QT et du complexe QRS ainsi que des torsades de pointes, d'autres arythmies ventriculaires graves, un arrêt cardiaque et une syncope, ont été observés chez des personnes ayant ingéré des doses excessives de chlorhydrate de lopéramide . Des cas d'issue fatale ont également été rapportés.
Procédure d'urgence, antidote
En cas de surdosage, l'allongement de l'intervalle QT et du complexe QRS doivent être surveillés par ECG.
En cas de troubles du système nerveux central associés à un surdosage, la naloxone peut être utilisée comme antidote. La durée d'action du lopéramide étant plus longue que celle de la naloxone (1 à 3 heures), il peut être nécessaire de renouveler l'administration de cette dernière. En conséquence, le patient doit être maintenu sous surveillance médicale pendant au moins 48 heures pour déceler toute dépression du système nerveux central.
Des données non-cliniques ont indiqué que le lopéramide est un substrat de la glycoprotéine P. L'administration concomitante de lopéramide (dose unique de 16 mg) avec la quinidine ou le ritonavir, qui sont des inhibiteurs de la glycoprotéine P, a entraîné une augmentation des concentrations plasmatiques de lopéramide de 2 à 3 fois la normale. On ignore dans quelle mesure cette interaction pharmacocinétique avec les inhibiteurs de la glycoprotéine P est cliniquement significative lorsque le lopéramide est utilisé aux doses recommandées.
La co-administration de lopéramide (dose unique de 4 mg) et d'itraconazole, un inhibiteur du CYP3A4 et de la glycoprotéine P, a entraîné une augmentation des concentrations plasmatiques de lopéramide de 3 à 4 fois la normale. Au cours de la même étude un inhibiteur du CYP2C8, le gemfibrozil, a doublé les concentrations plasmatiques de lopéramide. La combinaison itraconazole et gemfibrozil a augmenté les concentrations plasmatiques maximales de lopéramide de 4 fois la normale et l'exposition plasmatique totale de 13 fois la normale. Ces augmentations n'ont pas été associées à des effets sur le système nerveux central (SNC) mesurables par des tests psychomoteurs (par ex. la somnolence subjective et le test de substitution chiffre-symbole).
L'administration concomitante de lopéramide (dose unique de 16 mg) et de kétoconazole, un inhibiteur du CYP3A4 et de la glycoprotéine P, a donné lieu à une augmentation des concentrations plasmatiques de lopéramide de 5 fois la normale. Cette augmentation n'est pas liée à un renforcement des effets pharmacodynamiques tels que mesurés par pupillométrie.
L'administration concomitante de desmopressine orale a augmenté de 3 fois la concentration plasmatique de la desmopressine, probablement à cause du ralentissement de la motilité gastro-intestinale.
Il est attendu que les médicaments ayant les mêmes propriétés pharmacologiques peuvent potentialiser l'effet de lopéramide, et que les médicaments accélérant le transit gastro-intestinal peuvent diminuer son effet.
Mises en garde spéciales
Le traitement de la diarrhée par le chlorhydrate de lopéramide est uniquement symptomatique. Lorsqu'une étiologie sous-jacente peut être déterminée, un traitement spécifique doit être administré, le cas échéant.
Si au bout de 2 jours de traitement la diarrhée persiste, le traitement par lopéramide devra être arrêté et les patients doivent être invités à consulter leur médecin. La nécessité d'une réhydratation par soluté de réhydratation orale ou par voie intraveineuse devra être envisagée.
Précautions d'emploi
Le lopéramide ne doit pas être utilisé comme traitement de première intention dans les dysenteries aiguës avec présence de sang dans les selles et fièvre importante.
Le lopéramide ne doit pas être utilisé en cas de diarrhées survenant au cours d'un traitement antibiotique à large spectre. En effet, on doit craindre alors une colite pseudomembraneuse avec toxi-infection. Dans ce cas, tout traitement entraînant une stase fécale doit être évité.
En règle générale, le lopéramide ne doit pas être utilisé lorsqu'une inhibition du péristaltisme doit être évitée et son administration doit être interrompue en cas d'apparition de constipation ou de distension abdominale.
Les patients sidéens traités par chlorhydrate de lopéramide en cas de diarrhée doivent cesser le traitement dès l'apparition des premiers signes de distension abdominale. Des cas isolés de constipation avec risque accru de mégacôlon toxique ont été rapportés chez des patients sidéens atteints de colite infectieuse à agents pathogènes viraux et bactériens, et traités par le chlorhydrate de lopéramide.
Des effets cardiaques incluant un allongement de l'intervalle QT et des torsades de pointes ont été rapportés lors de surdosage. Dans certains cas l'évolution a été fatale . Les patients ne doivent pas dépasser la dose et/ou la durée de traitement recommandées.
Bien qu'il n'existe pas de données pharmacocinétiques chez les patients insuffisants hépatiques, le lopéramide doit être utilisé avec précaution chez ces patients du fait de la réduction de l'effet de premier passage. L'insuffisant hépatique doit faire l'objet d'une surveillance particulière concernant l'apparition des signes de toxicité du système nerveux central (SNC).
Si l'utilisation du lopéramide s'avère nécessaire chez les patients souffrant d'affections inflammatoires du tube digestif incluant le côlon, elle doit être envisagée avec précaution en raison du risque de mégacôlon toxique.
Le patient devra être informé de la nécessité de :
se réhydrater par des boissons abondantes, salées ou sucrées, afin de compenser les pertes de liquide dues à la diarrhée (la ration quotidienne moyenne en eau de l'adulte est de 2 litres),
s'alimenter le temps de la diarrhée,
§ en excluant certains apports et particulièrement les crudités, les fruits, les légumes verts, les plats épicés, ainsi que les aliments ou boissons glacés. § en privilégiant les viandes grillées, le riz.Ce médicament contient de la maltodextrine (glucose) et du lactose. Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au lactose, un déficit en lactase de Lapp ou un syndrome de malabsorption du glucose ou du galactose (maladies héréditaires rares).
Ce médicament contient du sorbitol. Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au fructose (maladie héréditaire rare).
Analogues en Russie
таб.:
2 мг
таб. жеват.:
2 мг
капсулы:
2 мг
капсулы:
2 мг
таблетки - лиофилизат:
2 мг
таб.:
2 мг
капсулы:
2 мг
таб.:
2 мг
капсулы:
0.002 г, 2 мг
капсулы:
2 мг
Analogues en France
comprimé:
1,00 mg
gélule:
2 mg
gélule:
1,86 mg
lyophilisat oral:
2 mg
gélule:
2,00 mg
gélule:
2 mg