Résumé des caractéristiques du médicament - Macrosalb DRAXIMAGE

Langue

- Français

Macrosalb DRAXIMAGE

Macrosalb DRAXIMAGE - Administré aux doses recommandées, Macrosalb DRAXIMAGE n'exerce pas d'effets pharmacodynamiques cliniquement détectables et/ou mesurables.

Le médicament Macrosalb DRAXIMAGE appartient au groupe appelés Radiopharmaceutiques diagnostiques

Cette spécialité pharmaceutique a un code ATC - V09EB01

Titulaires de l'autorisation de mise sur le marché:

DRAXIMAGE (UK) LIMITED (ROYAUME-UNI) - Macrosalb draximage trousse pour préparation radiopharmaceutique 2,5 mg , 2009-11-02


Macrosalb draximage 2,5 mg, lyophilisat pour suspension injectable. Trousse pour préparation radiopharmaceutique

trousse pour préparation radiopharmaceutique 2,5 mg

DRAXIMAGE (UK) LIMITED (ROYAUME-UNI)



Сlassification pharmacothérapeutique :




Formes pharmaceutiques et Dosage du médicament

  • trousse pour préparation radiopharmaceutique : 2,5 mg

Dosage

Renseignements posologiques pour la scintigraphie pulmonaire de perfusion et la veinoscintigraphie
Adultes et personnes âgées
L'activité recommandée administrée par voie intraveineuse va de 40 à 150 MBq, avec une médiane de 100 MBq pour la scintigraphie en mode planaire, et s'élève jusqu'à 200 MBq en mode tomoscintigraphique (TEMP ou SPECT). Chez l'adulte, le nombre moyen de macroagrégats par administration doit être compris entre 100 000 et 300 000 et ne doit pas dépasser les 700 000. Afin d'obtenir des images de qualité optimale, le nombre minimal de particules administrées par examen doit atteindre 100 000.
Patients adultes et patients âgés souffrant de maladie cardiovasculaire grave, d'hypertension artérielle pulmonaire accompagnée d'insuffisance respiratoire ou de shunt droite-gauche
Le nombre de macroagrégats injectés doit être compris entre 100 000 et 200 000.
Patients pédiatriques
Selon le Pediatric Task Group de l'EANM, l'activité à administrer aux enfants doit être calculée en fonction de leur masse corporelle et correspond à une fraction de l'activité administrée aux adultes, conformément au tableau suivant.
Fraction de la dose pour adultes:
3 kg
=
0,10
22 kg
=
0,50
42 kg
=
0,78
4 kg
=
0,14
24 kg
=
0,53
44 kg
=
0,80
6 kg
=
0,19
26 kg
=
0,56
46 kg
=
0,82
8 kg
=
0,23
28 kg
=
0,58
48 kg
=
0,85
10 kg
=
0,27
30 kg
=
0,62
50 kg
=
0,88
12 kg
=
0,32
32 kg
=
0,65
52-54 kg
=
0,90
14 kg
=
0,36
34 kg
=
0,68
56-58 kg
=
0,92
16 kg
=
0,40
36 kg
=
0,71
60-62 kg
=
0,96
18 kg
=
0,44
38 kg
=
0,73
64-66 kg
=
0,98
20 kg
=
0,46
40 kg
=
0,76
68 kg
=
0,99
Afin d'obtenir des images de qualité satisfaisante chez les jeunes enfants, l'activité administrée ne doit pas être inférieure à 10 MBq.
Nouveau-nés: le nombre de macroagrégats injectés ne doit pas dépasser 50 000.
Enfants de 1 an: le nombre de macroagrégats injectés ne doit pas dépasser 150 000.
Patients pédiatriques présentant un shunt droite-gauche
Nouveau-nés: le nombre de macroagrégats doit être compris entre 1000 et 5000.
Enfants de 1 an: le nombre de macroagrégats doit être compris entre 5000 et 15 000.
Enfants de 5 à 10 ans: le nombre de macroagrégats doit être compris entre 20 000 et 30 000.
Adolescents jusqu'à 15 ans: le nombre de macroagrégats doit être compris entre 20 000 et 70 000.
Mode d'administration et examen scintigraphique
Ce médicament radiopharmaceutique doit être reconstitué avant l'emploi. Toute portion inutilisée de la suspension reconstituée doit être éliminée au bout de 8 heures. Après reconstitution et marquage par le technétium-99m, le produit final est une suspension blanchâtre d'agrégats d'albumine injectable, qui peut sédimenter en cas de stockage.
Avant l'injection, la seringue doit être agitée doucement, afin d'en homogénéiser le contenu et d'éviter la formation d'agrégats de plus grande taille. Le cas échéant, ces complexes d'agrégats peuvent être dispersés au moyen d'une canule de faible calibre.
De même, il ne faut jamais aspirer de sang dans la seringue, car cela pourrait entraîner la formation de petits caillots se traduisant par une image de lacune sur la scintigraphie (résultat faux positif) en raison de l'obstruction d'artérioles de gros calibre. Si possible, le produit ne doit pas être administré à travers un dispositif d'accès veineux implantable, car cela peut entraîner une mauvaise homogénéisation de la radioactivité dans l'artère pulmonaire.
Préparation du patient
Avant d'administrer la suspension marquée au technétium-99m, il peut être utile d'effectuer un blocage de la fixation thyroïdienne du radionucléide, afin de limiter l'exposition de la thyroïde aux radiations, en réduisant la fixation de pertechnétate de technétium-(99mTc).
Après que le patient a toussé et qu'il a pris plusieurs inspirations profondes, on injecte le produit lentement par voie intraveineuse, sur une durée de 3 à 5 cycles respiratoires ou d'au moins 30 secondes, en évitant si possible l'injection dans un cathéter veineux. Il faut être très attentif à ce que le produit radiopharmaceutique ne soit pas injecté dans les tissus environnants et qu'aucune quantité de sang ne soit aspirée dans la seringue, ce qui pourrait entraîner la formation d'agrégats de trop grandes dimensions. Pendant l'injection, le patient doit être en décubitus dorsal ou s'il souffre d'orthopnée, dans une position aussi allongée que possible. La scintigraphie pulmonaire peut commencer dès la fin de l'injection.
On recommande généralement que le patient soit en décubitus dorsal lors de l'injection intraveineuse du radiopharmaceutique, la différence crânio-caudale de répartition des macroagrégats étant ainsi minimisée. Cependant, certains auteurs conseillent que le patient conserve la même position que durant l'inhalation du gaz radioactif ou de l'aérosol radioactif lors de la scintigraphie de ventilation, c'est-à-dire qu'il demeure assis dans la même position depuis au moins 5 minutes avant l'injection. La ventilation pulmonaire étant meilleure lorsque le sujet est en position assise, on évite ainsi le risque d'obtenir un faux positif lors de l'interprétation conjointe des scintigraphies de ventilation et de perfusion.

Indications

Ce médicament est à usage diagnostique uniquement.

Une fois marqué avec du pertechnétate-(99mTc) de sodium (Ph. Eur.) obtenu à l'aide d'un générateur de ce radionucléide bénéficiant d'une autorisation de mise sur le marché, Macrosalb DRAXIMAGE est employé dans les indications suivantes:

Scintigraphie pulmonaire de perfusion

Diagnostic positif ou d'exclusion de l'embolie pulmonaire chez les patients présentant des symptômes évocateurs d'embolie pulmonaire; surveillance de l'évolution de l'embolie pulmonaire.

Avant un traitement qui va entraîner une réduction importante de la perfusion pulmonaire régionale: évaluation préopératoire de la perfusion pulmonaire locale en vue d'une résection pulmonaire partielle; examen préopératoire en vue d'une transplantation pulmonaire et suivi postopératoire du patient; examens pour la planification de la radiothérapie.

En association avec la scintigraphie de ventilation pour l'évaluation initiale et le suivi des patients souffrant de maladies pulmonaires obstructives ou restrictives graves.

Diagnostic et quantification des shunts pulmonaires droite-gauche.

Veinoscintigraphie

Comme alternative à l'échographie Doppler - veinoscintigraphie des membres inférieurs, en association avec la scintigraphie pulmonaire de perfusion lorsque l'on soupçonne l'association d'une thrombose veineuse profonde des membres inférieurs et d'une embolie pulmonaire.

Pharmacodynamique

Administré aux doses recommandées, Macrosalb DRAXIMAGE n'exerce pas d'effets pharmacodynamiques cliniquement détectables et/ou mesurables.

Pharmacocinétique

Après injection intraveineuse des agrégats d'albumine injectable marqués au technétium-99m, il se produit une occlusion temporaire d'une très faible fraction des capillaires et des artérioles pulmonaires, qui est proportionnelle au flux sanguin pulmonaire régional instantané.

La scintigraphie de perfusion repose sur l'occlusion mécanique des petits vaisseaux. Après injection intraveineuse, plus de 95 % des macroagrégats sont retenus dans les artérioles et les capillaires pulmonaires au moment de leur premier passage dans les poumons. Soixante % des macroagrégats ont un diamètre de 30 à 50 µm; aucun n'a un diamètre supérieur à 150 µm. L'occlusion temporaire des vaisseaux touche environ 1 capillaire sur 1 000 000 (diamètre < 20 µm) et 1 artériole sur 1000 (diamètre > 20 µm), selon la distribution de la taille des agrégats. L'ampleur du blocage régional est donc directement proportionnelle au débit sanguin régional au moment de l'examen. Les variations hémodynamiques sont directement associées à la taille des agrégats d'albumine injectable marqués au technétium-99m.

Les macroagrégats sont éliminés du poumon par fragmentation mécanique, qui résulte des variations de pression systolique et diastolique au sein des petits vaisseaux, et par destruction enzymatique suivie de la phagocytose par les macrophages du système réticulo-endothélial. Du fait de cette élimination, le foie et les reins accumulent une certaine fraction de la radioactivité injectée. Dans le foie, cette accumulation est très variable; augmentant avec le temps, elle peut atteindre 25 %. La demi-vie d'élimination des agrégats est d'environ 7 à 20 heures au niveau du poumon, très variable d'un sujet à l'autre. Enfin, 30 % à 45 % de la radioactivité administrée est excrétée dans les urines dans les 24 heures.

Chez les sujets qui présentent un shunt droite-gauche, une partie des macroagrégats atteint la grande circulation et reste bloquée dans les capillaires, ce qui peut donner lieu, par exemple, à une microembolie cérébrale ou rénale.

Effets indésirables

A la suite de l'administration intraveineuse d'agrégats d'albumine injectable marqués au technétium-99m, on a signalé de très rares cas (≤ 1/10 000) de réaction d'hypersensibilité, telle qu'urticaire, frissons, fièvre, nausées, rougeur du visage et transpiration, ainsi que d'insuffisance cardiaque et circulatoire se traduisant par des modifications de la respiration, du pouls, de la tension artérielle voire un collapsus, possiblement reliés à une occlusion vasculaire.

Des réactions anaphylactoïdes sérieuses comprenant des cas de choc possiblement mortel ont été signalées, mais sont très rare. En outre, il est possible que ces réactions ne se manifestent pas immédiatement. Des cas de réaction allergique locale au point d'injection ont été observés.

L'administration du produit doit être interrompue immédiatement en cas de symptômes tels que rougeur, prurit, éternuements, toux, transpiration ou sensation de froid, dyspnée, nausées, vomissements, œdème, urticaire ou autre réaction d'hypersensibilité survenant durant l'injection. Le matériel de réanimation et les médicaments d'urgence doivent être disponibles à proximité immédiate.

L'exposition aux rayonnements ionisants peut induire des cancers ou développer des déficiences héréditaires. Pour la plupart des examens de médecine nucléaire réalisés à des fins de diagnostic, la dose de radiations délivrée (dose efficace) est inférieure à 20 mSv et la probabilité que de tels effets se manifestent est considérée comme très faible. En effet, la dose efficace délivrée après l'administration de l'activité maximale recommandée de ce médicament radiopharmaceutique est de 2,2 mSv.

Contre-indications

Hypersensibilité à la substance active ou à l'un des excipients.

Hypertension artérielle pulmonaire grave;

Grossesse/Allaitement

Il n'existe pas de données cliniques concernant l'utilisation des agrégats d'albumine injectable marqués au technétium-99m pendant la grossesse.

Femmes en âge de procréer

Lorsqu'il est nécessaire d'administrer des produits radiopharmaceutiques à une femme en âge de procréer, il est indispensable de s'informer de toute éventualité d'une grossesse. Toute femme n'ayant pas eu ses règles doit être considérée comme enceinte jusqu'à preuve du contraire. Dans le doute, il est important que l'exposition aux rayonnements soit réduite au minimum nécessaire à l'obtention des informations cliniques souhaitées. D'autres techniques n'impliquant pas l'emploi de rayonnements ionisants doivent être envisagées.

Grossesse

Les examens faisant appel aux radionucléides chez la femme enceinte entraînent une certaine dose d'irradiation pour le fœtus. Ils ne doivent donc être réalisés au cours de la grossesse que pour des raisons impératives et après avoir évalué le bénéfice attendu par rapport aux risques encourus par la mère et le fœtus.

Allaitement

Avant d'administrer un produit radiopharmaceutique à une femme qui allaite, il faut envisager s'il est raisonnable de repousser l'examen jusqu'à la fin de l'allaitement ou s'assurer, dans le cas contraire, que le radiopharmaceutique choisi est le plus approprié compte tenu de l'éventuel passage de la radioactivité dans le lait. Si l'administration est indispensable, l'allaitement doit être interrompu et le lait produit pendant les 12 heures suivant l'administration doit être éliminé. L'allaitement peut reprendre lorsque la radioactivité présente dans le lait ne délivre plus qu'une dose de radiations inférieure à 1 mSv.

Surdosage

Un surdosage au sens usuel du terme (l'administration d'une masse excessive), n'est pas envisageable. Pour ce type de préparation, un surdosage s'entend comme l'administration d'un nombre trop élevé d'agrégats. Ce nombre ne doit pas dépasser 1,5 x 106 chez un patient adulte.

Les risques liés à l'administration d'une quantité excessive de radioactivité peuvent être réduits par une augmentation de la diurèse avec des mictions fréquentes.

Interactions avec d'autres médicaments

De nombreux médicaments sont susceptibles d'affecter la biodistribution des agrégats d'albumine injectable marqués au technétium-99m:

Des interactions pharmacologiques avec les agents chimiothérapiques, l'héparine et les bronchodilatateurs.

Des interactions toxicologiques avec l'héroïne, la nitrofurantoïne, le busulfan, le cyclophosphamide, la bléomycine, le méthotrexate et le méthysergide.

Des interactions pharmaceutiques avec le sulfate de magnésium;

Mises en garde et précautions

Pour tous les patients: l'exposition aux radiations doit être justifiée par le bénéfice diagnostique attendu, obtenu avec la plus faible irradiation possible.

Enfants de moins de 18 ans: il faut être particulièrement prudent lorsqu'on administre des agrégats d'albumine injectable marqués au technétium-99m à des enfants, car la dose efficace par MBq administré est plus élevée que chez les adultes .

La radioactivité administrée doit être telle que l'irradiation qui en découle soit aussi faible que possible tout en gardant à l'esprit la nécessité d'obtenir le diagnostic requis.

Il faut être particulièrement prudent lorsqu'on administre des agrégats d'albumine injectable marqués au technétium-99m à des patients souffrant d'hypertension artérielle pulmonaire, d'insuffisance respiratoire ou de shunt cardiaque droite-gauche suspecté ou avéré. Afin de réduire le risque de microembolie cérébrale ou rénale, les agrégats d'albumine injectable marqués au technétium-99m doivent être administrés par injection intraveineuse lente. Le nombre de macroagrégats doit être le plus faible possible. Chez l'adulte, le nombre de macroagrégats peut être réduit entre 100 000 et 200 000 sans compromettre la détection des anomalies de perfusion, mais la distribution de la radioactivité peut être inhomogène si le nombre de macroagrégats est trop réduit, soit inférieur à 100 000. Si l'on soupçonne une des maladies citées ci-dessus, Macrosalb DRAXIMAGE ne doit être administré qu'après évaluation minutieuse du rapport bénéfice-risque.

Afin de ne pas compromettre la stabilité du médicament radiomarqué, les agrégats d'albumine injectable marqués au technétium-99m ne doivent pas être mélangés à d'autres médicaments, ni être administrés en concomitance avec ces derniers.

Ce médicament ne doit pas entrer en contact avec l'air.

Sécurité virale

Ce médicament est un dérivé du sang humain.

La préparation de médicaments à partir de sang ou de plasma implique certaines mesures destinées à prévenir la transmission aux patients d'agents infectieux, dont une sélection minutieuse des donneurs de sang ou de plasma afin d'exclure ceux qui risquent d'être porteurs d'infections, et la réalisation de tests de dépistage d'infections virales sur chaque don et chaque pool de plasma. Les fabricants qui élaborent ces produits incluent, dans le traitement du sang ou du plasma, des procédés capables d'inactiver ou d'éliminer les virus.

Ce produit est préparé exclusivement à partir de lots d'albumine humaine recueillis aux Etats-Unis d'Amérique et sur lesquels la recherche de l'antigène de surface du virus de l'hépatite B (AgHBs), des anticorps dirigés contre le virus du syndrome de l'immunodéficience acquise (anti-VIH-1/VIH-2; anti-HTLV-1/HTLV-2), de l'anticorps dirigé contre l'hépatite virale C (anti-HVC) et de l'antigène du virus du syndrome de l'immunodéficience acquise (VIH-1) s'est révélée négative.

En dépit de ces mesures, il n'est pas possible d'exclure entièrement le risque de transmission d'agents infectieux lors de l'administration de produits préparés à partir de sang ou de plasma. Ceci s'applique aussi bien aux virus inconnus à ce jour qu'aux virus émergeant récemment, ainsi qu'aux autres types d'infections.

Les mesures habituelles de prévention du risque de transmission d'agents infectieux par les médicaments préparés à partir de sang ou de plasma humain comprennent la sélection clinique des donneurs, la recherche des marqueurs spécifiques d'infection sur chaque don et sur les mélanges de plasma ainsi que la mise en œuvre d'étapes efficaces pour l'inactivation/élimination virale dans le procédé de fabrication.

Cependant, lorsque des médicaments préparés à partir de sang ou de plasma humain sont administrés, le risque de transmettre des agents infectieux ne peut être totalement exclu. Ceci s'applique également aux virus inconnus ou émergents ou autres types d'agents infectieux.

Aucun cas de contamination virale par l'albumine fabriquée conformément aux spécifications de la Pharmacopée Européenne et selon des procédés établis n'a été rapporté.

Il est fortement recommandé qu'à chaque administration de Macrosalb DRAXIMAGE à un patient, le nom et le numéro de lot du produit soit enregistré de façon à établir un lien entre le patient et le lot du produit utilisé.

Excipients

Ce médicament contient du sodium. Le taux de sodium est inférieur à 1 mmol par dose, c'est-à-dire « sans sodium ».

Mises en garde et mesures de précaution générales destinées à éviter les risques environnementaux

Les produits radiopharmaceutiques ne doivent être réceptionnés, utilisés et administrés que par des personnes autorisées dans les services agréés. Leur réception, leur stockage, leur utilisation, leur transfert et leur élimination sont soumis aux réglementations et aux autorisations appropriées des autorités compétentes.

Les produits radiopharmaceutiques doivent être préparés de manière à satisfaire à la fois aux normes de radioprotection et aux normes de qualité pharmaceutique.

Tout patient ayant reçu un médicament radiopharmaceutique représente un risque pour le personnel soignant, en raison de l'irradiation externe ou d'une contamination causée par les liquides organiques (urine, vomissements, etc.). Aussi les mesures de radioprotection recommandées par les organismes de réglementation doivent-elles être observées. On doit également éviter la contamination par les sécrétions et excrétions radioactives du malade après l'examen.



CIM-10 codes des maladies, dont la thérapie comprend Macrosalb DRAXIMAGE



Analogues du médicament Macrosalb DRAXIMAGE qui a la même composition

Analogues en Russie


Rien trouvé

Analogues en France

  • trousse pour préparation radiopharmaceutique:

    2,5 mg

  • trousse pour préparation radiopharmaceutique:

    2,0 mg

  • poudre pour suspension injectable:

    2 mg