ORABLOC - est un anesthésique local de type amide utilisé pour l'anesthésie par infiltration ou par bloc nerveux en pratique odonto-stomatologique.
Le médicament ORABLOC appartient au groupe appelés Les amino-amides
Cette spécialité pharmaceutique a un code ATC - N01BB58
Pierrel Pharma S.r.l. (ITALIE) - Orabloc solution injectable 40 mg+0,01 mg , 2014-08-19
Pierrel Pharma S.r.l. (ITALIE) - Orabloc solution injectable 40 mg+0,005 mg , 2014-08-19
Orabloc 40 mg/ml ADRENALINEE au 1/100 000
solution injectable 40 mg+0,005 mg
Pierrel Pharma S.r.l. (ITALIE)
Orabloc 40 mg/ml ADRENALINEE au 1/200 000
solution injectable 40 mg+0,005 mg
Pierrel Pharma S.r.l. (ITALIE)
ORABLOC est indiqué chez l'adulte, l'adolescent et l'enfant âgé de 4 ans et plus pour l'anesthésie locale (anesthésie par infiltration ou par bloc nerveux) en pratique odonto-stomatologique.
Interventions courantes comme les extractions de dents isolées ou en série sans complications, les préparations de cavités et de moignons coronaires.
ORABLOC est un anesthésique local de type amide utilisé pour l'anesthésie par infiltration ou par bloc nerveux en pratique odonto-stomatologique. Son délai d'action est rapide (agit en 1 à 3 min) avec un effet analgésique puissant et une bonne tolérance au niveau des tissus.
La durée d'une anesthésie efficace est d'environ 45 min pour ORABLOC 40 mg/ml ADRENALINEE au 1/200 000, solution injectable et d'environ 75 min pour ORABLOC, solution injectable.
Le mécanisme d'action de l'articaïne est supposé reposer sur l'inhibition de la conduction des fibres nerveuses, due au blocage des canaux Na+ voltage-dépendants de la membrane cellulaire.
De par sa très faible concentration en adrénaline (épinéphrine) et sa puissance d'action, ORABLOC 40 mg/ml ADRENALINEE au 1/200 000, solution injectable peut être utilisé chez les patients atteints de maladies cardiovasculaires.
Population pédiatrique
Selon des études cliniques réalisées chez 210 patients, chez les enfants âgés de 3,5 à 16 ans, l'administration d'articaïne à 4 % + adrénaline (épinéphrine) à 0,005 mg/ml à des doses atteignant 5 mg/kg et celle d'articaïne à 4 % + adrénaline (épinéphrine) à 0,010 mg/ml à des doses atteignant 7 mg/kg ont permis d'obtenir une anesthésie locale satisfaisante si elle était réalisée par infiltration (mandibulaire) ou par bloc nerveux (maxillaire). La durée de l'anesthésie était similaire pour toutes les tranches d'âge et dépendait du volume administré
Dans le sérum, l'articaïne est liée à 95 % aux protéines plasmatiques. Après injection dans la muqueuse buccale, la demi-vie d'élimination est de 25,3 ± 3,3 min. 10 % de l'articaïne sont métabolisés dans le foie, principalement par des estérases plasmatiques et tissulaires. L'articaïne est ensuite excrétée par voie rénale, essentiellement sous la forme d'acide articaïnique.
Chez l'enfant, l'exposition globale au produit après infiltration vestibulaire est comparable à celle observée chez l'adulte, mais le pic de concentration sérique est atteint plus rapidement.
La fréquence des effets indésirables est définie selon les catégories suivantes :
Très fréquent (≥ 1/10)
Fréquent (≥ 1/100, < 1/10)
Peu fréquent (≥ 1/1 000, < 1/100)
Rare (≥ 1/10 000, < 1/1 000)
Très rare (< 1/10 000)
Fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
Affections du système immunitaire
Fréquence indéterminée : réactions allergiques ou réactions pseudo-allergiques (hypersensibilité). Elles peuvent se manifester par un gonflement démateux et/ou une inflammation au point d'injection; elles peuvent également se manifester indépendamment du site d'injection et consister en un érythème, un prurit, une conjonctivite, une rhinite, un dème facial (angidème) avec gonflement de la lèvre supérieure et/ou de la lèvre inférieure, et/ou un gonflement des joues, un dème de la glotte avec globe hystérique et déglutition difficile, une urticaire et des difficultés respiratoires qui peuvent évoluer vers un choc anaphylactique.
Affections du système nerveux
Fréquent : paresthésie, hypoesthésie; céphalées, dues probablement à la présence d'adrénaline.
Peu fréquent : sensation de vertige.
Fréquence indéterminée :
Des réactions du système nerveux central liées à la dose sont possibles (notamment aux posologies excessivement élevées ou après injection intravasculaire accidentelle): agitation, nervosité, stupeur évoluant parfois vers une perte de connaissance, coma, troubles respiratoires conduisant à un arrêt respiratoire dans certains cas, tremblements musculaires et contractions fasciculaires évoluant parfois vers des convulsions généralisées.
Au niveau de la région oro-faciale, des lésions nerveuses (parésie du nerf facial par exemple) et une sensibilité gustative réduite ne sont pas des effets indésirables spécifiques à l'articaïne. Cependant, de telles réactions sont théoriquement possibles quelle que soit l'intervention dentaire, du fait des caractéristiques anatomiques de la zone d'injection ou de techniques d'injection inappropriées.
Affections oculaires
Fréquence indéterminée : troubles visuels transitoires (vision trouble, cécité, diplopie) survenant pendant l'injection d'anesthésiques locaux au niveau de la tête, ou peu de temps après.
Affections cardiaques et vasculaires
Peu fréquent : tachycardie.
Fréquence indéterminée : arythmies cardiaques, augmentation de la pression artérielle, hypotension, bradycardie, insuffisance cardiaque et choc (engageant le pronostic vital éventuellement).
Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
Fréquence indéterminée : dysfonctionnement respiratoire (tachypnée, bradypnée) qui peut conduire à l'apnée.
Affections gastro-intestinales
Fréquent : nausées, vomissements.
Troubles généraux et anomalies au site d'administration
Parce qu'il contient du métabisulfite de sodium, le produit peut entraîner des réactions d'hypersensibilité, notamment chez les patients atteints d'asthme bronchique. De telles réactions peuvent se traduire par des vomissements, des diarrhées, une respiration sifflante, des crises d'asthme aigu, une altération de la conscience ou un choc.
Population pédiatrique
Les études publiées révèlent que le profil de tolérance chez l'enfant et l'adolescent de 4 à 18 ans est comparable à celui de l'adulte. Toutefois, des lésions accidentelles des tissus mous ont été plus souvent observées dans la population pédiatrique (jusqu'à 16 % des enfants touchés), en particulier ceux âgés de 3 à 7 ans, du fait de l'anesthésie prolongée des tissus mous. Une étude rétrospective portant sur 211 enfants âgés de 1 à 4 ans a révélé qu'aucun effet indésirable n'avait été rapporté lors de traitements dentaires effectués avec 4,2 ml d'articaïne à 4 % et 0,005 mg/ml ou 0,010 mg/ml d'adrénaline (épinéphrine).
Compte tenu de l'effet de l'articaïne contenue dans le produit, ORABLOC ne doit pas être utilisé dans les cas suivants :
hypersensibilité à d'autres anesthésiques locaux du type amide,
anomalies sévères de la formation des impulsions cardiaques et troubles importants de la conduction (bloc auriculo-ventriculaire du 2e ou 3e degré, bradycardie marquée),
insuffisance cardiaque aiguë décompensée (insuffisance cardiaque congestive aiguë),
hypotension sévère,
enfants de moins de 4 ans.
Compte tenu de l'effet de l'adrénaline (épinéphrine) contenue dans le produit, ORABLOC ne doit pas être utilisé dans les cas suivants :
anesthésie des rameaux terminaux des nerfs,
patients présentant un glaucome aigu par fermeture de l'angle,
patients atteints d'hyperthyroïdie,
patients présentant une tachycardie paroxystique ou une arythmie complète de fréquence rapide,
patients ayant eu récemment (dans les 3 à 6 derniers mois) un infarctus du myocarde,
patients ayant eu récemment (dans les 3 derniers mois) un pontage coronarien,
patients sous bêtabloquants non cardiosélectifs (propranolol par exemple), (risque de crise hypertensive ou de bradycardie sévère),
patients porteurs d'un phéochromocytome,
patients présentant une hypertension sévère,
traitement concomitant par antidépresseurs tricycliques ou inhibiteurs de la monoamine oxydase (IMAO), ces substances actives étant susceptibles d'intensifier les effets cardiovasculaires de l'adrénaline (épinéphrine). Une telle réaction peut survenir jusqu'à 14 jours après la fin d'un traitement par IMAO.
La voie intraveineuse est contre-indiquée.
ORABLOC ne doit pas être administré chez les sujets atteints d'asthme bronchique présentant une hypersensibilité aux sulfites. Chez ces patients, le médicament risquerait en effet de provoquer des réactions allergiques accompagnées de symptômes anaphylactiques, comme un bronchospasme.
Grossesse
Il n'existe pas de données cliniques sur l'utilisation de l'articaïne chez la femme enceinte, à l'exception de celles concernant l'accouchement. Les études effectuées chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effets délétères, directs ou indirects, de l'articaïne sur la grossesse, le développement de l'embryon et du ftus, la naissance ou le développement post-natal. Les études réalisées chez l'animal ont révélé une toxicité de l'adrénaline (épinéphrine) sur la reproduction à des doses supérieures à la dose maximale recommandée .
L'adrénaline (épinéphrine) et l'articaïne traversent la barrière placentaire, bien que dans des proportions moindres que les autres anesthésiques locaux pour ce qui est de l'articaïne. Les concentrations sériques de l'articaïne mesurées chez le nouveau-né représentaient environ 30 % des concentrations correspondantes chez la mère. L'adrénaline (épinéphrine) peut réduire la perfusion utérine en cas d'injection intravasculaire accidentelle chez la mère. Pendant la grossesse, ORABLOC ne peut être utilisé qu'après une évaluation préalable rigoureuse du rapport bénéfice/risque.
Compte-tenu de son dosage plus faible en adrénaline (épinéphrine), c'est l'utilisation d'ORABLOC 40 mg/ml ADRENALINEE au 1/200 000, solution injectable qui doit être privilégiée à l'utilisation d'ORABLOC 40 mg/ml ADRENALINEE au 1/100 000, solution injectable.
Allaitement
Etant donné la rapidité à laquelle l'articaïne diminue dans le sérum et est éliminée, il n'est pas observé de quantités cliniquement significatives de l'articaïne dans le lait maternel. L'adrénaline (épinéphrine) passe dans le lait maternel mais sa demi-vie est également courte. Il n'est habituellement pas nécessaire d'interrompre l'allaitement pour une utilisation de courte durée.
Fertilité
Les études menées chez l'animal avec l'articaïne 40 mg/ml + l'adrénaline (épinéphrine) 0,01 mg/ml n'ont pas mis en évidence d'effets sur la fécondité . Aux doses thérapeutiques, aucun effet indésirable sur la fécondité humaine n'est attendu.
a) Symptômes de surdosage
Stimulation du système nerveux central: agitation, anxiété, état confusionnel, hyperpnée, tachycardie, augmentation de la pression artérielle avec rougeur du visage, nausées, vomissements, tremblements, fasciculations, crises tonico-cloniques.
Dépression du système nerveux central: sensation de vertige, diminution de l'acuité auditive, aphasie, perte de connaissance, atonie musculaire, vasoplégie (faiblesse, pâleur), dyspnée, décès par paralysie respiratoire.
Dépression cardiovasculaire: bradycardie, arythmie, fibrillation ventriculaire, chute de la pression artérielle, cyanose, arrêt cardiaque.
b) Mesures d'urgence et antidotes
L'injection doit être interrompue et le patient placé en décubitus dorsal dès les premiers signes d'effets indésirables ou d'intoxication, comme par exemple une sensation de vertige, une agitation motrice ou un état stuporeux. Les voies respiratoires du patient doivent rester dégagées et une surveillance du pouls et de la pression artérielle assurée.
Il est recommandé de mettre en place une voie d'abord veineuse permettant d'effectuer des injections intraveineuses immédiatement si nécessaire, et ce même lorsque les symptômes de l'intoxication ne semblent pas sévères.
En cas de troubles respiratoires, et selon leur gravité, l'administration d'oxygène et, le cas échéant, la pratique de la respiration artificielle sont recommandées, tout comme le sont l'intubation trachéale et la ventilation contrôlée si celles-ci s'avèrent nécessaires.
Il est possible de corriger des contractions fasciculaires ou des convulsions généralisées par injection intraveineuse d'un antispasmodique d'action rapide (chlorure de suxaméthonium ou diazépam, par exemple). La respiration artificielle (oxygène) est également recommandée.
Une chute de la pression artérielle, une tachycardie ou une bradycardie peuvent être corrigées en plaçant simplement le patient en position horizontale ou en position légèrement déclive.
Dans les troubles de la circulation sévères et les états de choc, quelle qu'en soit la cause, les mesures d'urgence suivantes sont à mettre en place immédiatement après avoir arrêté l'injection :
installation du patient en position horizontale ou en position déclive, en maintenant ses voies respiratoires dégagées (insufflation d'oxygène),
mise en route d'une perfusion intraveineuse (soluté électrolytique équilibré),
administration intraveineuse d'un glucocorticoïde (par exemple, 250 à 1000 mg de prednisolone ou une quantité équivalente d'un dérivé comme la méthylprednisolone),
remplissage vasculaire (et en outre, si nécessaire, substitut du plasma sanguin, albumine humaine).
L'imminence apparente d'un collapsus cardiovasculaire et l'aggravation de la bradycardie imposent l'administration immédiate d'adrénaline (épinéphrine) par voie intraveineuse. Après avoir dilué 1 ml d'une solution commerciale d'adrénaline (épinéphrine) à 1/1000 jusqu'à obtention d'un volume de 10 ml (il est également possible d'utiliser une solution d'adrénaline (épinéphrine) à 1/10 000), on procède à l'injection lente de 0,25 à 1 ml de la solution (= 0,025 à 0,1 mg d'adrénaline (épinéphrine)) en surveillant le pouls et la pression artérielle (attention: arythmies cardiaques). Ne pas dépasser 1 ml (0,1 mg d'adrénaline (épinéphrine)) par injection intraveineuse. Si l'adrénaline (épinéphrine) est nécessaire en quantités plus importantes, il est recommandé d'administrer celles-ci avec la solution de perfusion (régler le débit de la perfusion en fonction du pouls et de la pression artérielle).
Les tachycardies et les tachyarythmies sévères peuvent être traitées par des anti-arythmiques, mais non par des bêtabloquants non cardiosélectifs, comme le propranolol par exemple . De telles situations imposent l'administration d'oxygène et une surveillance de la circulation.
Chez les patients hypertendus, l'augmentation de la pression artérielle doit être prise en charge avec des vasodilatateurs périphériques, si nécessaire.
Chez les patients présentant un déficit en cholinestérases, seules des indications impératives justifient l'utilisation d'ORABLOC, car son action serait probablement prolongée et pourrait se révéler trop forte.
L'utilisation d'ORABLOC doit faire l'objet d'une attention particulière dans les situations suivantes :
troubles de la coagulation sanguine,
insuffisance rénale ou hépatique sévère.
administration concomitante d'anesthésiques halogénés inhalés ,
antécédents d'épilepsie ,
et du fait de sa teneur en adrénaline (épinéphrine) plus faible à 0,005 mg/ml, il convient d'envisager l'utilisation d'ORABLOC 40 mg/ml ADRENALINEE au 1/200 000, solution injectable plutôt que l'utilisation d'ORABLOC 40 mg/ml ADRENALINEE au 1/100 000, solution injectable chez les patients présentant :
des maladies cardiovasculaires (insuffisance cardiaque, coronaropathie, angor, antécédents d'infarctus du myocarde, arythmie cardiaque, hypertension),
une artériosclérose,
des troubles de la circulation cérébrale, des antécédents d'accident vasculaire cérébral,
une bronchite chronique, un emphysème pulmonaire,
un diabète,
une anxiété sévère.
L'injection dans une zone inflammatoire (infectée) est déconseillée (elle se traduirait par une absorption accrue d'ORABLOC avec une efficacité réduite).
L'utilisation de ce produit nécessite au préalable :
un interrogatoire du patient pour connaître ses antécédents médicaux et ses traitements concomitants,
de maintenir le contact verbal avec le patient,
de pratiquer une injection test de 5 ou 10 % de la dose en cas de risque allergique.
Pour éviter la survenue d'effets indésirables, il faudra :
choisir la posologie la plus faible possible,
préalablement à l'injection, effectuer une aspiration en deux temps (afin de prévenir toute injection intravasculaire accidentelle).
Il est recommandé que le patient s'abstienne de toute alimentation tant que l'effet de l'anesthésie ne s'est pas dissipé.
Population pédiatrique
Les personnes responsables de jeunes enfants doivent être averties du risque de lésion accidentelle des tissus mous par auto-morsure, du fait de l'engourdissement prolongé de ce type de tissu.
Ce médicament contient du métabisulfite (E223) qui peut provoquer, dans de rares cas, des réactions d'hypersensibilité sévères et un bronchospasme.
Ce médicament contient moins de 1 mmol de sodium (23 mg) par dose, il est donc pratiquement «sans sodium».
Analogues en Russie
р-р д/инъекц.:
72 мг+21.6 мкг/1.8 мл
р-р д/инъекц.:
(40 мг+0.01 мг)/мл, 10 мг/мл+0.005 мг/мл, 20 мг/мл+0.005 мг/мл, 40 мг+0.005 мг/мл, 40 мг+0.01 мг/мл, 40 мг/мл+0.01 мг/мл, 40 мг/мл+0.005 мг/мл
р-р д/инъекц.:
(40 мг+0.006 мг)/мл
р-р д/инъекц.:
(40 мг+0.005 мг)/мл, (40 мг+0.01 мг)/мл, 40 мг+0.01 мг/мл
р-р д/инъекц.:
40 мг/мл+10 мкг/мл, 40 мг/мл+5 мкг/мл
р-р д/инъекц.:
40 мг+0.005 мг/мл, 40 мг+0.01 мг/мл
Analogues en France
solution injectable à usage dentaire:
72 mg+0,0108 mg, 72 mg+0,0216 mg
solution injectable à usage dentaire:
72 mg+0,009 mg, 72 mg+0,018 mg
solution injectable à usage dentaire:
40,00 mg+0,005 mg, 40,00 mg+0,01 mg
solution injectable à usage dentaire:
0,010 mg+40 mg, 40 mg+0,0050 mg
solution injectable:
40 mg+10 microgrammes, 40 mg+5 microgrammes
solution injectable à usage dentaire:
40 mg+0,0050 mg