AMYCOR - Antimycosique imidazolé, le bifonazole possède un large spectre comprenant dermatophytes, levures, moisissures, certains champignons (Malassezia furfur) et des bactéries GRAM + telles que corynebacterium et staphylococcus.
Le médicament AMYCOR appartient au groupe appelés Anti-mycotiques locaux
Cette spécialité pharmaceutique a un code ATC - D01AC10
Merck Santé SAS (FRANCE) - Amycor crème pour application locale 1 g , 1984-12-10
Merck Santé SAS (FRANCE) - Amycor poudre pour application locale 1 g , 1992-03-31
Merck Santé SAS (FRANCE) - Amycor solution pour application locale 1 g , 1989-11-28
Amycor 1 %
crème pour application locale 1 g
Merck Santé SAS (FRANCE)
Amycor 1 %
poudre pour application locale 1 g
Merck Santé SAS (FRANCE)
Amycor 1 %
solution pour application locale 1 g
Merck Santé SAS (FRANCE)
Pityriasis versicolor
Candidoses
intertrigos des grands plis : génitaux, cruraux, interfessiers, axillaires et sous-mammaires.
intertrigos des petits plis : interdigitaux, interorteils.
onyxis ou périonyxis où un traitement systémique antifongique peut être discuté.
Dans certains cas et en particulier dans les mycoses de la sphère péri-buccale et péri-anogénitale, il est recommandé de traiter simultanément le tube digestif.
Dermatophytoses
dermatophytoses en peau glabre : herpès circiné,
intertrigo des grands plis (eczéma marginé de Hebra) et des orteils (pied d'athlète)
traitement d'appoint pour :
teignes et sycosis dermatophytiques (cuir chevelu, barbe)
onyxis dermatophytique : un traitement systémique antifongique peut être nécessaire.
Antimycosique imidazolé, le bifonazole possède un large spectre comprenant dermatophytes, levures, moisissures, certains champignons (Malassezia furfur) et des bactéries GRAM + telles que corynebacterium et staphylococcus. L'activité du bifonazole est fongicide in vitro sur les dermatophytes au-delà de la concentration de 5µg/ml. Les essais in vitro n'ont pas mis en évidence de résistance acquise.
Le pouvoir hygroscope de l'amidon de riz s'oppose à la macération.
Après une application de bifonazole, des concentrations de 150 à 1000 µg/ml ont été observées au niveau de la couche supérieure de l'épiderme. Une concentration de 2 à 3 µg/ml est encore évaluée au niveau du derme profond. Ces concentrations sont supérieures aux concentrations inhibitrices mesurées in vitro.
L'absorption cutanée du bifonazole, étudiée après application maintenue 6 heures sous pansement occlusif, est de l'ordre de 1 % sur peau saine et de 4 à 5 fois plus élevée sur peau inflammatoire. Ces concentrations sériques obtenues, de l'ordre du ng/ml, rendent peu probable un effet systémique.
Quelques signes d'irritation locale (prurit, brûlure, érythème) et de dyshidrose ont été rapportés, le plus souvent modérés et transitoires ; ils cèdent spontanément à l'arrêt du traitement.
Hypersensibilité à un antimycosique du groupe des imidazolés ou à un composant de la crème.
Grossesse
Bien qu'aucun effet tératogène n'ait été observé au cours des études animales, il est recommandé de ne pas administrer ce produit au cours du premier trimestre de la grossesse.
Aucun cas de surdosage n'a été rapporté. Cependant, un surdosage éventuel risque d'entrainer une exacerbation des effets indésirables.
Les données disponibles à ce jour ne laissent pas supposer l'existence d'interactions cliniquement significatives.
Mises en garde :
Malgré les données cliniques disponibles, rassurantes en la matière, et un passage transcutané faible, il convient de relever la toxicité hépatique expérimentale de ce principe actif administré par voie générale chez plusieurs espèces animales.
L'apparition d'effets systémiques est peu probable en raison du très faible taux de résorption au niveau de la peau saine. Cependant sur une peau lésée, sur une grande surface ou chez le nourrisson (en raison du rapport surface / poids et de l'effet d'occlusion des couches), la prudence s'impose.
Précautions d'emploi :
La crème n'est pas destinée à un usage ophtalmique.
En cas de réaction d'hypersensibilité, l'application devra être interrompue.
Dans certains cas et en particulier dans les mycoses de la sphère péri-buccale et péri-anogénitale, il est recommandé de traiter simultanément le tube digestif.
Ce médicament contient de l'alcool cétostéarylique et peut provoquer des réactions cutanées locales (par exemple : eczéma).
Analogues en Russie
р-р д/наружн. прим.:
1%
порошок д/наружн. прим:
1%
р-р д/наружн. прим.:
1%
крем д/наружн. прим.:
1%
Analogues en France
solution pour application locale:
1 g
crème pour application locale:
1 g
poudre pour application locale:
1 g