GYNERGENE CAFEINE - L'ergotamine exerce une action tonique sur la musculature lisse vasculaire et présente une affinité particulière pour les récepteurs monoaminergiques (NA et HT) artériels, notamment au niveau du réseau carotidien externe.
Le médicament GYNERGENE CAFEINE appartient au groupe appelés Antimigraineux
Cette spécialité pharmaceutique a un code ATC - N02CA52
AMDIPHARM (IRLANDE) - Gynergene cafeine comprimé 100 mg+1 mg , 1991-05-15
Gynergene cafeine
comprimé 100 mg+1 mg
AMDIPHARM (IRLANDE)
Traitement en dernière intention de la crise de migraine en cas d'échec caractérisé des traitements recommandés (anti-inflammatoires non stéroïdiens et/ou triptans).
L'ergotamine exerce une action tonique sur la musculature lisse vasculaire et présente une affinité particulière pour les récepteurs monoaminergiques (NA et HT) artériels, notamment au niveau du réseau carotidien externe.
L'ergotamine peut entraîner une vasoconstriction en stimulant les récepteurs alpha-adrénergiques et 5-HT. Elle présente une affinité modérée à élevée pour plusieurs sous-types de récepteurs sérotoninergiques, cependant son effet bénéfique sur la migraine est principalement lié à ses propriétés agonistes des récepteurs 5-HT1B et 5-HT1D.
La caféine augmente l'absorption intestinale de l'ergotamine (voir ci-dessous). Par ailleurs, la caféine à une dose supérieure à 100 mg, pourrait avoir un effet antalgique adjuvant.
Ergotamine
Absorption
En cas d'administration par voie orale, l'absorption de l'ergotamine est rapide. La concentration plasmatique maximale est atteinte 1,5 à 2 h après l'administration.
Des études avec de l'ergotamine marquée au tritium ont indiqué que 62 % environ de la dose orale est absorbée par voie gastro-intestinale. Les concentrations plasmatiques maximales sont atteintes environ 2 heures après l'ingestion.
Toute augmentation éventuelle des concentrations plasmatiques de caféine en raison d'une interaction avec un (d') autre(s) médicament(s) peut se traduire par une augmentation de l'absorption de l'ergotamine. La caféine subit une métabolisation importante par le CYP1A2 et les médicaments augmentant ou réduisant l'activité enzymatique peuvent moduler la clairance métabolique de la caféine.
Distribution
La biodisponibilité per os est de 62 ± 3 %.
Le produit présente une forte affinité tissulaire.
La liaison protéinique pour l'ergotamine atteint 98 %. En termes de médicament sous forme inchangée, sa biodisponibilité absolue est d'environ 2 % en cas d'administration orale et d'environ 5 % en cas d'administration par voie rectale.
Biotransformation
L'ergotamine est métabolisée de manière importante dans le foie et constitue un substrat pour le système enzymatique CYP3A4. Il a été suggéré que les effets thérapeutiques du médicament sont partiellement liés aux métabolites actifs.
Élimination
La substance mère et les métabolites sont principalement excrétés dans la bile. Leur élimination plasmatique a lieu en deux phases, avec des demi-vies alpha et bêta respectivement de 2,7 et 21 heures.
L'élimination urinaire est faible (4,3 ± 0,4 %). Le produit est éliminé essentiellement par voies biliaire et fécale.
L'addition de caféine accélère le passage dans le sang et augmente l'absorption digestive d'au moins 44 %.
Caféine
Absorption
Après administration orale, la caféine est rapidement et presque complètement absorbée par voie gastro-intestinale, et les concentrations maximales atteintes après une administration orale de 175 mg sont comprises entre 5 et 10 μg/ml. Les concentrations plasmatiques maximales sont atteintes entre 15 et 120 minutes après l'administration.
Distribution
La liaison protéinique plasmatique de la caféine est de 35 %. La caféine est distribuée de manière relativement uniforme à travers les tissus corporels, y compris le liquide céphalorachidien, le lait maternel, la salive et le sperme. Le volume de distribution est d'environ 0,7 l/kg. La caféine traverse la barrière placentaire.
Biotransformation
La caféine est métabolisée dans une large mesure par le CYP1A2 en paraxanthine. La paraxanthine est métabolisée à son tour en uracile et en dérivés de l'acide urique par déméthylation et hydroxylation. La demi-vie d'élimination plasmatique est de 3,5 heures environ.
Élimination
Les métabolites sont principalement excrétés dans l'urine. La clairance de la caféine est accrue par le tabagisme.
Les effets indésirables les plus fréquents sont les nausées et les vomissements.
Les effets indésirables suivants ont été établis à partir d'essais cliniques et de l'expérience depuis la mise sur le marché de GYNERGÈNE CAFÉINÉ.
Les fréquences dans le tableau ci-dessous sont données à titre indicatif, suivant les catégories suivantes : très fréquents (≥ 1/10) ; fréquents (≥ 1/100, <1/10) ; peu fréquents (≥ 1/1 000, <1/100) ; rares (≥1/10 000, <1/1 000) ; très rares (<1/10 000) ; fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles). Les réactions indésirables au médicament sont listées selon les classes de systèmes d'organes de MedDRA.
Classes de systèmes d'organes | Effets indésirables |
Affections du système immunitaire | Rares : réactions d'hypersensibilité (telles que : éruptions cutanées, dème facial, prurit, urticaire, dyspnée) |
Affections du système nerveux | Fréquents : sensation vertigineuse Peu fréquents : paresthésie dans les doigts et les orteils, hypoesthésie, céphalées Fréquence indéterminée : dépendance, céphalées chroniques quotidiennes, intensification des céphalées à l'arrêt du traitementa |
Affections de l'oreille et du labyrinthe | Rare : vertiges |
Affections cardiaques | Peu fréquents : cyanose Rares : bradycardie, tachycardie Très rares : ischémie myocardique, infarctus du myocarde Fréquence indéterminée : fibrose valvulaired |
Affections vasculaires | Peu fréquents : vasoconstriction périphériqueb Rares : augmentation de la tension artérielle Très rares : gangrène |
Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales | Fréquence indéterminée : fibrose pleuraled |
Affections gastro-intestinales | Fréquents : nausée et vomissements (non liés à la migraine), douleurs abdominales Peu fréquent : diarrhée Fréquence indéterminée : fibrose rétropéritonéaled |
Affections musculo-squelettiques et systémiques | Peu fréquents : douleur dans les extrémités, faiblesse dans les extrémités Rares : myalgie |
Investigations | Très rares : absence de pouls |
Lésions, intoxications et complications liées aux procédures | Rares : ergotisme |
a La prise prolongée ou excessive de Gynergène caféiné peut entrainer une dépendance ainsi que l'apparition de céphalées chroniques quotidiennes. A l'arrêt du traitement, une intensification des céphalées peut survenir dans les 24 à 48 heures et peut se poursuivre durant 72 heures ou plus ; ces céphalées peuvent s'accompagner de troubles autonomes tels que nausées et vomissements .
b Si des signes de vasospasmes sont observés, la prise de Gynergène caféiné doit être interrompue .
c En fonction de la dose d'ergotamine, une vasoconstriction artérielle intense peut survenir (ergotisme). Celle-ci peut entraîner des signes et symptômes d'ischémie vasculaire des extrémités ou d'autres tissus (comme vasospasmes rénaux ou cérébraux) .
d Une utilisation prolongée ou excessive peut entraîner une fibrose (notamment pleurale ou rétropéritonéale). De rares cas de fibroses de valves cardiaques ont été rapportés .
Affections prédisposant à des réactions angiospastiques : insuffisance coronarienne (en particulier angor instable ou spastique), états infectieux sévères, choc, maladie vasculaire oblitérante, maladies vasculaires périphériques telles que syndrome de Raynaud, hyperthyroïdie, antécédents d'accident ischémique transitoire ou de souffrance cérébrale ou d'hypertension artérielle mal contrôlée.
Artérite temporale.
Migraine hémiplégique ou basilaire.
Insuffisances rénales ou hépatiques sévères.
Grossesse et allaitement.
En association avec les triptans, les antibiotiques de la famille des macrolides (sauf la spiramycine), les inhibiteurs de protéases boostés par ritonavir, l'éfavirenz, les antifongiques azolés, le triclabendazole, l'association quinupristine/dalfopristine, le stiripentol, le diltiazem, le bocéprévir, le télaprévir, le cobicistat, l'association ombistavir/parataprévir .
Grossesse
Chez l'animal, l'expérimentation met en évidence un effet tératogène avec le tartrate d'ergotamine. Ces effets peuvent être attribués à une diminution de la circulation sanguine utéroplacentaire .
Les données sur l'utilisation du tartrate d'ergotamine pendant la grossesse sont limitées.
De plus, ce produit a des propriétés vasoconstrictrices et ocytociques. En conséquence, GYNERGÈNE CAFÉINÉ ne doit pas être utilisé pendant la grossesse.
Allaitement
Les dérivés de l'ergot passant dans le lait maternel, l'allaitement est contre-indiqué pendant l'utilisation de ce médicament.
L'ergotamine et la caféine sont excrétées dans le lait maternel. L'ergotamine peut entraîner des symptômes de vomissements, de diarrhées, de pouls faible et de tension artérielle irrégulière chez les nouveau-nés. GYNERGÈNE CAFÉINÉ est par conséquent contre-indiqué chez les mères allaitantes.
Fertilité
Chez les rats mâles recevant de l'ergotamine par voie orale et de la caféine en association (1:100), la fertilité n'a pas été affectée .
L'ergotisme est défini comme une vasoconstriction artérielle intense produisant des signes et symptômes d'ischémie des extrémités ou d'autres tissus (tels que vasospasmes rénaux ou cérébraux). En cas de nontraitement, une gangrène est possible. La plupart des cas d'ergotisme sont associés à une intoxication chronique et/ou un surdosage et/ou une interaction.
Symptômes
Douleurs abdominales, confusion, étourdissements, nausées, vomissements, céphalées, tachycardie ou bradycardie associées à une hypotension, troubles respiratoires, vertiges, paresthésies, ischémie, gangrène, convulsion, choc, coma, et aussi signes et symptômes d'ischémie vasculaire tels que engourdissement, picotements et douleurs des extrémités, cyanose et absence de pouls. Dans de rares cas, des patients peuvent présenter un infarctus du myocarde.
Traitement
En cas d'intoxication aiguë, une évacuation digestive par lavage gastrique et un traitement symptomatique doivent être envisagés en milieu hospitalier, sous surveillance cardiovasculaire étroite.
L'administration de charbon actif peut diminuer le passage digestif du tartrate d'ergotamine.
En cas de confirmation d'ergotisme vasculaire, un traitement d'urgence doit être administré en milieu hospitalier.
Interactions attendues entraînant une contre-indication
Inhibiteurs puissants du CYP3A4
L'utilisation concomitante d'inhibiteurs du cytochrome P450 3A4 (CYP3A4) tels que les antibiotiques de type macrolides (par ex. troléandomycine, érythromycine, clarithromycine), les inhibiteurs de la protéase ou de la transcriptase inverse du VIH (par ex. ritonavir, indinavir, nelfinavir, delavirdine) ou les antifongiques azolés (par ex. kétoconazole, itraconazole, voriconazole) et de GYNERGÈNE CAFÉINÉ doit être évitée , car cela peut entraîner une exposition élevée à l'ergotamine et à l'ergotisme (vasospasme et ischémie des extrémités et d'autres tissus).
Vasoconstricteurs
L'utilisation concomitante d'agents vasoconstricteurs, y compris des médicaments contenant des alcaloïdes de l'ergot, le sumatriptan et d'autres agonistes des récepteurs 5HT1 ou encore la nicotine (par ex. tabagisme sévère), et de sympathomimétiques doit être évitée car cela peut entraîner une vasoconstriction accrue .
Interactions observées entraînant la non-recommandation d'une utilisation concomitante
Toute augmentation éventuelle des concentrations plasmatiques de caféine en raison d'une interaction avec un(d') autre(s) médicament(s) peut se traduire par une augmentation de l'absorption de l'ergotamine. La caféine subit une métabolisation importante par le CYP1A2 et les médicaments augmentant ou réduisant l'activité enzymatique peuvent moduler la clairance métabolique de la caféine. Les fluoroquinolones, la mexilétine, la fluvoxamine et les contraceptifs oraux peuvent augmenter l'exposition plasmatique à la caféine. Des interactions entre la caféine et des sympathomimétiques peuvent entraîner une augmentation de la tension artérielle.
Interactions observées à prendre en compte
Bêta-bloquants
Quelques cas de réactions vasospastiques ont été rapportés chez des patients traités en concomitance avec des médicaments contenant de l'ergotamine et avec le propranolol.
Interactions attendues à prendre en compte
Inhibiteurs modérés/faibles du CYP3A4
Les inhibiteurs modérés à faibles du CYP3A4 tels que la cimétidine, le clotrimazole, le fluconazole, le jus de pamplemousse, la quinupristine/dalfopristine et le zileuton peuvent également accroître l'exposition à l'ergotamine et la prudence est requise en cas d'utilisation concomitante.
Inhibiteurs de la recapture de la sérotonine
L'utilisation concurrente d'ergotamine et d'inhibiteurs de la recapture de la sérotonine (par ex. amitriptyline), y compris des agents sélectifs (par ex. sertraline), peut entraîner un syndrome sérotoninergique et doit être effectuée avec prudence.
Inducteurs du CYP3A4
Les médicaments (par ex. névirapine, rifampicine) inducteurs du CYP3A4 peuvent entraîner une diminution de l'action pharmacologique de l'ergotamine.
Absence d'interaction
Aucune interaction pharmacocinétique impliquant d'autres isoenzymes du cytochrome P450 n'est connue.
INTERACTIONS LIEES A L'ERGOTAMINE
Associations contre-indiquées
+ Triptans (almotriptan, fovatriptan, naratriptan, rizatriptan, sumatriptan, zolmitriptan, élétriptan) : risque d'hypertension artérielle, de vasoconstriction artérielle coronaire. Respecter un délai de 24 heures entre l'arrêt du triptan et de la prise de l'alcaloïde.
+ Macrolides (sauf spiramycine) : ergotisme avec possibilité de nécrose des extrémités (diminution de l'élimination hépatique des alcaloïdes de l'ergot de seigle).
+ Antiprotéases (ex. amprénavir, atazanavir, fosamprenavir, indinavir, lopinavir, nelfinavir, ritonavir, saquinavir, tipranavir) : ergotisme avec possibilité de nécrose des extrémités (inhibition du métabolisme hépatique de l'alcaloïde de l'ergot de seigle).
+ Inhibiteurs de la reverse transcriptase (delavirdine, éfavirenz) : ergotisme avec la possibilité de nécrose des extrémités (inhibition du métabolisme hépatique de l'alcaloïde de l'ergot de seigle).
+ Voriconazole : ergotisme avec possibilité de nécrose des extrémités (inhibition du métabolisme hépatique de l'alcaloïde de l'ergot de seigle).
+ Quinupristine-dalfopristine (associés) : ergotisme avec la possibilité de nécrose des extrémités (inhibition du métabolisme hépatique de l'alcaloïde de l'ergot de seigle).
+ Stiripentol : ergotisme avec possibilité de nécrose des extrémités (inhibition du métabolisme hépatique des alcaloïdes de l'ergot de seigle).
+ Diltiazem : ergotisme avec possibilité de nécrose des extrémités (inhibition du métabolisme hépatique de l'alcaloïde de l'ergot de seigle).
+ Phénylpropanolamine : risque de vasoconstriction et/ou de crises hypertensives.
+ Triclabendazole : ergotisme avec possibilité de nécrose des extrémités (inhibition du métabolisme hépatique des alcaloïdes de l'ergot de seigle). Respecter un délai de 24 heures entre l'arrêt du traitement et l'ergotamine et inversement.
Associations déconseillées
+ Alcaloïdes de l'ergot de seigle dopaminergiques (bromocriptine, cabergoline, pergolide, lisuride) : risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.
+ Sympathomimétiques alpha (voies orale et/ou nasale) (etilephrine, midodrine, naphazoline, oxymetazoline, phényléphrine, synephrine, tetryzoline, tuaminoheptane, tymazoline) : risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.
+ Sympathomimétiques indirects (sauf phénylpropanolamine) (éphédrine, phényléphrine, pseudoéphédrine) : risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.
Associations faisant l'objet de précautions d'emploi
+ Bêta-bloquants (propanolol, oxprénolol) : ergotisme ; quelques cas de spasme artériel avec ischémie des extrémités ont été observés (addition d'effets vasculaires). Surveillance clinique renforcée en particulier pendant les premières semaines de l'association.
INTERACTIONS LIEES A LA CAFEINE
Associations déconseillées
+ Enoxacine : augmentation des concentrations plasmatiques de caféine pouvant entraîner excitations et hallucinations par diminution de son métabolisme hépatique.
Associations à prendre en compte
+ Ciprofloxacine, norfloxacine : augmentation des concentrations plasmatiques de caféine pouvant entraîner excitations et hallucinations par diminution de son métabolisme hépatique.
+ Méxilétine : augmentation des concentrations plasmatiques de caféine, par inhibition de son métabolisme hépatique par la méxilétine.
GYNERGÈNE CAFÉINÉ n'est pas recommandé chez les patients de moins de 12 ans ou de plus de 65 ans.
GYNERGÈNE CAFÉINÉ est destiné uniquement au traitement des crises de migraine aiguë et non à leur prévention.
GYNERGÈNE CAFÉINÉ ne doit en aucun cas être administré en traitement de fond, continu et prolongé.
L'administration répétée à court intervalle nécessite une surveillance particulière : l'apparition éventuelle de signes cliniques faisant suspecter une mauvaise tolérance vasculaire impose l'arrêt immédiat du traitement.
Les patients traités doivent être informés des doses maximales à ne pas dépasser et des premiers symptômes de surdosage :
accidents ischémiques et trophiques des extrémités : survenue de paresthésies (engourdissements, fourmillements), de phénomènes douloureux ou de vasoconstriction, même à doses usuelles doit attirer l'attention,
nausées et vomissements sans rapport avec la migraine,
symptômes d'ischémie myocardique (précordialgies).
Dès l'apparition de symptômes de surdosage, le traitement doit être interrompu et le patient doit aussitôt consulter son médecin.
Une utilisation prolongée ou excessive est contre-indiquée car pouvant entraîner :
une fibrose (notamment pleurale ou rétropéritonéale). Des rares cas de fibroses de valves cardiaques ont été rapportés ; de l'ergotisme incluant des symptômes sévères de vasoconstriction des vaisseaux sanguins périphériques avec potentiellement une issue fatale ;
une dépendance ;
des céphalées chroniques quotidiennes nécessitant une interruption transitoire du traitement ;
une intensification des céphalées à l'arrêt du traitement, survenant dans les 24 à 48 heures et pouvant se poursuivre durant 72 heures ou plus, et pouvant être accompagnée de troubles autonomes tels que nausées et vomissements.
Les patients atteints d'insuffisance hépatique légère à modérée, en particulier les patients atteints de cholestase hépatique, doivent bénéficier d'un suivi adapté.
L'attention des sportifs doit être attirée sur le fait que cette spécialité contient de l'ergotamine et que ce principe actif est inscrit sur la liste des substances dopantes.
La prise concomitante de ce médicament avec des alcaloïdes de l'ergot de seigle dopaminergiques, des sympathomimétiques alpha (voies orale et/ou nasale), des sympathomimétiques indirects, crizotinib, idélalisib ou enoxacine est déconseillée .
Analogues en Russie
таб.:
100 мг, 200 мг
р-р д/п/к введ.:
200 мг/мл
р-р д/п/к и субконъюнктивального введ.:
200 мг/мл, 100 мг/мл
Analogues en France
solution buvable et injectable:
12,5 mg
gel:
5 g
gel:
5,000 g