IPRATROPIUM - Le bromure d'ipratropium inhalé exerce un effet bronchodilatateur local au niveau des bronches.
Le médicament IPRATROPIUM appartient au groupe appelés Synthétiques antagonistes des récepteurs muscariniques
Cette spécialité pharmaceutique a un code ATC - R03BB01
Laboratoir AGUETTANT (FRANCE) - Ipratropium solution pour inhalation par nébuliseur 0,5 mg , 2002-12-20
Laboratoir AGUETTANT (FRANCE) - Ipratropium solution pour inhalation par nébuliseur 0,25 mg , 2003-06-11
TEVA SANTE (FRANCE) - Ipratropium solution pour inhalation par nébuliseur 0,5 mg , 2010-05-31
Ipratropium AGUETTANT ADULTES 0,5 mg/2 ml
solution pour inhalation par nébuliseur 0,500 mg
Laboratoir AGUETTANT (FRANCE)
Ipratropium AGUETTANT ENFANT 0,25 mg/1 ml
solution pour inhalation par nébuliseur 0,500 mg
Laboratoir AGUETTANT (FRANCE)
Ipratropium ALMUS 0,5 mg/2 ml ADULTES
solution pour inhalation par nébuliseur 0,500 mg
TEVA SANTE (FRANCE)
Ipratropium ARCHIE SAMUEL 0,25 mg/ml ENFANTS
solution pour inhalation par nébuliseur 0,500 mg
ARCHIE SAMUEL (RÉPUBLIQUE TCHÈQUE)
Ipratropium ARCHIE SAMUEL 0,5 mg/2 ml ADULTES
solution pour inhalation par nébuliseur 0,500 mg
ARCHIE SAMUEL (RÉPUBLIQUE TCHÈQUE)
Ipratropium ARROW 0,25 mg/ml ENFANTS
solution pour inhalation par nébuliseur 0,500 mg
ARROW GENERIQUES (FRANCE)
Ipratropium ARROW ADULTES 0,5 mg/2 ml
solution pour inhalation par nébuliseur 0,500 mg
ARROW GENERIQUES (FRANCE)
Ipratropium BOEHRINGER INGELHEIM FRANCE ADULTES 0,50 mg/2 ml
solution pour inhalation par nébuliseur 0,500 mg
BOEHRINGER INGELHEIM FRANCE (FRANCE)
Ipratropium BOEHRINGER INGELHEIM FRANCE ADULTES 0,50 mg/ml
solution pour inhalation par nébuliseur 0,500 mg
BOEHRINGER INGELHEIM FRANCE (FRANCE)
Ipratropium BOEHRINGER INGELHEIM FRANCE ENFANTS 0,25 mg/1 ml
solution pour inhalation par nébuliseur 0,500 mg
BOEHRINGER INGELHEIM FRANCE (FRANCE)
Ipratropium BOEHRINGER INGELHEIM FRANCE ENFANTS 0,25 mg/2 ml
solution pour inhalation par nébuliseur 0,500 mg
BOEHRINGER INGELHEIM FRANCE (FRANCE)
Ipratropium CRISTERS 0,50 mg/2 ml ADULTES
solution pour inhalation par nébuliseur 0,500 mg
CRISTERS (FRANCE)
Ipratropium EG 0,50 mg/2 ml ADULTES
solution pour inhalation par nébuliseur 0,500 mg
EG LABO - LABORATOIRES EUROGENERICS (FRANCE)
Ipratropium MYLAN 0,25 mg/ml ENFANTS
solution pour inhalation par nébuliseur 0,500 mg
MYLAN SAS (FRANCE)
Ipratropium MYLAN 0,5 mg/2 ml ADULTES
solution pour inhalation par nébuliseur 0,500 mg
MYLAN SAS (FRANCE)
Ipratropium SANDOZ 0,25 mg/1 ml ENFANTS
solution pour inhalation par nébuliseur 0,500 mg
SANDOZ (FRANCE)
Ipratropium SANDOZ 0,50 mg/2 ml ADULTES
solution pour inhalation par nébuliseur 0,500 mg
SANDOZ (FRANCE)
Ipratropium TEVA 0,25 mg/1 ml ENFANTS
solution pour inhalation par nébuliseur 0,500 mg
TEVA SANTE (FRANCE)
Ipratropium TEVA 0,5 mg/2 ml ADULTES
solution pour inhalation par nébuliseur 0,500 mg
TEVA SANTE (FRANCE)
Ipratropium ZENTIVA 0,25 mg/1 ml ENFANTS
solution pour inhalation par nébuliseur 0,500 mg
ZENTIVA FRANCE (FRANCE)
Ipratropium ZENTIVA 0,50 mg/2 ml ADULTES
solution pour inhalation par nébuliseur 0,500 mg
ZENTIVA FRANCE (FRANCE)
Traitement symptomatique des asthmes aigus graves et des poussées aiguës des bronchopneumopathies chroniques obstructives de l'adulte en association avec un bêta 2 mimétique d'action rapide.
Remarque : l'asthme aigu grave nécessite une hospitalisation en milieu spécialisé. Une oxygénothérapie et une corticothérapie par voie systémique doivent être associées au traitement bronchodilatateur.
Le bromure d'ipratropium inhalé exerce un effet bronchodilatateur local au niveau des bronches.
Les études précliniques et cliniques n'ont pas mis en évidence d'effet du bromure d'ipratropium sur la sécrétion de mucus, la clairance mucociliaire ou les échanges gazeux.
L'ipratropium est un bronchodilalatateur anticholinergique par voie inhalée.
Administré par voie inhalée, le bromure d'ipratropium exerce une action compétitive préférentielle au niveau des récepteurs cholinergiques du muscle lisse bronchique entraînant par effet parasympatholytique une relaxation de celui-ci et une bronchodilatation. Son effet bronchodilatateur est moins puissant que celui exercé par les bêta2 mimétiques par voie inhalée
L'action bronchospasmolytique apparaît rapidement (3 minutes) et persiste pendant 4 à 6 heures.
L'ipratropium est un bronchodilatateur anticholinergique par voie inhalée.
Administré par voie inhalée, le bromure d'ipratropium exerce une action compétitive préférentielle au niveau des récepteurs cholinergiques du muscle lisse bronchique entraînant par effet parasympatholytique une relaxation de celui-ci et une bronchodilatation. Son effet bronchodilatateur est moins puissant que celui exercé par les bêta2 mimétiques par voie inhalée.
L'action bronchospasmolytique apparaît rapidement (3 minutes) et persiste pendant 4 à 6 heures.
Absorption
La quantité absorbée après administration par voie inhalée est minime et les taux sériques faibles correspondraient à l'absorption intestinale partielle de la fraction déglutie très faiblement absorbée par voie digestive. Après administration orale, cette absorption peut être évaluée entre 15 et 30 % de la quantité administrée. La demi-vie d'élimination est de l'ordre de 3,5 heures. L'excrétion se fait essentiellement par voie urinaire.
Après administration par voie inhalée, le passage de la barrière hémato-encéphalique est très faible.
L'excrétion rénale cumulée (0 à 24 heures) du composé parent est d'environ 46 % d'une dose administrée par voie intraveineuse, de moins de 1 % d'une dose orale et environ 3 à 13 % d'une dose inhalée. Sur la base de ces données, la biodisponibilité systémique totale de doses orales et inhalées de bromure d'ipratropium est estimée à respectivement 2 % et 7 à 28 %. De ce fait, les portions de dose de bromure d'ipratropium avalées ne contribuent pas de manière importante à l'exposition systémique.
Distribution
Les paramètres cinétiques décrivant le sort de l'ipratropium ont été calculés à partir des concentrations plasmatiques après administration intraveineuse. Une baisse biphasique rapide des concentrations plasmatiques est observée. Le volume de distribution apparent à l'équilibre (Vdss) est d'environ 176 L (environ 2,4 L/kg). Le médicament se lie de manière minimale (moins de 20 %) aux protéines plasmatiques. Les données précliniques indiquent que l'amine quaternaire ipratropium ne traverse pas le placenta ni la barrière hématoencéphalique.
Biotransformation
Après administration intraveineuse, environ 60 % de la dose sont métabolisés, probablement la majeure partie dans le foie par oxydation. Les métabolites connus, qui sont formés par hydrolyse, déshydratation ou élimination du groupe hydroxy-méthyle dans le fragment acide tropique, montrent très peu ou pas d'affinité pour les récepteurs muscariniques et doivent être considérés comme inefficaces.
Elimination
La demi-vie de la phase d'élimination terminale est d'environ 1,6 heure. L'ipratropium possède une clairance totale de 2,3 L/min et une clairance rénale de 0,9 L/min. Dans une étude du bilan d'excrétion, l'excrétion rénale cumulée (6 jours) de la radioactivité liée au médicament (incluant le composé parent et tous ses métabolites) a représenté 72,1 % après administration intraveineuse, 9,3 % après administration orale et 3,2 % après inhalation. La radioactivité totale excrétée via les selles était de 6,3 % après administration intraveineuse, de 88,5 % après administration orale et de 69,4 % après inhalation. En ce qui concerne l'excrétion de la radioactivité liée au médicament après administration intraveineuse, l'excrétion principale se produit via les reins. La demi-vie d'élimination de la radioactivité liée au médicament (composé parent et métabolites) est de 3,6 heures.
Absorption
Le principe actif est très rapidement absorbé, avec un pic de concentration plasmatique atteint 10 à 20 minutes après l'inhalation. La biodisponibilité estimée est de l'ordre de 7 % de la dose inhalée.
Distribution
Le volume de distribution (Vz) est de 338 l (soit ± 4,6 l/kg). Le taux de fixation du bromure d'ipratropium dans le plasma est faible (moins de 20 %). Compte tenu de sa structure d'ammonium quaternaire, l'ipratropium sous forme ionisée ne traverse pas la barrière hémato-encéphalique.
Biotransformation
Les métabolites les plus significatifs se lient au récepteur muscarinique avec une faible affinité.
Élimination
Les paramètres pharmacocinétiques du principe actif ont été établis après administration par voie intraveineuse. Le produit est éliminé rapidement de façon biphasique. La demi-vie d'élimination terminale est de l'ordre de 3,6 heures. La demi-vie d'élimination de l'ipratropium et de ses métabolites radiomarqués est de l'ordre de 1,6 heure. Les métabolites majeurs sont éliminés dans l'urine. La clairance totale de l'ingrédient actif est de 2,3 l/minute. Environ 40 % de la clairance est rénale (0,9 l/min) et 60 % est non rénale, c'est-à-dire essentiellement hépatométabolique. 46 % de la dose est excrétée par voie rénale après administration intraveineuse et 3 % de la dose est excrétée par voie rénale après inhalation buccale.
La plupart des effets indésirables listés peuvent être attribués aux propriétés anticholinergiques d'IPRATROPIUM MYLAN.
Comme tous les traitements par inhalation, IPRATROPIUM MYLAN peut engendrer des symptômes d'irritation locale. Les effets indésirables ont été identifiés à partir des données d'essais cliniques et de pharmacovigilance obtenues durant l'utilisation du médicament après sa mise sur le marché.
Les effets indésirables les plus fréquemment signalés lors des essais cliniques étaient les céphalées, les irritations de la gorge, la toux, la sécheresse de la bouche, les troubles de la motilité gastro-intestinale (constipation, diarrhée et vomissement), les nausées et les vertiges.
Les effets indésirables ont été classés en fonction de leur fréquence en utilisant la classification suivante :
Très fréquent (³ 1/10) ; fréquent (³ 1/100, < 1/10) ; peu fréquent (³ 1/1000, < 1/100) ; rare (³ 1/10000, < 1/1000) ; très rare (< 1/10000) ; fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
Terme usuel MedDRA | Fréquence |
Affections du système immunitaire | |
Hypersensibilité | Peu fréquent |
Réaction anaphylactique | Peu fréquent |
Affections du système nerveux | |
Céphalées | Fréquent |
Sensations vertigineuses | Fréquent |
Affections oculaires | |
Glaucome par fermeture de l'angle | Peu fréquent |
Augmentation de la pression intraoculaire | Peu fréquent |
Mydriase | Peu fréquent |
Douleur oculaire | Peu fréquent |
dème cornéen | Peu fréquent |
Hyperémie conjonctivale | Peu fréquent |
Vision de halo | Peu fréquent |
Vision trouble | Peu fréquent |
Troubles de l'accommodation visuelle | Rare |
Troubles cardiaques | |
Tachycardie supraventriculaire | Peu fréquent |
Palpitations | Peu fréquent |
Fibrillation auriculaire | Rare |
Tachycardie | Rare |
Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales | |
Toux | Fréquent |
Irritation pharyngée | Fréquent |
Bronchospasme paradoxal | Peu fréquent |
Bronchospasme | Peu fréquent |
Laryngospasme | Peu fréquent |
dème pharyngé | Peu fréquent |
Sécheresse de la gorge | Peu fréquent |
Affections gastro-intestinales | |
Sécheresse de la bouche | Fréquent |
Nausées | Fréquent |
Troubles de la motilité gastro-intestinale | Fréquent |
Constipation | Peu fréquent |
Vomissements | Peu fréquent |
Diarrhées | Peu fréquent |
dème buccal | Peu fréquent |
Stomatite | Peu fréquent |
Affections de la peau et du tissu sous-cutané | |
Rashs cutanés | Peu fréquent |
Prurit | Peu fréquent |
dème de Quincke | Peu fréquent |
Urticaire | Rare |
Affections du rein et des voies urinaires | |
Rétention urinaire | Peu fréquent |
hypersensibilité connue au bromure d'ipratropium, à l'atropine ou ses dérivés.
Grossesse
Les études chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène. En l'absence d'effet tératogène chez l'animal, un effet malformatif dans l'espèce humaine n'est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l'espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l'animal au cours d'études bien conduites sur deux espèces.
En clinique, aucun effet malformatif ou ftotoxique particulier n'est apparu à ce jour. Toutefois, le suivi de grossesses exposées au bromure d'ipratropium est insuffisant pour exclure tout risque.
En conséquence, l'utilisation du bromure d'ipratropium ne doit être envisagée au cours de la grossesse que si nécessaire. En cas d'administration en fin de grossesse, tenir compte des répercussions possibles pour le nouveau-né des propriétés atropiniques de cette molécule.
Allaitement
En l'absence de données sur le passage dans le lait de l'ipratropium, et compte tenu de ses propriétés atropiniques son utilisation est déconseillée durant l'allaitement sauf nécessité absolue.
Il n'a pas été observé de symptômes spécifiques après un surdosage.
L'administration par voie locale et la marge thérapeutique large n'expose pas le patient à un risque de survenue d'effets indésirables anticholinergiques graves en cas de surdosage. Des effets indésirables d'intensité modérée liés à l'effet anticholinergique peuvent apparaître tels que sécheresse buccale, troubles de l'accommodation visuelle et tachycardie.
Les symptômes d'un surdosage sévère correspondent à une majoration des effets atropiniques tels que tachycardie, tachypnée, hyperthermie et effets sur le système nerveux central à type d'agitation, confusion et hallucinations. Il conviendra alors d'instaurer un traitement symptomatique adapté. En cas de troubles respiratoires, une assistance respiratoire doit être mise en uvre. L'administration de physiostigmine n'est généralement pas recommandée en raison de ses effets cardiotoxiques et des risques de convulsions ; elle nécessitera une surveillance électrocardiographique par ECG et les moyens d'assurer une ventilation assistée si besoin.
+ Médicaments atropiniques
Il faut prendre en compte le fait que les substances atropiniques peuvent additionner leurs effets indésirables et entraîner plus facilement une rétention urinaire, une poussée aiguë de glaucome, une constipation, une sécheresse de la bouche, etc...
Les divers médicaments atropiniques sont les antidépresseurs imipraminiques, les antihistaminiques H1 atropiniques, les antiparkinsoniens anticholinergiques, les antispasmodiques atropiniques, le disopyramide, les neuroleptiques phénothiaziniques ainsi que la clozapine.
+ Chlorure de benzalkonium
Ce médicament ne doit pas être mélangé à une solution contenant du chlorure de benzalkonium en raison du risque d'incompatibilité physicochimique.
Mises en garde spéciales
L'action bronchodilatatrice de l'ipratropium par voie inhalée est moins puissante que celle des bêta2 mimétiques par voie inhalée. Il convient en cas de crise d'asthme ou de bronchospasme aigu de ne pas l'utiliser en première intention ou seul mais d'administrer également un bêta2 mimétique.
L'administration d'ipratropium à l'aide d'un nébuliseur doit être réservée aux situations aiguës graves nécessitant l'inhalation d'une posologie élevée de produit par voie inhalée. Ces situations nécessitent une surveillance médicale avec possibilité de mise en place d'une réanimation (abord veineux et assistance respiratoire) ; une oxygénothérapie et corticothérapie par voie systémique doivent généralement y être associées.
L'apparition de signes de glaucome par fermeture de l'angle (douleur ou gêne oculaire, vision trouble, perception d'images colorées, rougeur conjonctivale, congestion de la cornée) nécessite l'interruption du traitement et un avis médical spécialisé immédiat.
Précautions d'emploi
En cas d'infection bronchique ou de bronchorrhée abondante, un traitement approprié est nécessaire afin de favoriser la diffusion optimale du produit dans les voies respiratoires.
En raison de l'activité anticholinergique de l'ipratropium, la projection accidentelle d'ipratropium dans l'oeil provoque une mydriase par effet parasympatholytique. Les patients prédisposés à un risque de glaucome par fermeture de l'angle devront se protéger des risques de projections intra-oculaires de ce médicament (ex : port de lunettes). Il est préférable d'administrer la solution nébulisée d'ipratropium par l'intermédiaire d'un embout buccal. Un masque d'inhalation peut également être utilisé à condition qu'il soit étanche.
Le traitement par le bromure d'ipratropium doit être prescrit avec prudence chez les personnes âgées, notamment chez les sujets masculins présentant des antécédents d'adénome prostatique ou d'obstruction urétrale.
Le bromure d'ipratropium sera utilisé avec prudence chez les patients atteints de muscoviscidose plus souvent sujets à des troubles de la motilité gastro-intestinale.
Analogues en Russie
р-р д/ингал.:
0.25 мг/мл
аэрозоль д/инг.:
20 мкг/доза
р-р д/ингал.:
0.25 мг/мл
аэрозоль д/инг.:
20 мкг/доза
Analogues en France
solution pour inhalation:
20 microgrammes
poudre pour inhalation en gélule:
0,0400 mg
solution pour inhalation par nébuliseur:
0,250 mg, 0,5 mg, 0,500 mg
suspension pour inhalation:
0,02 mg
solution:
0,03000 g
solution nasale pour pulvérisation:
20 microgrammes
solution pour inhalation par nébuliseur:
0,25 mg, 0,5 mg
solution pour inhalation par nébuliseur:
0,25 mg, 0,250 mg, 0,5 mg, 0,500 mg
solution nasale pour pulvérisation:
0,06 g