Betac - , collyre abaisse la pression intraoculaire (PIO), associée ou non à un glaucome.
Le médicament Betac
appartient au groupe appelés
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Cette spécialité pharmaceutique a un code ATC - C07AB05
Medochemie ltd (CHYPRE) - Betac comprimé pelliculé 20 мг , П N014124/01 - 10.09.2008
Betac
comprimé pelliculé 20 мг
Medochemie ltd (CHYPRE)
Glaucome chronique à angle ouvert,
Hypertonie intra-oculaire.
Betac, collyre abaisse la pression intraoculaire (PIO), associée ou non à un glaucome.
Une chute de la pression est obtenue 30 minutes après l'instillation unique d'une goutte de Betac, collyre, l'effet maximum intervient au bout de 2 heures et la baisse est toujours significative 12 heures après.
La stabilité de l'effet hypotenseur a été observée sur une période de 3 ans, ce qui tendrait à démontrer sinon l'absence de tachyphylaxie au bétaxolol, du moins la faible fréquence des cas "d'échappement thérapeutique".
Betac, collyre n'entraîne pratiquement pas de modification du diamètre pupillaire et de l'accommodation. Aucun cas de vision floue ni d'héméralopie, habituelles aux myotiques, n'a été observé et les sujets atteints d'opacités nucléaires du cristallin ne souffrent pas de gêne visuelle causée par un myosis
Les caractéristiques pharmacologiques du bétaxolol, principe actif de Betac, collyre, sont :
β1-sélectivité ou « cardiosélectivité » : d'où une importante marge de sécurité chez les sujets présentant une hyper-réactivité bronchique,
l'absence d'activité sympathomimétique intrinsèque (A.S.I.),
un effet anesthésique local (stabilisant de membrane) négligeable.
La concentration maximale au niveau de l'humeur aqueuse, de la cornée et du cristallin est atteinte au bout de 30 minutes et au bout de 45 minutes au niveau de l'iris et du corps ciliaire (étude chez le lapin albinos).
L'étude chez l'homme des effets systémiques, consécutifs au passage dans la circulation générale du bétaxolol après instillation oculaire, a montré que les paramètres cardio-vasculaires et pulmonaires n'avaient pas été affectés de manière significative.
Afin de caractériser la fréquence des effets indésirables, la terminologie suivante sera utilisée.
Très fréquent (≥1/10)
Fréquent (≥ 1/100 à < 1/10)
Peu fréquent (≥ 1/1 000 à < 1/100)
Rare (≥ 1/10 000 à < 1/1 000)
Très rare (≥ 1/10 000)
Clinique :
Affections de la peau et du tissu sous-cutané
Fréquentes : réactions allergiques cutanées (rougeurs, démangeaisons, éruptions) et perte de cheveux
Rares : les bêta-bloquants peuvent déclencher un psoriasis ou aggraver les symptômes d'un psoriasis existant ou provoquer des éruptions psoriasiformes
Affections du système nerveux
Fréquentes : en particulier lors de la phase précoce du traitement, fatigue, étourdissements, céphalées et sudations
Peu fréquentes : symptômes de type myasthénie grave avec faiblesse musculaire
Très rares : exacerbation d'une myasthénie grave existante, paresthésie distale
Affections oculaires
Peu fréquentes : flux lacrymal réduit (à prendre en considération si le patient utilise des lentilles de contact)
Très rares : troubles visuels
Affections psychiatriques
Fréquentes : asthénie, insomnie
Rares : dépression
Très rares : hallucinations, confusion, cauchemars
Affections gastro-intestinales
Fréquentes : douleurs gastriques, diarrhées, nausées et vomissements
Troubles du métabolisme et de la nutrition
Très rares : hypoglycémie, hyperglycémie. Un diabète latent peut devenir manifeste ou un diabète existant peut s'aggraver.
Inconnus : Chez les patients présentant un hyperthyroïdisme, les signes cliniques de thyréotoxicose (tachycardie et tremblements) peuvent être masqués. Après une période de jeûne prolongée ou d'efforts physiques intenses, une hypoglycémie peut survenir. Les signes d'avertissement de l'hypoglycémie (en particulier la tachycardie et les tremblements) peuvent être masqués.
Affections cardiaques
Fréquentes : bradycardie, bradycardie sévère possible
Rares : insuffisance cardiaque, chute de la tension artérielle, ralentissement de la conduction ou augmentation d'un bloc auriculo-ventriculaire existant
Affections vasculaires
Fréquentes : froideur des extrémités
Rares : syndrome Raynaud, augmentation d'une claudication intermittente existante
Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
Rares : bronchospasme
Affections des organes de reproduction et du sein
Fréquentes : impuissance
Investigations :
L'apparition d'anticorps antinucléaires n'a été que rarement observée : ces anticorps n'ont été associés à des signes cliniques de type lupus érythémateux disséminé que dans des cas exceptionnels et ont disparu à l'arrêt du traitement.
Pendant le traitement par le bétaxolol, des troubles du métabolisme lipidique peuvent survenir (diminution du HDL-cholestérol, augmentation des triglycérides).
Il convient de garder à l'esprit les contre-indications des bêta-bloquants administrés par voie générale, bien que les effets systémiques des bêta-bloquants après instillation oculaire ne soient observés que de façon exceptionnelle.
Insuffisance cardiaque non contrôlée par le traitement.
Choc cardiogénique.
Blocs auriculo-ventriculaires des second et troisième degrés non appareillés.
Maladie du sinus (y compris bloc sino-auriculaire).
Bradycardie (< 45-50 contractions par minute).
Maladie réactive des voies aériennes, y compris l'asthme bronchique grave ou des antécédents d'asthme bronchique grave, la broncho-pneumopathie chronique obstructive sévère.
Bradycardie sinusale, syndrome de sinus malade, bloc sino-auriculaire, bloc auriculo-ventriculaire du deuxième ou troisième degré non contrôlé par stimulateur cardiaque. Insuffisance cardiaque manifeste, choc cardiogénique.
Grossesse
Effets tératogènes : Les études animales n'ont pas révélé d'effet tératogène. A ce jour, aucun effet tératogène n'a été rapporté chez les êtres humains.
Les bêta-bloquants réduisent la perfusion placentaire, ce qui peut se traduire par une mort intra-utérine, des fausses couches et des naissances prématurées. De plus, des effets indésirables peuvent survenir chez le ftus (hypoglycémie et bradycardie, en particulier).
Nouveau-nés : Chez les mères traitées par des bêta-bloquants, l'action de ces derniers persiste chez les nouveau-nés pendant plusieurs jours après la naissance. Il existe un risque accru de complications cardiaques et pulmonaires au cours de la période post-natale. Si une insuffisance cardiaque survient, l'hospitalisation du nouveau-né dans un service de soins intensifs est nécessaire , les substituts de plasma sanguin doivent être évités (risque d'dème pulmonaire aigu). Bradycardie, détresse respiratoire et hypoglycémie ont également été rapportées.
Il est recommandé de surveiller étroitement les nouveau-nés (fréquence cardiaque, glycémie) dans une unité de soins intensifs néonataux pendant une période de trois à cinq jours après la naissance.
L'utilisation de bétaxolol pendant la grossesse n'est pas recommandée à moins que les avantages potentiels du traitement n'en dépassent les risques.
Allaitement
Le bétaxolol est excrété dans le lait maternel. Le risque de bradycardie et d'hypoglycémie chez les nourrissons allaités au sein n'a pas été évalué, par conséquent l'allaitement n'est pas recommandé pendant le traitement.
Un surdosage après administration oculaire de bétaxolol est pratiquement impossible compte-tenu de la capacité limitée du sac conjonctival. La DL50 orale du bétaxolol chez la souris est comprise entre 350 et 920 mg/kg et chez le rat entre 860 et 1 050 mg/kg. Les symptômes qui pourraient apparaître suite à un surdosage avec un bêta-bloquant β1 sélectif administré par voie générale sont une bradycardie, une hypotension et une insuffisance cardiaque aiguë.
En cas de surdosage après administration locale de bétaxolol, pratiquer un lavage de l'il au sérum physiologique stérile.
En cas d'ingestion accidentelle, les symptômes d'un surdosage de bêta‑bloquants systémiques peuvent inclure une bradycardie, une hypotension, un bronchospasme et une insuffisance cardiaque aiguë. Dans ce cas, prendre les mesures thérapeutiques appropriées.
Aucune étude d'interaction spécifique n'a été réalisée avec le bétaxolol.
1) Oculaires
Une surveillance ophtalmologique est nécessaire en cas de traitement concomitant par un collyre contenant de l'adrénaline (risque de mydriase).
2) Générales
Bien que les quantités de bêta-bloquants passant dans la circulation systémique soient faibles après instillation oculaire, le risque d'interactions médicamenteuses existe.
Une potentialisation des effets des bêta-bloquants sur la pression intra-oculaire et/ou sur le plan systémique peut être observée chez les patients recevant Betac et un bêta-bloquant par voie orale.
Il existe un risque d'effets additifs donnant lieu à une hypotension et/ou à une bradycardie marquée lorsque Betac est administré de façon concomitante avec des inhibiteurs calciques oraux, des bêta-bloquants, des anti-arythmiques (y compris l'amiodarone), des glucosides digitaliques, des parasympathomimétiques, la guanéthidine.
Une mydriase résultant d'une administration concomitante de Betac et d'adrénaline (épinéphrine) a été parfois signalée.
Analogues en Russie
таб., покр. плен. обол.:
20 мг
таб., покр. плен. обол.:
20 мг
капли глазные:
0.5%
капли глазные:
0.5%
капли глазные:
0.25%, 0.5%
капли глазные:
0.5%
капли глазные:
0.5%
Analogues en France
comprimé pelliculé:
20 mg
comprimé:
20 mg
collyre:
0,50 g
suspension ophtalmique:
0,25 g, 0,63 mg
comprimé pelliculé:
20 mg
comprimé pelliculé:
20 mg
comprimé pelliculé:
20 mg