OXYGENE - La fraction en oxygène de l'air ambiant est de l'ordre de 21 %.
Le médicament OXYGENE appartient au groupe appelés Antihypoxants
Cette spécialité pharmaceutique a un code ATC - V03AN01
AIR LIQUIDE SANTE INTERNATIONAL (FRANCE) - Oxygene gaz pour inhalation qs (sous une pression de 200 bar) , 2004-04-22
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Correction des hypoxies d'étiologies diverses nécessitant une oxygénothérapie normobare ou hyperbare,
Alimentation des respirateurs en anesthésie-réanimation,
Vecteur des médicaments pour inhalation administrés par nébuliseur,
Traitement des crises d'algie vasculaire de la face.
La fraction en oxygène de l'air ambiant est de l'ordre de 21 %.
L'oxygène est un élément indispensable à l'organisme, il intervient dans le métabolisme et catabolisme cellulaire et permet la production d'énergie sous forme d'ATP.
La variation de la pression partielle en oxygène du sang retentit sur le système cardiovasculaire, le système respiratoire, le métabolisme cellulaire et le système nerveux central.
La respiration d'oxygène sous une pression partielle supérieure à 1 atmosphère (oxygénothérapie hyperbare) a pour but d'augmenter de façon importante la quantité d'oxygène dissout dans le sang artériel approvisionnant directement les cellules.
L'oxygène administré par voie inhalée est absorbé par échange alvéolocapillaire à raison de 250 ml d'air/minute chez un sujet au repos. Il est présent dans le plasma sous forme dissoute et est transporté par les hématies sous forme d'oxyhémoglobine. L'oxygène libéré au niveau tissulaire par l'oxyhémoglobine est ensuite utilisé au niveau de la chaîne respiratoire des crêtes mitochondriales pour la synthèse d'ATP. A la suite de ces réactions catalysées par de nombreuses enzymes, il se retrouve sous forme de CO2 et H2O.
La sensibilité à l'hyperoxie est différente d'un tissu organique à l'autre, les organes les plus sensibles étant les poumons, le cerveau et les yeux.
Description des évènements indésirables :
Effets indésirables respiratoires :
- A une pression ambiante, les premiers signes (trachéobronchite, douleur rétro-sternale et toux sèche) apparaissent dès 4 heures d'exposition à 95 % d'oxygène. Une réduction de la capacité vitale forcée peut survenir dans les 8-12 h d'exposition à 100 % d'oxygène, mais l'apparition de lésions sévères nécessite des expositions beaucoup plus longues. Un dème interstitiel peut être observé après 18 h d'exposition à 100 % d'oxygène et peut conduire à une fibrose pulmonaire. Les effets respiratoires rapportés avec l'OHB sont généralement similaires à ceux rencontrés lors d'une oxygénothérapie normobare, mais l'apparition des symptômes est plus rapide.
- Lorsque la concentration en oxygène est élevée dans la fraction inspiratoire, la concentration/pression en azote est réduite. Par conséquent, la concentration en azote dans les tissus et les poumons (au niveau des alvéoles) chute. Si l'oxygène est absorbé des alvéoles vers le sang plus rapidement qu'il n'est apporté dans la fraction inspiratoire, un collapsus alvéolaire peut se produire (développement d'une atélectasie). Le développement d'une atélectasie au niveau des poumons conduit à un risque de saturation en oxygène plus faible dans le sang artériel, malgré une bonne perfusion, en raison du manque d'échange gazeux dans les parties des poumons affectées par l'atélectasie. Le rapport ventilation/perfusion s'aggrave, conduisant à un shunt intrapulmonaire.
- Il peutse produire une modification des modalités de contrôle de la ventilation chez les patients atteints de maladies de longue durée associées à une hypoxie chronique et à une hypercapnie. Dans ces circonstances, l'administration de concentrations trop élevées d'oxygène peut provoquer une dépression respiratoire, induisant une aggravation de l'hypercapnie, une acidose respiratoire, et finalement un arrêt respiratoire.
Toxicité au niveau du système nerveux central :
Une toxicité au niveau du système nerveux central peut être observée lors d'une séance d'OHB. Une toxicité au niveau du système nerveux central peut apparaitre lorsque les patients respirent 100 % d'oxygène à des pressions supérieures à 2 ATA. Les premières manifestations comprennent une vision floue, une diminution de la vision périphérique, des acouphènes, des troubles respiratoires, des spasmes musculaires localisés en particulier au niveau des yeux, de la bouche, du front. Une poursuite de l'exposition peut entraîner des vertiges et des nausées suivis par une altération du comportement (anxiété, confusion, irritabilité), et finalement des convulsions généralisées. Les effets néfastes induits par l'hyperoxie sont considérés comme étant réversibles, ne provoquant aucun dommage résiduel d'ordre neurologique et disparaissant après réduction de la pression partielle en oxygène inspirée.
Toxicité oculaire :
- Le développement d'une myopie progressive a été rapporté dans des cas de traitements hyperbares répétés. Le mécanisme exact reste inconnu, mais il a été suggéré une augmentation de l'indice de réfraction du cristallin. La plupart des cas étaient spontanément réversibles. Cependant, le risque d'irréversibilité était augmenté après plus de 100 séances. Après arrêt de l'OHB, la myopie régressait progressivement assez rapidement pendant les premières semaines, puis plus lentement pendant des périodes allant de plusieurs semaines à un an. La valeur seuil du nombre de sessions, de périodes ou de durée d'OHB ne peut être estimée. Elle variait de 8 à plus de 150 séances.
- Rétinopathie du prématuré : voir ci-après.
Population pédiatrique :
Chez les prématurés ayant reçus de fortes concentrations en oxygène, une rétinopathie du prématuré (fibroplasie rétrolentale) peut survenir.
Risque d'incendie :
Le risque d'incendie augmente en présence de concentration élevée en oxygène et de sources d'inflammation, ce qui peut entrainer des brûlures thermiques .
Les évènements indésirables causés par l'OHB :
- Les effets indésirables de l'OHB sont des barotraumatismes ou des conséquences de multiples et rapides phénomènes de compression/décompression. La plupart de ces effets ne sont pas spécifiques à l'utilisation de l'oxygène et peuvent survenir chez les patients sous oxygène, ainsi que chez les professionnels de santé soumis à l'air ambiant hyperbare. Il s'agit de barotraumatismes affectant les oreilles, les sinus et la gorge, de barotraumatismes pulmonaires, ou autres (dents, etc.).
- Compte tenu de la taille relativement petite de certaines chambres hyperbares, les patients peuvent ressentir une anxiété de confinement qui n'est pas due à un effet direct de l'oxygène.
Effets indésirables associés à l'oxygénothérapie :
Très fréquent (> 1/10) | Fréquent (≥1/100 à <1/10) | Peu fréquent (≥1/1 000 à <1/100) | Rare (≥1/10 000 à <1/1 000) | Très rare (<1/10 000) | Fréquence indéterminée | |
Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux | Atélectasie | Toxicité pulmonaire : - Trachéobronchite (douleur rétrosternale, toux sèche) - Oedème interstitiel - Fibrose pulmonaire | ||||
Aggravation de l'hypercapnie chez les patients présentant une hypoxie chronique / hypercapnie traitée avec une FiO2 trop élevée : - Hypoventilation - Acidose respiratoire - Arrêt respiratoire | ||||||
Troubles visuels | Rétinopathie du prématuré | |||||
Troubles généraux et anomalies au site d'administration | Sécheresse des muqueuses Irritation locale et inflammation de la muqueuse |
Effets indésirables associés à l'oxygénothérapie hyperbare :
Très fréquent (> 1/10) | Fréquent (≥1/100 à <1/10) | Peu fréquent (≥1/1 000 à <1/100) | Rare (≥1/10 000 à <1/1 000) | Très rare (<1/10 000) | Fréquence indéterminée | |
Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux | Dyspnée | Troubles respiratoires | ||||
Troubles du système nerveux | Convulsion | |||||
Troubles musculo-squelettiques et systémiques | Spasmes musculaires localisés | |||||
Troubles de l'oreille et du labyrinthe | Douleur auriculaire | Rupture de la membrane tympanique | - Vertige - Altération de l'audition - Otite moyenne séreuse aiguë - Acouphènes | |||
Troubles gastro-intestinaux | Nausée | |||||
Troubles psychiatriques | Comportement anormal | |||||
Troubles visuels | Myopie progressive | - Diminution de la vision périphérique - Vision floue - Cataracte* | ||||
Blessure, empoisonnement et complications associées à la procédure | Barotraumatisme (sinus, oreille, poumon, dents, etc.) | |||||
Troubles du métabolisme et de la nutrition | Hypoglycémie chez les patients diabétiques |
* Le développement de cataracte a été signalé chez des patients ayant suivi des séances prolongées d'OHB et / ou des séances fréquentes d'OHB (> 150 séances). Certains cas de nouvelle/'de novo' cataracte ont été observés.
Oxygénothérapie normobare :
Aucune
Oxygénothérapie hyperbare (OHB) :
Pneumothorax non drainé/non traité
Au cours de tests réalisés sur les animaux, une toxicité a été observée lors de la reproduction après administration d'oxygène à pression élevée ou à forte concentration. La pertinence clinique de ces résultats pour l'homme n'est pas établie.
Grossesse :
Oxygénothérapie normobare:
L'oxygène peut être utilisé pendant la grossesse mais uniquement dans les situations qui le nécessitent, c'est-à-dire en cas d'indications vitales, chez les femmes gravement malades ou en hypoxémie.
Oxygénothérapie hyperbare (OHB) :
L'utilisation de l'OHB chez la femme enceinte est faiblement documentée mais a montré un bénéfice pour le ftus en cas d'intoxication au CO de la femme enceinte. Dans les autres situations, l'OHB doit être utilisée avec prudence pendant la grossesse, car l'impact sur le ftus d'une augmentation potentielle du stress oxydatif par excès d'oxygène est inconnu. L'utilisation de l'OHB doit ainsi être évaluée pour chaque patiente mais est permise en cas d'indications vitales pendant la grossesse.
Allaitement :
L'oxygène peut être utilisé pendant l'allaitement sans risque pour l'enfant.
Les symptômes d'une intoxication à l'oxygène sont ceux de l'hyperoxie.
Les symptômes d'une toxicité respiratoire s'étendent de la trachéobronchite (douleur rétrosternale, toux sèche) à l'dème interstitiel et à la fibrose pulmonaire.
Les symptômes d'une toxicité au niveau du système nerveux central et observés lors de séances d'OHB sont des acouphènes, des troubles respiratoires, des contractions musculaires localisées, en particulier au niveau des yeux, de la bouche, du front. La poursuite de l'exposition peut entraîner des vertiges et des nausées suivies d'une altération du comportement (anxiété, confusion, irritabilité) et enfin des convulsions généralisées.
Les symptômes d'une toxicité oculaire observés lors de sessions d'OHB sont une vision floue et une vision périphérique réduite.
Population pédiatrique :
Toxicité oculaire chez les nouveau-nés : chez les prématurés ayant reçu de fortes concentrations en oxygène, une rétinopathie de la prématurité peut survenir.
Patients à risque d'insuffisance respiratoire hypercapnique :
Chez ces patients, l'administration d'oxygène peut provoquer une dépression respiratoire et une augmentation de la PaCO2 pouvant conduire à une acidose respiratoire symptomatique.
En cas d'intoxication à l'oxygène liée à une hyperoxie, la posologie doit être réduite et si possible l'oxygénothérapie doit être arrêtée, et un traitement symptomatique doit être initié.
L'inhalation d'une forte concentration en oxygène peut exacerber la toxicité pulmonaire associée à des médicaments tels que la bléomycine (même si l'oxygène est administré plusieurs années après la lésion pulmonaire initialement causée par la bléomycine), l'amiodarone, la nitrofurantoïne et après une intoxication par le paraquat. L'administration d'oxygène doit alors être évitée sauf en cas de nécessité si le patient est hypoxémique.
En présence d'oxygène, le monoxyde d'azote (NO) est rapidement oxydé pour former des dérivés nitrés supérieurs qui sont irritants pour l'épithélium bronchique et la membrane alvéolo-capillaire. Le dioxyde d'azote (NO2) est le principal composant formé. La vitesse d'oxydation est proportionnelle à la concentration initiale en monoxyde d'azote et en oxygène dans l'air inhalé, et à la durée de contact entre le NO et l'O2.
Il existe un risque d'incendie en présence d'autres sources d'inflammation (tabagisme, flammes, étincelles, fours, etc.) et/ou de substances hautement inflammables (huiles, graisses, crèmes, pommades, lubrifiants, etc.) .
L'administration de fortes concentrations d'oxygène doit être la plus courte possible afin d'obtenir le résultat souhaité et doit être surveillée par des contrôles répétés de la pression artérielle en oxygène (PaO2) ou de la saturation périphérique en oxygène de l'hémoglobine (SpO2) et par un examen clinique.
Patients à risque d'insuffisance respiratoire par hypercapnie :
Une attention particulière doit être portée aux patients ayant une sensibilité réduite à la pression du dioxyde de carbone dans le sang artériel ou présentant un risque d'insuffisance respiratoire par hypercapnie («hypoxic drive») (par ex. patients atteints de bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), de mucoviscidose, d'obésité morbide, de malformations de la paroi thoracique, de troubles neuromusculaires, de surdosage de médicaments ayant des effets dépresseurs respiratoires). L'administration d'oxygène peut provoquer une dépression respiratoire et une augmentation de la PaCO2 suivie d'une acidose respiratoire symptomatique . Chez ces patients, l'oxygénothérapie doit être soigneusement contrôlée : la saturation en oxygène à atteindre peut-être plus faible que chez les autres patients et l'oxygène doit être administré à un débit faible.
Population pédiatrique :
En raison de la sensibilité plus élevée des nouveau-nés à l'administration d'oxygène, les concentrations efficaces les plus faibles doivent être recherchées afin de parvenir à une oxygénation appropriée des nouveau-nés.
Chez les enfants prématurés et les nouveau-nés, une augmentation de la PaO2 peut entrainer la survenue d'une rétinopathie du prématuré . Il est recommandé de commencer la réanimation des nouveau-nés à terme ou des prématurés proche du terme avec de l'air plutôt qu'avec de l'oxygène à 100 %. Chez les prématurés, la concentration optimale en oxygène et la saturation cible en oxygène ne sont pas connues avec précision. L'administration d'oxygène, si nécessaire, sera alors surveillée de près et contrôlée par oxymétrie de pouls.
L'oxygénothérapie hyperbare (OHB) :
L'oxygénothérapie hyperbare doit être administrée par du personnel qualifié et dans des centres spécialisés, équipés et connaissant les précautions relatives à l'utilisation hyperbare.
La pression doit être augmentée et diminuée lentement afin d'éviter les risques de lésions associées à la pression (barotraumatisme).
Au cours d'une séance en chambre hyperbare, les patients peuvent ressentir une anxiété liée au confinement et une claustrophobie. Le rapport bénéfice/risque de l'OHB doit être soigneusement évalué chez les patients souffrant de claustrophobie, d'anxiété sévère ou de psychose.
Troubles respiratoires : en raison de la décompression survenant en fin de séances en chambre hyperbare, le volume de gaz augmente tandis que la pression dans la chambre diminue, ce qui peut entraîner un pneumothorax partiel ou une aggravation d'un pneumothorax sous-jacent. Chez un patient ayant un pneumothorax non drainé, la décompression peut conduire au développement d'un pneumothorax compressif.En outre, compte tenu du risque d'expansion du gaz pendant la phase de décompression de l'OHB, le rapport bénéfice/risque de l'OHB doit être soigneusement évalué chez les patients présentant un asthme insuffisamment contrôlé, un emphysème pulmonaire, une bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), ou chez les patients ayant subi une intervention chirurgicale récente de la cage thoracique.
Patients diabétiques: des diminutions de la glycémie ont été rapportées lors de séances d'OHB. Ainsi, il est préférable de contrôler la glycémie avant toute séance d'OHB chez un patient diabétique.
Maladies coronariennes : le rapport bénéfice/risque de l'OHB doit être soigneusement évalué chez les patients atteints de maladies coronariennes. Chez les patients présentant un syndrome coronarien aigu ou un infarctus aigu du myocarde et nécessitant une OHB, dans le cas d'une intoxication au monoxyde de carbone (CO) par exemple, l'OHB doit être utilisée avec précaution car l'hyperoxie peut entrainer une vasoconstriction dans la circulation coronarienne.
Troubles au niveau des oreilles, du nez et de la gorge : en raison des phénomènes de compression/ décompression de l'OHB, la prudence et une évaluation approfondie du rapport bénéfice/risque de l'OHB sont requises chez les patients ayant une sinusite, une otite, une rhinite chronique, un laryngocèle, une cavité mastoïdienne, un syndrome vestibulaire, une perte auditive ou ayant subi une intervention chirurgicale récente de l'oreille interne.
En raison de l'hyperoxie induite par l'OHB, le rapport bénéfice/risque de l'OHB doit être soigneusement évalué chez les patients :
ayant des antécédents de convulsions ou d'épilepsie
ayant une forte fièvre non contrôlée
Risque lié au feu :
L'oxygène est un produit oxydant et favorise la combustion. À chaque utilisation, le risque accru d'une inflammation par le feu doit être pris en compte :
- Risque d'incendie dans l'environnement domestique : les patients et les soignants doivent également être mis en garde sur le risque d'incendie en présence d'autres sources d'inflammation (tabagisme, flammes, étincelles, cuisson, fours, etc.) et/ou de substances hautement combustibles, en particulier les substances graisseuses (huiles, graisses, crèmes, pommades, lubrifiants, etc.). Seuls des produits à base d'eau devront être utilisés sur les mains, le visage ou à l'intérieur du nez chez les patients sous oxygénothérapie.
- Risque d'incendie en milieu médical : ce risque est augmenté dans les procédures impliquant la diathermie, la défibrillation et la cardioversion électrique.
- Des incendies peuvent se produire à l'ouverture du robinet des réservoirs/bouteilles d'oxygène (échauffement par friction).
Des brûlures thermiques peuvent survenir suite à des incendies accidentels en présence d'oxygène.
Manipulation des bouteilles :
Le personnel soignant et toutes les personnes qui manipulent des bouteilles d'oxygène médicinal doivent être avertis de la nécessité de manipuler soigneusement les bouteilles pour éviter d'endommager l'équipement, en particulier les robinets des réservoirs/bouteilles d'oxygène. Ces dommages peuvent entrainer une obstruction de la prise de sortie et / ou un affichage erroné de la teneur en oxygène et du débit par le manomètre ayant pour conséquence une administration d'oxygène insuffisante voire l'absence d'administration d'oxygène.
Analogues en Russie
газ сжатый:
100%, ~
Analogues en France
gaz pour inhalation:
q.s., q.s. (sous une pression de 10 à 12 bar, à -150 °C), qs (sous pression de 10 à 15 bar, de -155 à - 145°C), qs (sous pression de 10 à 15 bar, de -155 à -145°C), qs (sous une pression de 10 à 12 bar, à -150°C), qs (sous une pression de 10 à 15 bar, qs (sous une pression de 10 à 15 bar, de -155 à -145°C, qs (sous une pression de 10 à 15 bar, de -155 à -145°C), qs (sous une pression de 10 à 15 bar, de -155 °C à -145 °C), qs (sous une pression de 10 à 26 bar, de -155 à -135 °C), qs (sous une pression de 200 bar), qs (sous une pression inférieure ou égale à 10 bar, de -180 à -170°C), qs (sous une pression inférieure ou égale à 10 bar, de 180 à 170°C), qs (sous une pression inférieure ou égale à 12 bar, de -180 à -150°C), qs (sous une pression inférieure ou égale à 12 bar, de -180 à 150 °C ), qs (sous une pression inférieure ou égale à 15 bar, de -175 à -145°C), qs (sous une pression inférieure ou égale à 4 bar, de -155°C à -145 °C), qs sous une pression de 10 à 12 bar, à -150 °C, qsp 200 bar