NEISVAC - Aucun essai clinique d'efficacité n'a été réalisé.
Le médicament NEISVAC appartient au groupe appelés Vaccins et anatoxines
Cette spécialité pharmaceutique a un code ATC - J07AH Vaccins antiméningococciques
PFIZER HOLDING FRANCE (FRANCE) - Neisvac suspension injectable (IM) 10 microgrammes polyoside (de O-acétylaté) de Neisseria meningitidis de groupe C (souche C11) , 2003-11-24
Neisvac
suspension injectable (IM) 10 microgrammes polyoside (de O-acétylaté) de Neisseria meningitidis de groupe C (souche C11)
PFIZER HOLDING FRANCE (FRANCE)
NEISVAC est indiqué pour l'immunisation active des enfants à partir de l'âge de 2 mois, des adolescents et des adultes pour la prévention des maladies invasives dues à Neisseria meningitidis du sérogroupe C.
L'utilisation de NEISVAC doit suivre les recommandations officielles.
Aucun essai clinique d'efficacité n'a été réalisé.
Le titrage des anticorps sériques bactéricides (lASB) mentionné dans le texte ci-après a utilisé du sérum de lapin comme source de complément et de souche C11.
Immunogénicité chez les nourrissons
Une étude clinique (n = 786) a évalué la réponse immunitaire d'une dose unique de NEISVAC administrée à l'âge de 4 mois ou à l'âge de 6 mois, par rapport à deux doses de NEISVAC administrées à l'âge de 2 mois et de 4 mois. Les nourrissons ont tous reçu une dose de rappel à l'âge de 12-13 mois.
Proportion des sujets avec des titres d'anticorps séroprotecteurs | |||
Calendrier | Après la primovaccination (lASB ≥ 8)* IC 90 % | Avant rappel (lASB ≥ 8)** IC 90 % | Après rappel (lASB ≥ 128)* IC 90 % |
Dose unique à l'âge de 4 mois | 99,6 % 98,3 - 100,0 | 78,9 % 73,4 - 82,2 | 98,9 % 97,1 - 99,7 |
Dose unique à l'âge de 6 mois | 99,2 % 97,6 - 99,9 | 90,7 % 87,2 - 93,5 | 99,6 % 98,2 - 100,0 |
Deux doses à l'âge de 2 et 4 mois | 99,6 % 98,1 - 100,0 | 67,8 % 62,5 - 72,7 | 99,6 % 98,1 - 100,0 |
*Prélèvement sanguin un mois après la vaccination
**Prélèvement sanguin immédiatement avant la dose de rappel
Immunogénicité chez les jeunes enfants
Les études de pharmacocinétique ne sont pas nécessaires pour les vaccins.
Tableau résumé du profil de tolérance
Effets indésirables observés lors d'essais cliniques
Les effets indésirables suivants listés ci-dessous ont été identifiés au cours d'études cliniques conduites avec NEISVAC chez des nourrissons/jeunes enfants âgés de 2 mois à <18 mois (n=1266), chez des enfants âgés de 3,5 ans à <18 ans (n=1911) et chez des adultes (n=130).
La fréquence des effets indésirables rapportés durant ces études cliniques est basée sur l'échelle suivante :
Très fréquent (>1/10); Fréquent (>1/100-<1/10), Peu fréquent (>1/1000-<1/100), Rare (>1/10000-<1/1000).
Fréquence | Classe Système Organe (CSO) | Effets indésirables observés lors d'essais cliniques | ||
Nourrissons/Jeunes enfants âgés de 2 mois à <18 mois | Enfants âgés de 3,5 ans à < 18 ans | Adultes | ||
Très fréquent | TROUBLES DU METABOLISME ET DE LA NUTRITION | Perte d'appétit | - | - |
AFFECTIONS DU SYSTEME NERVEUX | Pleurs Sédation/Somnolence | Maux de tête | Maux de tête | |
AFFECTIONS GASTRO-INTESTINALES | Vomissement | - | - | |
TROUBLES GENERAUX ET ANOMALIES AU SITE D'ADMINISTRATION | Irritabilité, Fatigue*, Fièvre Réactions au niveau du point d'injection incluant douleur/sensibilité, gonflement et érythème | Réactions au niveau du point d'injection incluant douleur/sensibilité, gonflement et érythème | Réactions au niveau du point d'injection incluant douleur/sensibilité, gonflement et érythème | |
Fréquent | INFECTIONS ET INFESTATIONS | Pharyngite/Rhinite | Pharyngite/Rhinite | - |
AFFECTIONS PSYCHIATRIQUES | Agitation/Nervosité Troubles du sommeil (problèmes d'endormissement) | - | - | |
AFFECTIONS DU SYSTEME NERVEUX | - | Sensations vertigineuses, Sédation/Somnolence | - | |
AFFECTIONS RESPIRATOIRES, THORACIQUES ET MEDIASTINALES | Toux | Toux | - | |
AFFECTIONS GASTRO-INTESTINALES | Diarrhée | Nausée, Douleur abdominale, Vomissement, Diarrhée | Vomissement | |
AFFECTIONS DE LA PEAU ET DU TISSU SOUS-CUTANE | Rash, Hyperhidrose | Prurit, Ecchymose, Dermatite | - | |
AFFECTIONS MUSCULO-SQUELETTIQUES ET SYSTEMIQUES | - | Douleur dans les extrémités | Myalgie | |
TROUBLES GENERAUX ET DES ANOMALIES AU SITE D'ADMINISTRATION | - | Fièvre, Malaise, Fatigue | Malaise, Fièvre | |
Peu fréquent | AFFECTIONS HEMATOLOGIQUES ET DU SYSTEME LYMPHATIQUE | - | Lymphadénopathies | Lymphadénopath-ies |
AFFECTIONS DU SYSTEME IMMUNITAIRE | - | Réactions d'hypersensibilité (y compris bronchospasme) | - | |
TROUBLES DU METABOLISME ET DE LA NUTRITION | - | Perte d'appétit | - | |
AFFECTIONS PSYCHIATRIQUES | - | Agitation/Nervosité | - | |
AFFECTIONS DU SYSTEME NERVEUX | - | Anomalies sensorielles (paresthésie, sensation de brûlure, hypoesthésie), Syncope, Pleurs, Convulsions | - | |
AFFECTIONS OCULAIRES | - | dème de la paupière | - | |
AFFECTIONS VASCULAIRES | Bouffées de chaleur | Bouffées de chaleur | - | |
AFFECTIONS RESPIRATOIRES, THORACIQUES ET MEDIASTINALES | - | Congestion nasale | - | |
AFFECTIONS GASTRO-INTESTINALES | Douleur abdominale Dyspepsie | - | - | |
TROUBLES DE LA PEAU ET DU TISSU SOUS-CUTANE | Erythème | Hyperhidrose, Rash | - | |
AFFECTIONS MUSCULO-SQUELETTIQUES ET SYSTEMIQUES | Douleur dans les extrémités | Raideur musculo-squelettique (incluant une raideur au niveau du cou et une raideur articulaire), Douleur au niveau du cou, Myalgie, Arthralgie, Douleur au niveau du dos | - | |
TROUBLES GENERAUX ET ANOMALIES AU SITE D'ADMINISTRATION | dème périphérique, Malaise, Frissons | Irritabilité, Asthénie, dème périphérique, Frissons | Syndrome pseudo-grippal | |
Rare | AFFECTIONS DU SYSTEME IMMUNITAIRE | Réactions d'hypersensibilité (y compris bronchospasme) | - | - |
AFFECTIONS OCULAIRES | dème de la paupière | - | - | |
AFFECTIONS VASCULAIRES | Collapsus circulatoire | Collapsus circulatoire | - | |
AFFECTIONS DE LA PEAU ET DU TISSU SOUS-CUTANE | Ecchymose | - | - | |
AFFECTIONS MUSCULO-SQUELETTIQUES ET DU TISSU CONJONCTIF | Raideur musculo-squelettique (incluant une raideur du cou et une raideur articulaire) | - | - | |
TROUBLES GENERAUX ET ANOMALIES AU SITE D'ADMINISTRATION | - | Syndrome pseudo-grippal | - |
*Pour les nourrissons et les jeunes enfants, voir Classe Système Organe « Affections du système nerveux »
Dans une étude (n = 945) comparant deux schémas de primovaccination à une seule dose (vaccination à l'âge de 4 mois ou à l'âge de 6 mois) avec un schéma de primovaccination à deux doses (vaccinations à l'âge de 2 mois et à l'âge de 4 mois), les réactions locales et systémiques sont survenues à des taux comparables dans les trois groupes étudiés, et étaient principalement d'intensité légère. Deux effets indésirables, qui ne figurent pas dans le tableau des effets indésirables ci-dessus, ont été rapportés dans cette étude : une induration au site d'injection et une dermatite, avec une fréquence globale de 53,0 % et de 0,2 %, respectivement.
Expérience rapportée dans le cadre de la surveillance après-commercialisation
Les effets indésirables suivants décrits dans le tableau ci-dessous ont été rapportés durant l'expérience post-AMM. Les fréquences de ces événements ne sont pas connues car elles ne peuvent pas être estimées à partir de données disponibles.
Classe Système Organe (CSO) | Type de réaction |
AFFECTIONS HEMATOLOGIQUES ET DU SYSTEME LYMPHATIQUE | Purpura thrombopénique idiopathique, Lymphadénopathies |
AFFECTIONS DU SYSTEME IMMUNITAIRE | Anaphylaxie, angio-dème (incluant dème facial), Réactions d'hypersensibilité (y compris bronchospasme) |
TROUBLES DU METABOLISME ET DE LA NUTRITION | Perte d'appétit |
AFFECTIONS PSYCHIATRIQUES | Trouble du sommeil (incluant problèmes d'endormissement) |
AFFECTIONS DU SYSTEME NERVEUX | Convulsions fébriles, Convulsions, Méningisme, Episode d'hypotonie-hyporéactivité, Syncope, Sensations vertigineuses, Anomalies sensorielles (incluant paresthésie, sensation de brûlure, hypoesthésie), Hypersomnie |
AFFECTIONS RESPIRATOIRES, THORACIQUES ET MEDIASTINALES | Apnée, Dyspnée, Sifflements, Congestion nasale |
TROUBLES GASTRO-INTESTINAUX | Nausées |
AFFECTIONS DE LA PEAU ET DU TISSU SOUS-CUTANE | Syndrome de Stevens-Johnson, Erythème polymorphe, Pétéchies, Purpura, Urticaire, Eruptions cutanées*, Erythème |
AFFECTIONS MUSCULO-SQUELETTIQUES ET SYSTEMIQUES | Raideurs musculo-squelettiques (incluant des raideurs au niveau du cou et des raideurs articulaires), Douleurs au niveau du cou, Douleurs dans les extrémités |
TROUBLES GENERAUX ET ANOMALIES AU SITE D'ADMINISTRATION | dèmes périphériques, Asthénie, Fatigue, Frissons |
*Incluant une éruption maculovésiculaire, une éruption vésiculaire, une éruption maculopapulaire, une éruption papulaire, une éruption maculaire, des boutons de chaleur, une éruption érythémateuse, une éruption généralisée, une éruption avec prurit.
Réactions de classe
Une rechute d'un syndrome néphrotique a été rapportée en association avec les vaccins conjugués méningococciques du groupe C chez les enfants.
Comme pour les autres vaccins, l'administration de NEISVAC doit être différée chez les sujets présentant une maladie fébrile aiguë sévère.
Grossesse
Il n'y a pas de données adéquates concernant l'utilisation de ce vaccin chez la femme enceinte. Les études animales ne sont pas concluantes pour ce qui est des effets sur la gestation, le développement embryonnaire / ftal, l'accouchement et le développement postnatal. Le risque potentiel en clinique n'est pas connu. Néanmoins, devant la gravité de la maladie méningococcique C, la grossesse ne doit pas faire exclure la vaccination lorsque le risque d'exposition est clairement défini.
Allaitement
Il n'y a pas de données adéquates concernant l'utilisation de ce vaccin pendant l'allaitement. Le rapport risque / bénéfice doit être évalué avant de prendre une décision d'immuniser ou non pendant l'allaitement.
Fertilité
Les effets de NEISVAC sur la fertilité n'ont pas été établis.
Un surdosage avec ce vaccin est très improbable, car il est administré dans une seringue en dose unitaire par un professionnel de santé.
Doses multiples : dans une étude clinique conduite chez des nourrissons, 40 sujets ont reçu trois doses de NEISVAC à l'âge de 2 mois, 3 mois et 4 mois, et une quatrième dose à l'âge de 12-14 mois. Les quatre doses de vaccin ont toutes été bien tolérées, sans événement indésirable grave associé au vaccin.
NEISVAC ne doit pas être mélangé à d'autres vaccins dans la même seringue. Des sites d'injection séparés doivent être utilisés si plus d'un vaccin est administré.
L'administration de NEISVAC en même temps (mais dans des sites d'injection séparés) que des vaccins contenant les antigènes suivants n'a pas eu d'effet cliniquement significatif sur la réponse immunologique à ces antigènes lors d'essais cliniques :
diphtérique et tétanique (DT),
coquelucheux à germes entiers,
coquelucheux acellulaires (Ca),
vaccins Haemophilus influenzae type b (Hib) conjugués,
vaccin poliomyélitique inactivé (Polio),
vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole (ROR),
vaccin pneumococcique conjugué (7-, 10-, et 13-valents).
Des variations mineures des titres d'anticorps (Moyenne Géométrique des titres) ont été parfois observées entre les administrations concomitantes et séparées ; toutefois la signification clinique de ces observations n'a pas été établie.
L'administration concomitante de NEISVAC (schéma à 2 doses adapté aux nourrissons) et DTCa-Polio-VHB-Hib en primovaccination en 3 doses chez les nourrissons n'a pas montré d'interférence cliniquement pertinente dans les réponses à chaque antigène contenu dans le vaccin hexavalent.
Dans diverses études menées avec différents vaccins, l'administration concomitante de vaccins conjugués méningococciques du sérogroupe C avec des combinaisons contenant des composants coquelucheux acellulaires (avec ou sans virus poliomyélitiques inactivés, antigène de surface de l'hépatite B ou antigènes Hib conjugués) a montré des moyennes géométriques des titres d'anticorps sériques bactéricides (ASB) plus faibles comparativement aux administrations séparées ou aux co-administrations avec des vaccins coquelucheux à germes entiers. Les proportions de sujets qui atteignent des titres d'ASB d'au moins 1/8 ou 1/128 ne sont pas touchées. Actuellement, les conséquences potentielles de ces observations sur la durée de protection ne sont pas connues.
Le taux de réponse immunitaire vis-à-vis de NEISVAC, administré un mois après le vaccin tétanique, était de 95,7% comparé à 100% lorsque les vaccins étaient administrés simultanément.
La co-administration d'un vaccin oral rotavirus (vaccin RotaTeq) avec NEISVAC chez des nourrissons âgés de 3 et 5 mois (habituellement administrée au même moment que le vaccin DTCa-Polio-Hib), suivie d'une troisième dose de vaccin rotavirus chez les mêmes nourrissons âgés approximativement de 6 mois, a démontré que la réponse immunitaire des deux vaccins n'était pas affectée. Cette co-administration présente un profil de tolérance satisfaisant.
Un traitement médical approprié ainsi que les dispositions nécessaires doivent être disponibles immédiatement en cas de réaction anaphylactique qui pourrait survenir dans de rares cas. C'est pour cette raison que le sujet doit rester sous surveillance pendant la durée appropriée après vaccination.
NEISVAC NE DOIT EN AUCUN CAS ETRE INJECTE PAR VOIE INTRAVEINEUSE OU PAR VOIE SOUS-CUTANEE.
Lors de l'utilisation du vaccin chez des personnes ayant des problèmes de coagulation (ex. thrombopénie) ou en association avec un traitement anticoagulant, le rapport bénéfice-risque doit être évalué avec précaution en raison du risque de saignement ou d'hématome au niveau du point d'injection.
Le risque potentiel d'apnée avec nécessité de surveillance respiratoire pendant 48-72 h doit être soigneusement pris en compte lors de l'administration des doses de primovaccination chez les grands prématurés (nés à 28 semaines de grossesse ou moins) et particulièrement chez ceux ayant des antécédents d'immaturité respiratoire.
En raison du bénéfice élevé de la vaccination chez les nourrissons, l'administration ne doit pas être suspendue ou reportée.
Ce médicament contient moins d'1mmol de sodium (23 milligrammes) par dose, c'est-à-dire, qu'il est essentiellement « sans sodium ».
Il n'existe pas de données disponibles sur l'utilisation du vaccin dans le contrôle d'une épidémie.
L'évaluation -bénéfice-risque d'une vaccination avec NEISVAC dépend de l'incidence de l'infection par les sérogroupes C de Neisseria meningitidis dans une population donnée avant introduction d'un programme élargi de vaccination.
La vaccination doit être différée chez des patients présentant des maladies aiguës (avec ou sans fièvre) qui pourraient être aggravées par d'éventuels effets indésirables dus au vaccin ou qui pourraient interférer dans l'interprétation d'éventuels effets indésirables dus au vaccin.
Chez les sujets immunodéprimés (par ex., en raison d'une maladie génétique ou d'un traitement immunosuppresseur), ce vaccin peut ne pas induire la production de taux d'anticorps protecteurs après vaccination. Par conséquent, la vaccination peut ne pas entraîner une réponse en anticorps protecteurs chez tous les sujets.
Les sujets présentant un déficit en fractions du complément et les sujets présentant une asplénie fonctionnelle ou anatomique pourraient développer une réponse immunitaire aux vaccins méningococciques C conjugués ; cependant, le degré de protection qui serait acquis est inconnu.
Bien que des symptômes de type méningé tels que raideur / douleur de la nuque ou photophobie aient été rapportés, il n'y a aucune preuve que les vaccins méningococciques du groupe C conjugués provoquent une méningite à méningocoque C. Par conséquent, la vigilance clinique quant à la possibilité d'une méningite coïncidente doit être maintenue.
Ce vaccin ne remplace pas l'immunisation classique contre le tétanos.
NEISVAC ne protège que contre le groupe C de Neisseria meningitidis et ne peut pas prévenir totalement les maladies méningococciques du groupe C. Il ne protège pas contre les autres sérogroupes de Neisseria meningitidis ni d'autres micro-organismes responsables de méningite ou de septicémie. En cas d'apparition de pétéchies et/ou de purpura à la suite de la vaccination , l'étiologie doit être scrupuleusement étudiée. Il faut considérer à la fois les causes infectieuses et non-infectieuses.
Il n'existe pas de données sur l'utilisation de NEISVAC chez les adultes âgés de 65 ans et plus .
Analogues en Russie
Rien trouvé
Analogues en France
suspension injectable (IM):
10 microgrammes d'oligoside de Neisseria meningitidis (souche C11) groupe C
suspension injectable (IM - SC):
10 microgrammes
poudre et solvant pour suspension injectable (IM):
10 microgrammes, 10 microgrammes d'oligoside de Neisseria meningitidis (souche C11) groupe C
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10 microgrammes polyoside (de O-acétylaté) de Neisseria meningitidis de groupe C (souche C11)