HYDROCORTANCYL - Les glucocorticoïdes physiologiques (cortisone et hydrocortisone) sont des hormones métaboliques essentielles.
Le médicament HYDROCORTANCYL appartient au groupe appelés Glucocorticoïdes
Cette spécialité pharmaceutique a un code ATC - H02AB06
SANOFI AVENTIS FRANCE (FRANCE) - Hydrocortancyl suspension injectable 2,5 g , 1998-03-09
SANOFI AVENTIS FRANCE (FRANCE) - Hydrocortancyl comprimé 5 mg , 1998-02-03
Hydrocortancyl 2,5 %
suspension injectable 5 mg
SANOFI AVENTIS FRANCE (FRANCE)
Hydrocortancyl 5 mg
comprimé 5 mg
SANOFI AVENTIS FRANCE (FRANCE)
AFFECTIONS OU MALADIES :
COLLAGENOSES-CONNECTIVITES
Poussées évolutives de maladies systémiques, notamment : lupus érythémateux disséminé, vascularite, polymyosite, sarcoïdose viscérale.
DERMATOLOGIQUES
dermatoses bulleuses autoimmunes sévères, en particulier pemphigus et pemphigoïde bulleuse,
formes graves des angiomes du nourrisson,
certaines formes de lichen plan,
certaines urticaires aiguës,
formes graves de dermatoses neutrophiliques.
DIGESTIVES
poussées évolutives de la rectocolite hémorragique et de la maladie de Crohn,
hépatite chronique active auto-immune (avec ou sans cirrhose),
hépatite alcoolique aiguë sévère, histologiquement prouvée.
ENDOCRINIENNES
thyroïdite subaiguë de De Quervain sévère,
certaines hypercalcémies.
HEMATOLOGIQUES
purpuras thrombopéniques immunologiques sévères,
anémies hémolytiques auto-immunes,
en association avec diverses chimiothérapies dans le traitement d'hémopathies malignes lymphoïdes,
érythroblastopénies chroniques acquises ou congénitales.
INFECTIEUSES
péricardite tuberculeuse et formes graves de tuberculose mettant en jeu le pronostic vital,
pneumopathie à Pneumocystis carinii avec hypoxie sévère.
NEOPLASIQUES
traitement anti-émétique au cours des chimiothérapies antinéoplasiques,
poussée démateuse et inflammatoire associée aux traitements antinéoplasiques (radio et chimiothérapie).
NEPHROLOGIQUES
syndrome néphrotique à lésions glomérulaires minimes,
syndrome néphrotique des hyalinoses segmentaires et focales primitives,
stade III et IV de la néphropathie lupique,
sarcoïdose granulomateuse intrarénale,
vascularites avec atteinte rénale,
glomérulonéphrites extra-capillaires primitives.
NEUROLOGIQUES
myasthénie,
dème cérébral de cause tumorale,
polyradiculonévrite chronique, idiopathique, inflammatoire,
spasme infantile (syndrome de West) / syndrome de Lennox-Gastaut,
sclérose en plaques en poussée, en relais d'une corticothérapie intraveineuse.
OPHTALMOLOGIQUES
uvéite antérieure et postérieure sévère,
exophtalmies démateuses,
certaines neuropathies optiques, en relais d'une corticothérapie intraveineuse (dans cette indication, la voie orale en première intention est déconseillée).
ORL
certaines otites séreuses,
polypose nasosinusienne,
certaines sinusites aiguës ou chroniques,
rhinites allergiques saisonnières en cure courte,
laryngite aiguë striduleuse (laryngite sous-glottique) chez l'enfant.
RESPIRATOIRES
asthme persistant de préférence en cure courte en cas d'échec du traitement par voie inhalée à fortes doses,
exacerbations d'asthme, en particulier asthme aigu grave,
bronchopneumopathie chronique obstructive en évaluation de la réversibilité du syndrome obstructif,
sarcoïdose évolutive,
fibroses pulmonaires interstitielles diffuses.
RHUMATOLOGIQUES
polyarthrite rhumatoïde et certaines polyarthrites,
pseudo polyarthrite rhizomélique et maladie de Horton,
rhumatisme articulaire aigu,
névralgies cervico-brachiales sévères et rebelles.
TRANSPLANTATION D'ORGANE ET DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOIETIQUES ALLOGENIQUES
prophylaxie ou traitement du rejet de greffe,
prophylaxie ou traitement de la réaction du greffon contre l'hôte.
Les glucocorticoïdes physiologiques (cortisone et hydrocortisone) sont des hormones métaboliques essentielles.
Les corticoïdes synthétiques, incluant cette spécialité sont utilisés principalement pour leur effet anti-inflammatoire. A forte dose, ils diminuent la réponse immunitaire. Leur effet métabolique et de rétention sodée est moindre que celui de l'hydrocortisone.
Après absorption orale, le pic sérique est atteint 1 à 2 heures après la prise et la concentration est réduite de moitié à la 6ème heure.
La demi-vie plasmatique est de l'ordre de 200 minutes.
La demi-vie biologique varie de 18 à 36 heures.
Ce médicament est contre-indiqué dans les situations suivantes :
Infection locale ou générale, ou suspicion d'infection.
Troubles sévères de la coagulation, traitement anticoagulant en cours.
Injection épidurale chez les patients qui présentent des troubles sévères de la coagulation ou traités par anticoagulants, ticlopidine, clopidogrel, autres antiagrégants plaquettaires ou agents anti-thrombotiques.
Injection épidurale sur rachis cervical :
par voie foraminale radioguidée ou non,
ou par voie postérieure
Injection épidurale sur rachis lombaire par voie foraminale radioguidée ou non
En raison de la présence d'alcool benzylique, ce médicament est contre-indiqué chez les prématurés et les nouveau-nés à terme.
Grossesse
Chez l'animal, l'expérimentation met en évidence un effet tératogène variable selon les espèces.
Dans l'espèce humaine, il existe un passage transplacentaire. Cependant, les études épidémiologiques n'ont décelé aucun risque malformatif lié à la prise de corticoïdes lors du premier trimestre.
Lors de maladies chroniques nécessitant un traitement tout au long de la grossesse, un léger retard de croissance intra-utérin est possible. Une insuffisance surrénale néonatale a été exceptionnellement observée après corticothérapie à doses élevées.
Il est justifié d'observer une période de surveillance clinique (poids, diurèse) et biologique du nouveau-né.
En conséquence, les corticoïdes peuvent être prescrits pendant la grossesse si besoin.
Allaitement
En cas de traitement à doses importantes et de façon chronique, l'allaitement est déconseillé.
Il peut être observé avec la corticothérapie générale :
Signes cliniques : surcharge pondérale, obésité, atrophie musculaire, troubles digestifs, ostéoporose, HTA, hypertrichose, purpura, acné.
Signes neuropsychiques : excitation, agitation.
Signes endocriniens et métaboliques : véritable syndrome de Cushing iatrogène, arrêt de croissance chez l'enfant.
Signes biologiques : glycosurie, hyperglycémie, hypokaliémie.
Les risques d'interactions des glucocorticoïdes avec d'autres médicaments sont exceptionnels par voie injectable locale dans les circonstances usuelles d'emploi. Ces risques seraient à considérer en cas d'injections multiples (plusieurs localisations) ou répétées à court terme.
L'hypokaliémie est un facteur favorisant l'apparition de troubles du rythme cardiaque (torsades de pointes, notamment) et augmentant la toxicité de certains médicaments, par exemple la digoxine. De ce fait les médicaments qui peuvent entraîner une hypokaliémie sont impliqués dans un grand nombre d'interactions. Il s'agit des diurétiques hypokaliémiants, seuls ou associés, des laxatifs stimulants, des glucocorticoïdes, du tétracosactide et de l'amphotéricine B (voie IV).
Associations contre-indiquées
+ Vaccins vivants atténués
A l'exception des voies inhalées et locales, et pour des posologies supérieures à 10 mg/j d'équivalent-prednisone (ou > 2 mg/kg/j chez l'enfant ou > 20 mg/j chez l'enfant de plus de 10 kg) pendant plus de deux semaines et pour les « bolus » de corticoïdes : risque de maladie vaccinale généralisée éventuellement mortelle.
Les vaccins vivants atténués sont contre-indiqués même pendant les 3 mois suivant l'arrêt de la corticothérapie.
Associations déconseillées
+ Acide acétylsalicylique
Majoration du risque hémorragique.
Association déconseillée avec des doses anti-inflammatoires d'acide acétylsalicylique (≥ 1 g par prise et/ou ≥ 3 g par jour).
+ Inhibiteurs du CYP3A
Il est prévu que l'administration concomitante d'inhibiteurs du CYP3A, y compris de produits contenant du cobicistat, augmente le risque d'effets secondaires systémiques. L'association doit être évitée, sauf si les bénéfices sont supérieurs au risque accru d'effets secondaires systémiques des corticostéroïdes ; dans ce cas, les patients doivent être surveillés en vue de détecter les éventuels effets secondaires systémiques des corticostéroïdes.
Associations faisant l'objet de précautions d'emploi
+ Anticoagulants oraux
Glucocorticoïdes (voies générale et rectale) : impact éventuel de la corticothérapie sur le métabolisme de l'antivitamine K et sur celui des facteurs de la coagulation. Risque hémorragique propre à la corticothérapie (muqueuse digestive, fragilité vasculaire) à fortes doses ou en traitement prolongé supérieur à 10 jours.
Lorsque l'association est justifiée, renforcer la surveillance : le cas échéant, contrôle biologique au 8e jour, puis tous les 15 jours pendant la corticothérapie et après son arrêt.
+ Autres hypokaliémiants (diurétiques hypokaliémiants seuls ou associés, laxatifs stimulants, amphotéricine B par voie IV, tétracosactide)
Risque majoré d'hypokaliémie. Surveillance de la kaliémie avec, si besoin, correction.
+ Anticonvulsivants inducteurs enzymatiques : carbamazépine, fosphénytoïne, phénobarbital, phénytoïne, primidone
Diminution des concentrations plasmatiques et de l'efficacité des corticoïdes par augmentation de leur métabolisme hépatique par l'inducteur; les conséquences sont particulièrement importantes chez les addisoniens traités par l'hydrocortisone et en cas de transplantation. Surveillance clinique et biologique; adaptation de la posologie des corticoïdes pendant le traitement par l'inducteur et après son arrêt.
+ Digoxine
Hypokaliémie favorisant les effets toxiques des digitaliques. Corriger auparavant toute hypokaliémie et réaliser une surveillance clinique, électrolytique et électrocardiographique.
+ Insuline, metformine, sulfamides hypoglycémiants
Augmentation de la glycémie avec parfois acidocétose par diminution de la tolérance aux glucides due aux corticoïdes. Prévenir le patient et renforcer l'autosurveillance glycémique et urinaire, surtout en début de traitement. Adapter éventuellement la posologie de l'antidiabétique pendant le traitement par les corticoïdes et après son arrêt.
+ Isoniazide
Décrit pour la prednisolone : diminution des concentrations plasmatiques de l'isoniazide. Mécanisme invoqué : augmentation du métabolisme hépatique de l'isoniazide et diminution de celui des glucocorticoïdes. Surveillance clinique et biologique.
+ Médicaments susceptibles de donner des torsades de pointes (voir associations déconseillées): antiarythmiques de classe Ia (quinidine, hydroquinidine, disopyramide) et antiarythmiques de classe III (amiodarone, sotalol, dofétilide, ibutilide), certains neuroleptiques (thioridazine, chlorpromazine, lévomépromazine, cyamémazine, sulpiride, sultopride, amisulpride, tiapride, pimozide, halopéridol, dropéridol, véralipride), bépridil, cisapride, diphémanil, érythromycine IV, halofantrine, luméfantrine, méthadone, mizolastine, moxifloxacine, pentamidine, spiramycine IV, vincamine IV).
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Corriger auparavant toute hypokaliémie avant d'administrer le produit et réaliser une surveillance clinique, électrolytique et électrocardiographique.
+ Rifampicine
Diminution des concentrations plasmatiques et de l'efficacité des corticoïdes par augmentation de leur métabolisme hépatique par la rifampicine; les conséquences sont particulièrement importantes chez les addisoniens traités par l'hydrocortisone et en cas de transplantation. Surveillance clinique et biologique; adaptation de la posologie des corticoïdes pendant le traitement par la rifampicine et après son arrêt.
+ Topiques gastro-intestinaux, antiacides et charbon (décrit pour la prednisolone, la dexaméthasone)
Diminution de l'absorption digestive des glucocorticoïdes. Prendre les topiques gastro-intestinaux et antiacides à distance des glucocorticoïdes (plus de 2 heures si possible).
Associations à prendre en compte
+ Fluoroquinolones
Possible majoration du risque de tendinopathie, voire de rupture tendineuse (exceptionnelle), particulièrement chez les patients recevant une corticothérapie prolongée.
+ Antihypertenseurs
Diminution de l'effet antihypertenseur (rétention hydrosodée des corticoïdes).
+ Acide acétylsalicylique
Majoration du risque hémorragique.
A prendre en compte avec des doses antalgiques ou antipyrétiques (≥ 500 mg par prise et/ou < 3 g par jour).
+ Anti-inflammatoires non stéroïdiens
Augmentation du risque d'ulcération et d'hémorragie gastro-intestinale.
+ Curares non dépolarisants : avec les glucocorticoïdes par voie IV
Risque de myopathie sévère, réversible après un délai éventuellement long (plusieurs mois).
+ Ciclosporine
Augmentation des effets de la prednisolone : aspect cushingoïde, réduction de la tolérance aux glucides (diminution de la clairance de la prednisolone).
Mises en garde spéciales
Du fait d'une diffusion systémique potentielle, il faut prendre en compte certaines contre-indications des corticoïdes par voie générale, en particulier si les injections sont multiples (plusieurs localisations) ou répétées à court terme :
certaines viroses en évolution (notamment hépatites, herpès, varicelle, zona),
états psychotiques encore non contrôlés par un traitement,
vaccins vivants.
La corticothérapie peut favoriser la survenue de diverses complications infectieuses.
Des injections multiples (plusieurs localisations) ou répétées à court terme peuvent entraîner des symptômes cliniques et biologiques d'hypercorticisme ainsi qu'une freination de l'axe thalamo-hypophyso-surrénalien.
L'attention est attirée chez les sportifs, cette spécialité contenant un principe actif pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopages.
L'administration concomitante d'acétate de prednisolone avec des vaccins vivants atténués ou de l'acide acétylsalicylique utilisé à dose anti-inflammatoire (≥ 1 g par prise et/ou ≥ 3 g par jour) est déconseillée .
Les corticoïdes oraux ou injectables peuvent favoriser l'apparition de tendinopathie, voire de rupture tendineuse (exceptionnelle). Ils ne doivent donc pas être injectés en intra-tendineux. Ce risque est augmenté lors de la co-prescription avec des fluoroquinolones et chez les patients dialysés avec hyperparathyroïdisme secondaire ou ayant subi une transplantation rénale.
Du fait du risque de calcifications, il est préférable d'éviter l'administration d'un dérivé cortisonique en intra-discal.
Il semble qu'en cas de réaction allergique, l'allergène responsable soit le plus souvent la carmellose, l'agent de suspension.
Troubles visuels : des troubles visuels peuvent apparaitre lors d'une corticothérapie par voie systémique ou locale. En cas de vision floue ou d'apparition de tout autre symptôme visuel apparaissant au cours d'une corticothérapie, un examen ophtalmologique est requis à la recherche notamment d'une cataracte, d'un glaucome, ou d'une lésion plus rare telle qu'une choriorétinopathie séreuse centrale, décrits avec l'administration de corticostéroïdes par voie systémique ou locale.
La survenue de crises liées à la présence d'un phéochromocytome, et pouvant être fatales a été rapportée après administration de corticostéroïdes. Les corticostéroïdes ne doivent être administrés aux patients chez qui un phéochromocytome est suspecté ou identifié, qu'après une évaluation appropriée du rapport bénéfice/risque .
Ce médicament contient 9 mg d'alcool benzylique par flacon de 1 ml et 45 mg d'alcool benzylique par flacon de 5 ml. Il peut provoquer des réactions toxiques et des réactions de type anaphylactoïde chez les nourrissons et les enfants jusqu'à 3 ans.
L'administration de médicaments contenant de l'alcool benzylique chez les prématurés et les nouveau-nés à terme a été associée à des cas fatals de syndrome de suffocation (les symptômes incluent la survenue brutale d'un syndrome de suffocation, hypotension, bradycardie et collapsus cardio-vasculaire).
Ce médicament contient du sodium. Le taux de sodium est inférieur à 1 mmol par dose, c'est-à-dire « sans sodium ».
Mises en garde spécifiques à la voie épidurale
HYDROCORTANCYL est un corticoïde particulaire, qui en cas d'injection involontaire dans un vaisseau (artériole notamment), expose à un risque d'accident ischémique médullaire grave. La voie épidurale doit donc être utilisée avec prudence.
L'injection sur rachis opéré est un facteur de risque d'effets indésirables neurologiques graves . En cas d'injection épidurale par voie postérieure ou articulaire postérieure, sur rachis opéré, la vascularisation de la zone pouvant avoir été modifiée, il reviendra au médecin de décider de la nécessité d'une infiltration. Celle-ci doit se faire à distance de l'étage opéré, afin de diminuer le risque d'injection involontaire dans un vaisseau et après évaluation des risques et des bénéfices lors d'une concertation pluridisciplinaire.
Mises en garde spécifiques à la voie intradurale
L'administration intradurale doit être réalisée avec prudence en cas de traitement oestroprogestatif et chez les patients ayant des facteurs de risque d'accidents thromboemboliques .
Précautions particulières d'emploi
Il est nécessaire d'observer une asepsie rigoureuse.
L'injection locale de corticoïdes peut déséquilibrer un diabète, un état psychotique, une hypertension artérielle sévère.
L'administration devra être prudente chez les patients à risque élevé d'infection, en particulier les hémodialysés ou les porteurs de prothèse.
Le risque de réaction vasomotrice et en particulier de douleur thoracique, est à prendre en compte chez les malades ayant une maladie cardiovasculaire évolutive sous-jacente.
Ne pas injecter en intra-tendineux, en raison du risque de rupture.
Ne pas administrer par voie I.V. ni par voie I.M.
Cette spécialité n'est pas adaptée à l'administration par voie inhalée par nébulisateur.
Ce médicament est contre-indiqué chez les prématurés et les nouveau-nés à terme dû à la présence d'alcool benzylique . Cependant, des cardiomyopathies hypertrophiques ont été rapportées après administration systémique d'autres glucocorticoïdes chez des nourrissons prématurés. Chez les nourrissons traités par des glucocorticoïdes à usage systémique, des échographies cardiaques doivent être effectuées pour surveiller la structure et la fonction myocardique.
Analogues en Russie
р-р д/в/в и в/м введ.:
30 мг/мл
р-р д/в/в и в/м введ.:
30 мг/мл
р-р д/инъекц.:
30 мг/мл
таб.:
1 мг, 5 мг
р-р д/в/в и в/м введ.:
30 мг/2 мл, 30 мг/мл
мазь д/наружн. прим.:
0.5%, 5 мг/г
Analogues en France
comprimé:
5 mg
suspension injectable:
2,5 g
solution buvable:
1 mg
comprimé orodispersible:
20 mg, 5 mg
comprimé effervescent:
20 mg, 5 mg
solution buvable:
0,100 g
comprimé orodispersible:
20,00 mg, 5,00 mg
comprimé effervescent:
20 mg, 5,000 mg