NAROPEINE - La ropivacaïne est un anesthésique local de type amide de longue durée d'action avec des effets anesthésiques et analgésiques.
Le médicament NAROPEINE appartient au groupe appelés Les amino-amides
Cette spécialité pharmaceutique a un code ATC - N01BB09
ASPEN PHARMA TRADING (IRLANDE) - Naropeine solution injectable 10 mg , 1996-08-20
ASPEN PHARMA TRADING (IRLANDE) - Naropeine solution injectable 2,00 mg , 1996-08-20
ASPEN PHARMA TRADING (IRLANDE) - Naropeine solution injectable 2 mg , 1996-08-20
Naropeine 10 mg/ml
solution injectable 7,50 mg
ASPEN PHARMA TRADING (IRLANDE)
Naropeine 2 mg/ml
solution injectable 7,50 mg
ASPEN PHARMA TRADING (IRLANDE)
Naropeine 2 mg/ml
solution injectable 7,50 mg
ASPEN PHARMA TRADING (IRLANDE)
Naropeine 5 mg/ml
solution injectable 7,50 mg
ASPEN PHARMA TRADING (IRLANDE)
Naropeine 7,5 mg/ml
solution injectable 7,50 mg
ASPEN PHARMA TRADING (IRLANDE)
Conc. -------mg/ml | Volume --------- ml | Dose -------- mg | Délai d'installation ------- minutes | Durée -------heures | ||
ANESTHÉSIE CHIRURGICALE | ||||||
Administration péridurale lombaire Chirurgie Césarienne | 7,5 10,0 7,5 | 15-25 15-20 15-20 | 113-188 150-200 113-1501 | 10-20 10-20 10-20 | 3-5 4-6 3-5 | |
Administration péridurale thoracique Etablissement d'un bloc pour le traitement de la douleur post-opératoire | 7,5 | 5-15 (fonction du niveau d'injection) | 38-113 | 10-20 | s.o.2 | |
Bloc périphérique* Bloc du plexus brachial | 7,5 | 30-40 | 225-3003 | 10-25 | 6-10 | |
Infiltration pariétale (par ex. petit nerf périphérique et infiltration) | 7,5 | 1-30 | 7,5-225 | 1-15 | 2-6 | |
TRAITEMENT DE LA DOULEUR AIGUË | ||||||
Administration péridurale lombaire Dose initiale en bolus Ré-injection (par ex. accouchement par voie basse) Perfusion continue Accouchement Douleur post-opératoire | 2,0 2,0 2,0 2,0 | 10-20 10-15 (intervalle minimum 30 minutes) 6-10 ml/h 6-14 ml/h | 20-40 20-30 12-20 mg/h 12-28 mg/h | 10-15 s.o.2 s.o.2 | 0,5-1,5 s.o.2 s.o.2 | |
Administration péridurale thoracique Perfusion continue (douleur post-opératoire) | 2,0 | 6-14 ml/h | 12-28 mg/h | s.o.2 | s.o.2 | |
Infiltration pariétale (par ex. petit nerf périphérique et infiltration) | 2,0 | 1-100 | 2,0-200 | 1-5 | 2-6 | |
Les doses indiquées dans ce tableau sont les doses nécessaires à l'obtention d'un bloc satisfaisant. Elles constituent un guide d'utilisation chez l'adulte. Des variations individuelles peuvent survenir sur le délai d'installation et la durée. Les chiffres de la colonne "Dose" correspondent aux doses moyennes nécessaires. Il convient de consulter les références standards disponibles, aussi bien pour les facteurs influençant les techniques spécifiques de bloc que ceux influençant les besoins individuels propres à chaque patient. | ||||||
* Bloc périphérique: la recommandation de dose qui figure ne concerne que le bloc plexique brachial. Les autres blocs périphériques, peuvent nécessiter des doses plus faibles. Il n'y a actuellement aucune expérience permettant de donner une recommandation spécifique de dose pour les autres blocs. | ||||||
1) L'augmentation des doses se fera graduellement ; la dose de départ sera d'environ 100 mg (97,5 mg correspondent à 13 ml de solution ; 105 mg à 14 ml) et administrée pendant 3 à 5 minutes. Si nécessaire, on pourra administrer en supplément jusqu'à 50 mg au total répartis en deux doses. 2) s.o. : sans objet. 3) la dose pour un bloc périphérique doit être ajustée en fonction du site d'administration et de l'état du patient. Les blocs du plexus brachial intrascalénique et supraclaviculaire peuvent être associés à une fréquence plus élevée d'effets indésirables sérieux indépendamment de l'anesthésique local utilisé . | ||||||
Adulte et enfant de plus de 12 ans
Anesthésie chirurgicale :
Bloc péridural en vue d'une intervention chirurgicale, y compris lors des césariennes.
Infiltration pariétale (nerfs périphériques et infiltrations).
Bloc périphérique (blocs plexiques et tronculaires).
Traitement de la douleur aiguë :
Perfusion péridurale continue ou administration intermittente en bolus (douleur post-opératoire ou de l'accouchement par voie basse).
Infiltration pariétale (nerfs périphériques et infiltration).
Bloc périphérique nerveux continu soit par perfusion continue soit par administration intermittente en bolus (douleur post opératoire).
Enfant de 0 à 12 ans :
Traitement de la douleur aiguë per et post-opératoire chez le nouveau-né, le nourrisson et l'enfant jusqu'à 12 ans compris :
Bloc péridural caudal.
Perfusion péridurale continue.
Le chlorhydrate de ropivacaïne existe sous trois concentrations : 2 mg/ml, 7,5 mg/ml et 10 mg/ml.
La ropivacaïne à la concentration de 2 mg/ml est adaptée au traitement de la douleur aiguë .
La ropivacaïne est un anesthésique local de type amide de longue durée d'action avec des effets anesthésiques et analgésiques. A des doses élevées elle induit une anesthésie chirurgicale, alors qu'à des doses plus faibles, elle donne lieu à un bloc sensitif, associé à un bloc moteur limité et stable.
Le mécanisme d'action consiste en une diminution réversible de la perméabilité membranaire des fibres nerveuses aux ions sodium. Ainsi, la vitesse de dépolarisation diminue et le seuil d'excitabilité augmente, induisant un blocage local de l'influx nerveux.
La propriété la plus caractéristique de la ropivacaïne est sa longue durée d'action. Le délai d'installation et la durée d'efficacité de l'anesthésie sont dépendants du site d'administration et de la dose mais ne sont pas influencés par la présence d'un vasoconstricteur (par exemple, l'adrénaline) .
Les perfusions intraveineuses de ropivacaïne chez les volontaires sains ont été bien tolérées à des doses faibles avec les symptômes neurologiques attendus à la dose maximale tolérée. L'expérience clinique dont on dispose sur ce médicament met en évidence une bonne marge de sécurité lorsqu'il est utilisé aux doses recommandées.
La ropivacaïne présente un centre chiral et est développé sous forme d'énantiomère S- (-). Il est liposoluble. Tous ses métabolites ont un effet anesthésique local mais présentent une puissance d'action considérablement plus faible et une durée d'action plus courte que la ropivacaïne.
Les concentrations plasmatiques de ropivacaïne dépendent de la dose, de la voie d'administration et de la vascularisation du site d'injection. La ropivacaïne présente une pharmacocinétique linéaire et la Cmax plasmatique est proportionnelle à la dose.
La ropivacaïne présente une absorption complète et biphasique à partir de l'espace péridural avec une demi-vie des deux phases de l'ordre de 14 minutes et de 4 heures chez l'adulte. L'absorption lente est le facteur limitant la vitesse d'élimination de la ropivacaïne, d'où la demi-vie d'élimination apparente plus prolongée après administration péridurale qu'après administration intraveineuse.
La clairance plasmatique totale moyenne de la ropivacaïne est de l'ordre de 440 ml/min, la clairance rénale est de 1 ml/min, le volume de distribution à l'état d'équilibre est de 47 litres et la demi-vie terminale de 1,8 heures après une administration intraveineuse. Le taux d'extraction hépatique intermédiaire de la ropivacaïne est de l'ordre de 0,4. Le produit est principalement lié à l'alpha1-glycoprotéine acide dans le plasma. Le pourcentage de la fraction non liée est de l'ordre de 6 %.
Pendant des perfusions péridurales continues et perfusions interscaléniques continues, une élévation des concentrations plasmatiques totales, liée à une élévation post-opératoire de l'alpha1-glycoprotéine acide a été observée.
Les variations de concentration de la fraction non liée, c'est-à-dire pharmacologiquement active, ont été bien inférieures à celles des concentrations plasmatiques totales.
Comme la ropivacaïne a un taux d'extraction hépatique intermédiaire à faible, son taux d'élimination devrait dépendre de la concentration plasmatique de la fraction non liée. L'élévation postopératoire de l'alpha 1-glycoprotéine acide diminue la fraction non liée en raison d'une liaison aux protéines augmentée, ce qui diminue la clairance totale et entraîne une augmentation des concentrations plasmatiques totales, comme cela a été observé dans les études chez l'enfant et chez l'adulte. La clairance de la fraction non liée de la ropivacaïne reste inchangée, comme illustré par les concentrations stables de la fraction non liée au cours de la perfusion postopératoire. La concentration plasmatique de la fraction non liée est responsable des effets pharmacodynamiques systémiques et de la toxicité.
La ropivacaïne traverse facilement le placenta et l'équilibre des concentrations de la fraction non liée sera rapidement atteint. La liaison aux protéines plasmatiques est plus faible chez le ftus que chez la mère donnant des concentrations plasmatiques totales plus faibles chez le ftus que chez la mère.
La ropivacaïne subit une métabolisation importante, principalement par hydroxylation aromatique. Au total, 86 % de la dose sont excrétés dans les urines après administration intraveineuse dont seulement 1 % sous forme inchangée. Le métabolite principal est la 3-hydroxy-ropivacaïne dont 37 % sont excrétés dans les urines, principalement sous forme conjuguée.
L'excrétion urinaire de la 4-hydroxy-ropivacaïne, du métabolite N-déalkylé et du métabolite 4-hydroxy-déalkylé représente 1 à 3 % de la quantité excrétée. La 3-hydroxy-ropivacaïne conjuguée et non-conjuguée présente uniquement des concentrations décelables dans le plasma. La 3-hydroxy et la 4-hydroxy-ropivacaïne présentent une activité anesthésique locale, inférieure à celle de la ropivacaïne.
Une altération de la fonction rénale a peu ou pas d'influence sur la pharmacocinétique de la ropivacaïne. La clairance rénale du métabolite N-déalkylé (PPX) est corrélée de façon significative à la clairance de la créatinine. Une absence de corrélation entre l'exposition totale, exprimée en ASC, et la clairance de la créatinine indique que la clairance totale du PPX comprend une élimination non rénale, en plus de l'excrétion rénale. Certains patients atteints d'insuffisance rénale peuvent présenter une exposition accrue au PPX résultant d'une faible clairance non-rénale. En raison de la réduction de la toxicité dans le SNC du PPX par rapport à la ropivacaïne, les conséquences cliniques sont considérées comme négligeables lors d'un traitement à court terme.
Il n'existe aucun élément faisant penser à une racémisation in vivo de la ropivacaïne.
Généraux
Le profil des effets indésirables de la ropivacaïne est analogue à celui des autres anesthésiques locaux à liaison amide, de longue durée d'action. Les effets indésirables devront être différenciés des effets physiologiques du bloc lui-même; par exemple une baisse de la pression artérielle et une bradycardie au cours de l'anesthésie péridural.
Le pourcentage de patients susceptibles de présenter des effets indésirables varie en fonction de la voie d'administration. Les effets indésirables systémiques ou locaux de la ropivacaïne surviennent généralement en cas de surdosage, d'absorption rapide ou d'une injection intra-vasculaire accidentelle. Les effets indésirables les plus souvent rapportés: nausées et hypotension sont très fréquents lors de l'anesthésie et de la chirurgie en général et il n'est pas possible de distinguer ceux attribuables à l'état clinique, aux effets attendus du bloc ou à des réactions dues au médicament.
Très fréquents (>1/10)
Fréquents (>1/100)
Peu fréquents (>1/1000)
Rares (>1/10000)
Fréquence indéterminée (ne peut être estimé sur la base des données disponibles)
Au sein de chaque classe de système d'organe, les effets indésirables sont classés par ordre de fréquence décroissante.
Classe de système d'organe | |
Affections du système immunitaire | Rare Réactions anaphylactiques |
Affections psychiatriques | Peu fréquent Anxiété |
Affections du système nerveux | Fréquent Paresthésies, vertiges, céphalées Peu fréquent Convulsionsa, convulsions Grand Mala, crisesa, sensation ébrieusea, paresthésie circumoralea, engourdissement de la languea, dysarthriea, tremblementsa, hypoesthésiea |
Affections oculaires | Peu fréquent Troubles visuelsa |
Affections de l'oreille et du labyrinthe | Peu fréquent Hyperacousiea, acouphènesa |
Affections cardiaques | Fréquent Bradycardie, tachycardie Rare Arrêt cardiaque, arythmie |
Affections vasculaires | Très fréquent Hypotension Fréquent Hypotension (chez l'enfant), hypertension Peu fréquent Syncope |
Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales | Peu fréquent Dyspnée |
Affections gastro-intestinales | Très fréquent Nausées, vomissements (chez l'enfant) Fréquent Vomissements |
Affections de la peau et du tissu sous-cutané | Rare dème angioneurotique, urticaire |
Affections musculo-squelettiques, systémiques et osseuses | Fréquent Douleur dorsale, rigidité |
Affections du rein et des voies urinaires | Fréquent Rétention d'urine |
Troubles généraux et anomalies au site d'administration | Fréquent Elévation de la température Peu fréquent Hypothermie |
Les effets indésirables les plus fréquents chez l'enfant sont les vomissements, les nausées, le prurit et l'obstruction urinaire.
Effets secondaires liés au type d'anesthésie
Complications neurologiques
Une neuropathie et des anomalies médullaires (par exemple syndrome de l'artère spinale antérieure, arachnoïdite, syndrome de la queue de cheval) qui peuvent aboutir dans de rares cas à des séquelles permanentes, ont été associées à l'anesthésie locorégionale, indépendamment de l'anesthésique local utilisé.
Bloc rachidien total
Une rachianesthésie totale peut survenir si une dose péridurale est accidentellement administrée en intrathécal.
Hypersensibilité à la ropivacaïne ou aux autres anesthésiques locaux à liaison amide.
Contre-indications générales propres à l'anesthésie péridurale, indépendamment de l'anesthésique local utilisé.
Anesthésie locorégionale intraveineuse.
Anesthésie paracervicale obstétricale.
Hypovolémie.
Grossesse
En dehors de son administration péridurale en obstétrique, il n'y a pas de données précises sur l'utilisation de la ropivacaïne chez la femme enceinte. Les études expérimentales chez l'animal n'ont pas décelé d'effets nocifs directs ou indirects sur la grossesse, le développement embryonnaire et foetal, l'accouchement et le développement post-natal .
Allaitement
Il n'y a pas de données disponibles sur l'excrétion de la ropivacaïne dans le lait maternel.
Symptômes
L'injection intravasculaire accidentelle d'anesthésiques locaux peut donner lieu à des effets toxiques immédiats (quelques secondes à quelques minutes). En cas de surdosage, il se peut que le pic de concentration plasmatique ne soit pas atteint en une à deux heures en fonction du site d'injection et de ce fait, les signes de toxicité peuvent être retardés .
Traitement
Il est nécessaire d'avoir à disposition immédiate des médicaments et du matériel de réanimation.
S'il apparaît des signes de toxicité systémique aiguë, l'injection de l'anesthésique local devra être arrêtée immédiatement.
Un traitement sera nécessaire en cas de convulsions. Le traitement a pour objectif de maintenir l'oxygénation, d'arrêter les convulsions et de maintenir l'hémodynamique.
De l'oxygène doit être administré et une ventilation assistée mise en route si nécessaire. Un anticonvulsivant devra être administré par voie intraveineuse, si les convulsions ne s'arrêtent pas spontanément en 15 à 20 secondes. L'injection intraveineuse de 1-3 mg/kg de thiopental interrompra rapidement les convulsions. On peut également utiliser 0,1 mg/kg de diazépam par voie intraveineuse, bien que l'action de ce produit soit plus lente. Le suxaméthonium arrêtera rapidement les convulsions musculaires, mais le patient nécessitera une ventilation assistée et une intubation trachéale.
S'il apparaît une dépression cardiovasculaire (hypotension artérielle, bradycardie), 5 à 10 mg d'éphédrine seront injectés par voie intraveineuse et répétés si nécessaire au bout de 2 à 3 minutes. Les doses administrées aux enfants seront proportionnelles à leur âge et leur poids.
S'il se produit un arrêt circulatoire, une réanimation cardiopulmonaire immédiate doit être instituée. Une oxygénation et une ventilation optimales, le maintien de l'hémodynamique et le traitement de l'acidose sont d'une importance vitale.
En cas d'arrêt cardiaque une réanimation prolongée peut être nécessaire pour augmenter les chances de succès.
La ropivacaïne doit être utilisée avec prudence chez les patients recevant d'autres anesthésiques locaux ou des médicaments apparentés sur le plan de la structure aux anesthésiques locaux à liaison amide, comme par exemple certains anti-arythmiques, tels que la lidocaïne et la mexilétine car les effets systémiques toxiques sont additifs.
L'administration concomitante de ropivacaïne et d'anesthésiques généraux ou de morphiniques peut potentialiser chacun des effets (indésirables) de ces produits.
Des études d'interaction spécifique entre la ropivacaïne et les médicaments anti-arythmiques de classe III (par exemple amiodarone) n'ont pas été réalisées, mais une attention est conseillée .
Le cytochrome P450 (CYP1A2) intervient dans la formation de la 3-hydroxyropivacaïne, le métabolite principal.
In vivo, la clairance plasmatique de la ropivacaïne a été diminuée jusqu'à 77 % lors de l'administration concomitante de fluvoxamine, un puissant inhibiteur sélectif du cytochrome CYP1A2. De ce fait, les inhibiteurs puissants du cytochrome CYP1A2 comme la fluvoxamine et l'énoxacine lorsqu'ils sont donnés concomitamment au cours d'une administration prolongée de ropivacaïne, peuvent interagir avec la ropivacaïne.
Une administration prolongée de ropivacaïne devrait être évitée chez les patients traités parallèlement avec des inhibiteurs puissants du CYP1A2 .
In vivo, la clairance plasmatique de ropivacaïne a été diminuée de 15% lors de l'administration concomitante de kétoconazole, un inhibiteur sélectif et puissant du cytochrome CYP3A4. Toutefois, une conséquence clinique de l'inhibition de cette isoenzyme est peu probable.
In vitro, la ropivacaïne est un inhibiteur compétitif de cytochrome CYP2D6, mais, aux concentrations thérapeutiques plasmatiques atteintes, elle ne semble pas inhiber cette isoenzyme.
Analogues en Russie
р-р д/инъекц.:
5 мг/мл, 7.5 мг/мл, 10 мг/мл, 2 мг/мл
р-р д/инъекц.:
7.5 мг/мл, 10 мг/мл, 2 мг/мл, 5 мг/мл
Analogues en France
solution injectable:
10 mg, 2 mg, 2,00 mg, 5 mg, 7,50 mg
solution injectable:
1,77 mg, 10 mg, 2 mg, 5 mg, 6,62 mg, 7,5 mg, 7,50 mg, 8,83 mg
solution pour perfusion:
1,77 mg, 2 mg, 200 mg