Résumé des caractéristiques du médicament - TAMSULOSINE

Langue

- Français

TAMSULOSINE

TAMSULOSINE - La tamsulosine se lie sélectivement et de façon compétitive aux récepteurs α1-adrénergiques postsynaptiques, en particulier aux sous-types α1- et α1D.

Le médicament TAMSULOSINE appartient au groupe appelés Alpha-1-bloquant

Cette spécialité pharmaceutique a un code ATC - G04CA02

Substance active: TAMSULOSINE
Titulaires de l'autorisation de mise sur le marché:

ACTAVIS GROUP PTC (ISLANDE) - Tamsulosine gélule à libération prolongée 0,4 mg , 2006-01-16

BIOGARAN (FRANCE) - Tamsulosine gélule à libération prolongée 0,4 mg , 2005-11-09

ARROW GENERIQUES (FRANCE) - Tamsulosine gélule à libération prolongée 0,4 mg , 2006-10-30

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Tamsulosine ACTAVIS LP 0,4 mg

gélule à libération prolongée 0,4 mg

ACTAVIS GROUP PTC (ISLANDE)

Tamsulosine ALMUS L.P. 0,4 mg

gélule à libération prolongée 0,4 mg

BIOGARAN (FRANCE)

Tamsulosine ARROW LP 0,4 mg

gélule à libération prolongée 0,4 mg

ARROW GENERIQUES (FRANCE)

Tamsulosine BIOGARAN L.P. 0,4 mg

gélule à libération prolongée 0,4 mg

BIOGARAN (FRANCE)

Tamsulosine BIOGARAN LP 0,4 mg

comprimé à libération prolongée 0,4 mg

BIOGARAN (FRANCE)

Tamsulosine DCI PHARMA LP 0,4 mg

gélule à libération prolongée 0,4 mg

DCI PHARMA (FRANCE)

Tamsulosine EG L.P. 0,4 mg

gélule à libération prolongée 0,4 mg

EG LABO - LABORATOIRES EUROGENERICS (FRANCE)

Tamsulosine EG LABO LP 0,4 mg

gélule à libération prolongée 0,4 mg

EG LABO - LABORATOIRES EUROGENERICS (FRANCE)

Tamsulosine EG LP 0,4 mg

comprimé à libération prolongée 0,4 mg

EG LABO - LABORATOIRES EUROGENERICS (FRANCE)

Tamsulosine G GAM LP 0,4 mg

gélule à libération prolongée 0,4 mg

LABORATOIRES G GAM (FRANCE)

Tamsulosine GENERES LP 0,4 mg

gélule à libération prolongée 0,4 mg

SANDOZ (FRANCE)

Tamsulosine GERDA L.P. 0,4 mg

gélule à libération prolongée 0,4 mg

SUBSTIPHARM DEVELOPPEMENT (FRANCE)

Tamsulosine GNR LP 0,4 mg

gélule à libération prolongée 0,4 mg

SANDOZ (FRANCE)

Tamsulosine ISOMED LP 0.4 mg

gélule à libération prolongée 0,4 mg

TEVA SANTE (FRANCE)

Tamsulosine MERCK GENERIQUES L.P. 0,4 mg

gélule à libération prolongée 0,4 mg

MERCK GENERIQUES (FRANCE)

Tamsulosine MYLAN L.P. 0,4 mg

gélule à libération prolongée 0,4 mg

MYLAN SAS (FRANCE)

Tamsulosine MYLAN LP 0,4 mg

comprimé à libération prolongée 0,4 mg

MYLAN SAS (FRANCE)

Tamsulosine QUALIHEALTH LP 0,4 mg

gélule à libération prolongée 0,4 mg

Laboratoire QUALIMED (FRANCE)

Tamsulosine QUALIMED L.P. 0,4 mg

gélule à libération prolongée 0,4 mg

Laboratoire QUALIMED (FRANCE)

Tamsulosine RANBAXY LP 0,4 mg

gélule à libération prolongée 0,4 mg

RANBAXY PHARMACIE GENERIQUES (FRANCE)

Tamsulosine RATIO 0.4 mg

gélule à libération prolongée 0,4 mg

Ratiopharm GmbH (ALLEMAGNE)

Tamsulosine RATIOPHARM LP 0,4 mg

comprimé à libération prolongée 0,4 mg

Ratiopharm GmbH (ALLEMAGNE)

Tamsulosine RATIOPHARM LP 0,4 mg

gélule à libération prolongée 0,4 mg

Ratiopharm GmbH (ALLEMAGNE)

Tamsulosine RPG LP 0,4 mg

gélule à libération prolongée 0,4 mg

RANBAXY PHARMACIE GENERIQUES (FRANCE)

Tamsulosine SANDOZ LP 0,4 mg

comprimé pelliculé à libération prolongée 0,4 mg

SANDOZ (FRANCE)

Tamsulosine SANDOZ LP 0,4 mg

gélule à libération prolongée 0,4 mg

SANDOZ (FRANCE)

Tamsulosine TEVA L.P. 0,4 mg

comprimé pelliculé à libération prolongée 0,4 mg

TEVA SANTE (FRANCE)

Tamsulosine TEVA LP 0,4 mg

gélule à libération prolongée 0,4 mg

TEVA SANTE (FRANCE)

Tamsulosine ZENTIVA LAB LP 0,4 mg

gélule à libération prolongée 0,4 mg

ZENTIVA FRANCE (FRANCE)

Tamsulosine ZENTIVA LP 0,4 mg

gélule à libération prolongée 0,4 mg

SANOFI AVENTIS FRANCE (FRANCE)

Tamsulosine ZENTIVA LP 0.4 mg

comprimé à libération prolongée 0,4 mg

SANOFI AVENTIS FRANCE (FRANCE)

Tamsulosine ZYDUS FRANCE LP 0,4 mg

gélule à libération prolongée 0,4 mg

ZYDUS FRANCE (FRANCE)







Formes pharmaceutiques et Dosage du médicament

  • gélule à libération prolongée : 0,367 mg, 0,4 mg, 0,400 mg
  • comprimé à libération prolongée : 0,367 mg
  • comprimé pelliculé à libération prolongée : 0,367 mg, 0,4 mg

Dosage

1 gélule par jour à la fin du petit déjeuner ou à la fin du premier repas de la journée.
La gélule doit être avalée entière, avec un verre d'eau, en position debout ou assise (pas en position couchée).
La gélule ne doit pas être croquée (ou endommagée) ni mâchée (ou dispersée), sous peine d'interférer sur la libération prolongée de ce médicament.

Indications

Traitement des symptômes des voies urinaires basses (TUBA) en rapport avec une hypertrophie bénigne de la prostate (HBP).

Pharmacodynamique

La tamsulosine se lie sélectivement et de façon compétitive aux récepteurs α1-adrénergiques postsynaptiques, en particulier aux sous-types α1- et α1D. Elle provoque la relaxation des muscles lisses prostatiques et urétraux.

Effets Pharmacodynamiques

La tamsulosine augmente le débit urinaire maximal. Elle lève l'obstruction en relaxant les muscles lisses de la prostate et de l'urètre, et par là améliore les symptômes éprouvés lors des mictions.

Elle améliore aussi les symptômes de rétention pour lesquels l'instabilité vésicale joue un rôle important.

Ces effets sur les symptômes accompagnant la rétention urinaire et les mictions se maintiennent durant un traitement de longue durée. Les données observationnelles indiquent que le recours à la tamsulosine peut retarder la nécessité d'une chirurgie ou du cathétérisme.

Les antagonistes des récepteurs α1-adrénergiques peuvent réduire la pression artérielle en diminuant les résistances périphériques. Cependant, aucune diminution de la pression artérielle d'importance significative n'a été observée lors des études sur la tamsulosine.

Population pédiatrique

Une étude en double aveugle, randomisée, contrôlée par placebo et portant sur une gamme de posologies, a été réalisée chez des enfants porteurs d'une vessie neuropathique. Un total de 161 enfants a été randomisé et traité soit par l'une des 3 posologies de tamsulosine (faible [0,001 à 0,002 mg/kg], moyenne [0,002 à 0,004 mg/kg], et forte [0,004 à 0,008 mg/kg]), soit par un placebo. Le critère principal était: réponse par la diminution de la « pression détrusorienne de fuite » (PDF) (ou LPP pour leak point pressure) à une valeur <40 cm H2O, lors de deux évaluations effectuées le même jour. Les critères secondaires étaient: la valeur et le pourcentage de la variation de la pression détrusorienne de fuite par rapport au début du traitement, l'amélioration ou la stabilisation de l'hydronéphrose et de l'hydro-uretère, la variation du volume urinaire mesuré par cathétérisme et le nombre de fois où les protections étaient humides au moment des cathétérismes, tel qu'en faisait foi le journal des cathétérismes. Aucune différence statistiquement significative n'a été trouvée entre le groupe placebo et l'un des 3 groupes de posologie de tamsulosine, que ce soit pour le critère principal ou pour les critères secondaires. Des analyses complémentaires de sous-groupes ont confirmé ces résultats (par exemple l'âge, le recours à un anticholinergique, le poids, les régions géographiques). Aucune réponse n'a été observée quelle que soit la posologie.

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Mécanisme d'action

La tamsulosine augmente le débit urinaire maximum en relâchant le muscle lisse prostatique et urétral, diminuant ainsi l'obstruction.

Le médicament améliore également les symptômes irritatifs et obstructifs sur lesquels la contraction du muscle lisse du bas appareil urinaire jouent un rôle important.

Les alpha-bloquants sont susceptibles de diminuer la tension artérielle en diminuant les résistances périphériques. Aucune baisse de la tension artérielle cliniquement significative n'a été observée au cours des études portant sur la tamsulosine chez les patients normotendus.

L'effet du produit sur les symptômes de stockage et de la miction sont également maintenus au cours d'un traitement au long cours, en conséquence de quoi, la nécessité d'un traitement chirurgical est significativement retardée.

Population pédiatrique

Une étude en double aveugle, randomisée, contrôlée par placebo et portant sur une gamme de posologies, a été réalisée chez des enfants porteurs d'une vessie neuropathique. Un total de 161 enfants (âgés de 2 à 16 ans) a été randomisé et traité soit par l'une des 3 posologies de tamsulosine (faible [0,001 à 0,002 mg/kg], moyenne [0,002 à 0,004 mg/kg], et forte [0,004 à 0,008 mg/kg]), soit par un placebo. Le critère principal était : réponse par la diminution de la « pression détrusorienne de fuite » (PDF) (ou LPP pour leak point pressure) à une valeur <40 cm H2O, lors de deux évaluations effectuées le même jour. Les critères secondaires étaient : la valeur et le pourcentage de la variation de la pression détrusorienne de fuite par rapport au début du traitement, l'amélioration ou la stabilisation de l'hydronéphrose et de l'hydro-uretère, la variation du volume urinaire mesuré par cathétérisme et le nombre de fois où les protections étaient humides au moment des cathétérismes, tel qu'en faisait foi le journal des cathétérismes. Aucune différence statistiquement significative n'a été trouvée entre le groupe placebo et l'un des 3 groupes de posologie de tamsulosine, que ce soit pour le critère principal ou pour les critères secondaires. Aucune réponse n'a été observée quelle que soit la posologie.

La tamsulosine augmente le débit urinaire maximal. Elle lève l'obstruction en relaxant les muscles lisses de la prostate et de l'urètre, et par là même améliore les symptômes éprouvés lors des mictions.

Elle améliore aussi les symptômes de rétention pour lesquels l'instabilité vésicale joue un rôle important.

Ces effets sur les symptômes accompagnant la rétention urinaire et les mictions se maintiennent durant un traitement de longue durée. La nécessité d'une chirurgie ou du cathétérisme est significativement retardée.

Les antagonistes des récepteurs α1-adrénergiques peuvent réduire la pression artérielle en diminuant les résistances périphériques. Cependant, aucune diminution de la pression artérielle d'importance significative n'a été observée lors des études sur la tamsulosine.

Population pédiatrique

Une étude en double aveugle, randomisée, contrôlée par placebo et portant sur une gamme de posologies, a été réalisée chez des enfants porteurs d'une vessie neuropathique. Un total de 161 enfants (âgés de 2 à 16 ans) a été randomisé et traité soit par l'une des 3 posologies de tamsulosine (faible [0,001 à 0,002 mg/kg], moyenne [0,002 à 0,004 mg/kg], et forte [0,004 à 0,008 mg/kg]), soit par un placebo. Le critère principal était : le nombre de patient chez qui la « pression détrusorienne de fuite » (PDF) (ou LPP pour leak point pressure) à une valeur <40 cm H2O, lors de deux évaluations effectuées le même jour. Les critères secondaires étaient : la valeur et le pourcentage de la variation de la pression détrusorienne de fuite par rapport au début du traitement, l'amélioration ou la stabilisation de l'hydronéphrose et de l'urétérohydrose, la variation du volume urinaire mesuré par cathétérisme et le nombre de fois où les protections étaient humides au moment des cathétérismes, tel qu'indiqué dans le journal des cathétérismes. Aucune différence statistiquement significative n'a été trouvée entre le groupe placebo et l'un des 3 groupes de posologie de tamsulosine, que ce soit pour le critère principal ou pour les critères secondaires. Aucune réponse n'a été observée quelle que soit la posologie.

La tamsulosine augmente le débit urinaire maximal en relâchant le muscle lisse prostatique et urétral, diminuant ainsi l'obstruction.

Le médicament améliore également les symptômes irritatifs et obstructifs sur lesquels l'instabilité de la vessie et la contraction du muscle lisse du bas appareil urinaire jouent un rôle important.

Les alpha1-bloquants sont susceptibles de diminuer la tension artérielle en diminuant les résistances périphériques. Aucune baisse de la tension artérielle cliniquement significative n'a été observée au cours des études avec tamsulosine.

Pédiatrie

Une étude en double aveugle, randomisée, contrôlée par placebo et portant sur une gamme de posologies, a été réalisée chez des enfants porteurs d'une vessie neuropathique. Un total de 161 enfants (âgés de 2 à 16 ans) a été randomisé et traité soit par l'une des 3 posologies de tamsulosine (faible [0,001 à 0,002 mg/kg], moyenne [0,002 à 0,004 mg/kg], et forte [0,004 à 0,008 mg/kg]), soit par un placebo. Le critère principal était : réponse par la diminution de la « pression détrusorienne de fuite » (PDF) (ou LPP pour leak point pressure) à une valeur <40 cm H2O, lors de deux évaluations effectuées le même jour. Les critères secondaires étaient : la valeur et le pourcentage de la variation de la pression détrusorienne de fuite par rapport au début du traitement, l'amélioration ou la stabilisation de l'hydronéphrose et de l'hydro-uretère, la variation du volume urinaire mesuré par cathétérisme et le nombre de fois où les protections étaient humides au moment des cathétérismes, tel qu'en faisait foi le journal des cathétérismes. Aucune différence statistiquement significative n'a été trouvée entre le groupe placebo et l'un des 3 groupes de posologie de tamsulosine, que ce soit pour le critère principal ou pour les critères secondaires. Aucune réponse n'a été observée quelle que soit la posologie.

La tamsulosine augmente le débit urinaire et améliore les syndromes obstructifs par la relaxation exercée sur les muscles lisses prostatiques et urétraux.

Les effets de TAMSULOSINE sur l'obstruction et la miction sont maintenus lors du traitement à long terme.

Les alpha1-bloquants peuvent entraîner une diminution de la pression artérielle par un mécanisme de diminution des résistances vasculaires périphériques. Au cours des essais cliniques avec la tamsulosine, il n'a pas été rapporté de diminution de la pression artérielle cliniquement significative.

Population pédiatrique

Une étude en double aveugle, randomisée, de recherche de doses et contrôlée par placebo, a été réalisée chez des enfants porteurs d'une vessie neurologique. Un total de 161 enfants (âgés de 2 à 16 ans) a été randomisé et traité soit par l'une des 3 posologies de tamsulosine (faible [0,001 à 0,002 mg/kg], moyenne [0,002 à 0,004 mg/kg], et forte [0,004 à 0,008 mg/kg]), soit par un placebo. Le critère principal était le nombre de patients qui ont eu une diminution de leur « pression détrusorienne de fuite » (PDF) à une valeur <40 cm d'eau, lors de deux évaluations effectuées le même jour. Les critères secondaires étaient : la valeur et le pourcentage de la variation de la pression détrusorienne de fuite par rapport au début du traitement, l'amélioration ou la stabilisation de l'hydronéphrose et de l'hydro-uretère, la variation du volume urinaire mesuré par cathétérisme et le nombre de fois où les protections étaient humides au moment des cathétérismes, comme rapporté par le calendrier colligeant les cathétérismes. Aucune différence statistiquement significative n'a été trouvée entre le groupe placebo et l'un des 3 groupes de posologie de tamsulosine, que ce soit pour le critère principal ou pour les critères secondaires. Aucune réponse n'a été observée quelle que soit la posologie utilisée .

La tamsulosine se lie de façon sélective et compétitive aux récepteurs alpha1A - adrénergiques post synaptiques, en particulier aux sous-types alpha1A et alpha1D, entraînant une relaxation du muscle lisse de la prostate et de l'urètre par quoi la tension est réduite.

La tamsulosine augmente le débit urinaire maximum en relâchant le muscle lisse prostatique et urétral, diminuant ainsi l'obstruction.

Le médicament améliore également les symptômes irritatifs et obstructifs sur lesquels la contraction du muscle lisse du bas appareil urinaire jouent un rôle important.

Les alpha-bloquants sont susceptibles de diminuer la tension artérielle en diminuant les résistances périphériques. Aucune baisse de la tension artérielle cliniquement significative n'a été observée au cours des études portant sur la tamsulosine.

La tamsulosine est un antagoniste des récepteurs alpha1 -adrénergiques post-synaptiques sélectif des sous-types de récepteurs alpha1A et alpha1D. Ces propriétés se traduisent par une relaxation du muscle lisse de la prostate et de l'urètre.

La tamsulosine augmente le débit urinaire et améliore les syndromes obstructifs par la relaxation exercée sur les muscles lisses prostatiques et urétraux.

Les effets de la tamsulosine sur l'obstruction et la miction sont maintenus lors du traitement à long terme.

Les alpha1 -bloquants peuvent entraîner une diminution de la pression artérielle par un mécanisme de diminution des résistances vasculaires périphériques. Au cours des essais cliniques avec la tamsulosine, il n'a pas été rapporté de diminution de la pression artérielle cliniquement significative.

Pharmacocinétique

Les microgranules contenues dans la gélule de chlorhydrate de tamsulosine libèrent le principe actif de façon progressive et programmée.

Cette propriété permet de maintenir à l'équilibre des taux plasmatiques efficaces pendant tout le nycthémère, autorisant ainsi la prise unique d'une gélule par 24 heures.

Absorption

Le chlorhydrate de tamsulosine est rapidement et totalement absorbé (99%) au niveau du tractus intestinal.

La biodisponibilité du chlorhydrate de tamsulosine est diminuée au moment des repas mais peut être rendue uniforme par la prise régulière à la fin du petit déjeuner.

La pharmacocinétique des microgranules de chlorhydrate de tamsulosine est linéaire. Après administration d'une dose unique au moment d'un repas standard, le pic plasmatique (C max) est atteint 6 heures après la prise.

Après administrations réitérées, l'état d'équilibre plasmatique est atteint au 5ième jour et la concentration maximale est environ supérieure de 2/3 à la concentration maximale initiale.

Il existe une importante variation interindividuelle des concentrations plasmatiques atteintes, que ce soit après prise unique ou prises répétées ; les taux sanguins sont généralement inférieurs à 20 ng/ml, ils peuvent cependant parfois dépasser 30 ng/ml.

Distribution

Chez l'homme, le chlorhydrate de tamsulosine est presque totalement lié aux protéines plasmatiques et a donc un faible volume de distribution (environ 0,2 L/kg).

Biotransformation

L'effet de premier passage du chlorhydrate de tamsulosine est faible ; la molécule est en grande quantité présente dans le plasma sous forme inchangée et est métabolisée lentement au niveau du foie.

Chez le rat, pratiquement aucune induction des enzymes hépatiques microsomales liée à la tamsulosine n'a été observée.

Les résultats in vitro suggèrent que le CYP3A4 et le CYP2D6 sont impliqués dans le métabolisme du chlorhydrate de tamsulosine, avec l'intervention possible mineure d'autres isoenzymes CYP. L'inhibition des enzymes CYP3A4 et CYP2D6 responsables du métabolisme des médicaments pourrait entraîner une augmentation de l'exposition au chlorhydrate de tamsulosine .

Aucun des métabolites obtenus n'est plus actif ou plus toxique que la molécule initiale.

Elimination

Le chlorhydrate de tamsulosine et ses métabolites sont principalement éliminés dans les urines.

Environ 9% de la dose absorbée sont excrétés sous forme inchangée.

Chez les patients, après prise unique d'une gélule de tamsulosine au moment d'un repas, d'une part, et à l'état d'équilibre plasmatique, d'autre part, la demi-vie d'élimination est respectivement d'environ 10 et 13 heures.

La demi-vie terminale, après prise unique d'une gélule de tamsulosine, est en moyenne de 22 heures.

Populations particulières

Chez le sujet âgé, l'insuffisant rénal (clairance de la créatinine > 10 ml/min.) et l'insuffisant hépatique (classe A et B de CHILD-PUGH), il existe une augmentation modérée des taux sanguins de chlorhydrate de tamsulosine qui ne justifie pas d'adaptation de la posologie. Cependant, la prudence s'impose chez ce type de patients .

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Informations supplémentaires sur la pharmacocinétique du médicament TAMSULOSINE en fonction de la voie d'administration

Absorption

La tamsulosine est un comprimé à libération prolongée de type gel matriciel anionique.

La formulation à libération prolongée de la tamsulosine assure une libération lente de la tamsulosine, avec comme résultat une exposition adéquate sur 24 heures et une faible fluctuation.

La tamsulosine administrée sous forme de comprimés à libération prolongée est absorbée au niveau de l'intestin. Lors d'un jeûne, il est estimé qu'approximativement 57 % de la dose administrée est absorbée.

Le débit et l'importance de l'absorption de la tamsulosine administrée sous forme de comprimés de chlorhydrate de tamsulosine à libération prolongée ne sont pas affectés par une alimentation faible en graisses. L'importance de l'absorption est augmentée de 64 % et de 149 % (ASC et Cmax respectivement) par une alimentation riche en graisses comparé à un jeûne.

La tamsulosine possède une pharmacocinétique linéaire.

Après une dose unique de tamsulosine à jeun, le pic de la concentration plasmatique de tamsulosine est atteint en un temps médian de 6 heures. Lors de la phase d'équilibre, qui est atteinte au 4e jour de prises régulières, le pic de la concentration plasmatique de la tamsulosine survient entre la 4e et la 6e heure, que le patient soit à jeun ou non. Entre la 1re dose et la phase d'équilibre, la concentration du pic plasmatique passe de 6 ng/ml à 11 ng/ml.

Les caractéristiques des comprimés de tamsulosine à libération prolongée font que la concentration plasmatique moyenne de la tamsulosine s'élève à 40 % de la concentration des pics plasmatiques, que le patient soit à jeun ou non.

Il existe une variation interindividuelle considérable des concentrations plasmatiques atteintes, aussi bien après une dose unique qu'après des doses multiples.

Distribution

Chez l'Homme, la tamsulosine est liée à 99 % aux protéines plasmatiques. Le volume de distribution est faible (environ 0,2 l/kg).

Biotransformation

Étant métabolisée lentement, l'effet du premier passage de la tamsulosine est faible. La majeure partie de la tamsulosine est présente dans le plasma sous la forme inchangée du principe actif, avant d'être métabolisée dans le foie.

Chez le rat, seule une très faible induction d'enzymes hépatiques microsomiaux est provoquée par la tamsulosine.

Des résultats in vitro montrent que le cytochrome CYP3A4 et aussi le CYP2D6 sont impliqués dans le métabolisme, avec des possibles contributions mineures au métabolisme du chlorhydrate de tamsulosine par d'autres iso-enzymes CYP. L'inhibition des enzymes du CYP3A4 et du CYP2D6 métabolisant le médicament peut conduire à une exposition accrue à la tamsulosine .

Aucun des métabolites n'est plus actif que le composé original.

Élimination

La tamsulosine et ses métabolites sont éliminés essentiellement par les urines. La quantité excrétée sous forme de substance active inchangée est de l'ordre de 4 à 6 % de la dose administrée en comprimés de tamsulosine à libération prolongée.

Après une simple dose de tamsulosine et lors de la phase d'équilibre, les demi-vies d'élimination ont été mesurées respectivement à 19 et 15 heures, environ.

Absorption

La tamsulosine sous forme de comprimés à libération prolongée permet une libération prolongée de la tamsulosine et une exposition suffisante sur 24h avec de légères fluctuations. La tamsulosine administré sous forme de comprimés à libération prolongée, est absorbé dans l'intestin. On estime qu'à jeun, 57 % environ de la dose administrée est absorbée. La vitesse et le taux d'absorption du chlorhydrate de tamsulosine administré sous forme de comprimés à libération prolongée ne sont pas affectés par la prise d'un repas pauvre en graisses. Le taux d'absorption est augmenté de 64 % et 149 % (respectivement pour l'ASC et la Cmax) par la prise d'un repas riche en graisses par rapport aux valeurs à jeun.

La pharmacocinétique de la tamsulosine est linéaire.

Après administration d'une dose unique de tamsulosine comprimé à libération prolongée, le pic plasmatique est atteint en moyenne 6 heures après la prise. Après administrations réitérées, à l'état d'équilibre plasmatique qui est atteint le 4ème jour, la concentration plasmatique maximale est atteinte respectivement entre 4 et 6 heures, à jeun ou après un repas. Les concentrations plasmatiques aux pics atteignent 6 ng/ml à la première prise et jusqu'à 11 ng/ml à l'état d'équilibre.

A jeun, et après un repas, la concentration minimale de la forme prolongée de tamsulosine représente 40 % de la concentration plasmatique maximale.

Il existe une importante variation inter-individuelle des concentrations plasmatiques atteintes que ce soit après prise unique ou prises répétées.

Distribution

Chez l'homme, la tamsulosine est liée à 99% aux protéines plasmatiques. Le volume de distribution est faible (environ 0,2 L/kg).

Biotransformation

L'effet de premier passage du chlorhydrate de tamsulosine est faible ; la molécule est en grande quantité présente dans le plasma sous forme inchangée et est métabolisée lentement au niveau du foie.

Chez le rat, pratiquement aucune induction des enzymes hépatiques microsomales liée à la tamsulosine n'a été observée.

Les résultats in vitro suggèrent que le CYP3A4 et le CYP2D6 sont impliqués dans le métabolisme du chlorhydrate de tamsulosine, avec l'intervention possible mineure d'autres isoenzymes CYP. L'inhibition des enzymes CYP3A4 et CYP2D6 responsables du métabolisme des médicaments pourrait entraîner une augmentation de l'exposition au chlorhydrate de tamsulosine .

Aucun des métabolites formés ne montre une activité pharmacologique supérieure à celle de la tamsulosine inchangée.

Elimination

La tamsulosine et ses métabolites sont principalement éliminés dans les urines. Environ 4 à 6% de la dose administrée sont excrétés sous forme inchangée.

Après administration d'une dose unique de 0,4 mg de tamsulosine sous forme de comprimé pelliculé, et à l'équilibre, une demi-vie d'élimination respectivement de 19 heures et 15 heures a été mesurée.

Les microgranules contenus dans la gélule de chlorhydrate de tamsulosine libèrent le principe actif de façon progressive et programmée.

Cette propriété permet de maintenir à l'équilibre des taux plasmatiques efficaces pendant tout le nycthémère, autorisant ainsi la prise unique d'une gélule par 24 heures.

Absorption

Le chlorhydrate de tamsulosine est rapidement et totalement absorbé (99%) au niveau du tractus intestinal.

La biodisponibilité du chlorhydrate de tamsulosine est diminuée au moment des repas, mais peut être rendue uniforme par la prise régulière à la fin du petit-déjeuner.

La pharmacocinétique des microgranules de chlorhydrate de tamsulosine est linéaire.

Après administration d'une dose unique au moment d'un repas standard, le pic plasmatique (Cmax) est atteint 6 heures après la prise.

Après administrations réitérées, l'état d'équilibre plasmatique est atteint au 5ème jour et la concentration maximale est environ supérieure de 2/3 à la concentration maximale initiale.

Il existe une importante variation interindividuelle des concentrations plasmatiques atteintes, que ce soit après prise unique ou prises répétées; les taux sanguins sont généralement inférieurs à 20 ng/ml, ils peuvent cependant parfois dépasser 30 ng/ml.

Distribution

Chez l'homme, le chlorhydrate de tamsulosine est presque totalement lié aux protéines plasmatiques et a donc un faible volume de distribution (environ 0,2 L/kg).

Biotransformation

L'effet de premier passage du chlorhydrate de tamsulosine est faible; la molécule est en grande quantité présente dans le plasma sous forme inchangée et est métabolisée lentement au niveau du foie.

Aucun des métabolites obtenus n'est plus actif ou plus toxique que la molécule initiale.

Elimination

Le chlorhydrate de tamsulosine et ses métabolites sont principalement éliminés dans les urines.

Environ 9% de la dose absorbée sont excrétés sous forme inchangée.

Chez les patients, après prise unique d'une gélule de tamsulosine au moment d'un repas, d'une part, et à l'état d'équilibre plasmatique, d'autre part, la demi-vie d'élimination est respectivement d'environ 10 et 13 heures.

La demi-vie terminale, après prise unique d'une gélule de tamsulosine, est en moyenne de 22 heures.

Populations particulières

Chez le sujet âgé, l'insuffisant rénal (clairance de la créatinine>10 ml/min) et l'insuffisant hépatique (classe A et B de CHILD-PUGH), il existe une augmentation modérée des taux sanguins de chlorhydrate de tamsulosine qui ne justifie pas d'adaptation de la posologie. Cependant, la prudence s'impose chez ce type de patients .

Absorption

La tamsulosine est absorbée par le tractus intestinal et sa biodisponibilité est presque complète. L'absorption de la tamsulosine diminue si le produit est administré peu après le repas. Cette absorption peut être rendue uniforme en utilisant toujours ce médicament après le même repas de la journée.

La pharmacocinétique de la tamsulosine est linéaire.

Après administration d'une dose unique au moment d'un repas standard, le pic plasmatique (C max) est atteint 6 heures après la prise. Après administrations réitérées, l'état d'équilibre plasmatique est atteint au 5ème jour et la concentration maximale est environ supérieure de 2/3 à la concentration maximale initiale. Bien que cela ait seulement été démontré dans la population âgée, les mêmes résultats seraient également attendus chez des patients jeunes.

Il existe une importante variation interindividuelle des concentrations plasmatiques atteintes, que ce soit après prise unique ou prises répétées.

Distribution

Chez l'homme, le chlorhydrate de tamsulosine est presque totalement lié aux protéines plasmatiques et a donc un faible volume de distribution (environ 0,2 L/kg).

Biotransformation

L'effet de premier passage du chlorhydrate de tamsulosine est faible ; la molécule est en grande quantité présente dans le plasma sous forme inchangée et est métabolisée lentement au niveau du foie.

Chez le rat, pratiquement aucune induction des enzymes hépatiques microsomales liée à la tamsulosine n'a été observée.

Les résultats in vitro suggèrent que le CYP3A4 et le CYP2D6 sont impliqués dans le métabolisme du chlorhydrate de tamsulosine, avec l'intervention possible mineure d'autres isoenzymes CYP. L'inhibition des enzymes CYP3A4 et CYP2D6 responsables du métabolisme des médicaments pourrait entraîner une augmentation de l'exposition au chlorhydrate de tamsulosine .

Aucun ajustement de dose n'est nécessaire dans l'insuffisance hépatique légère.

Aucun des métabolites obtenus n'est plus actif ou plus toxique que la molécule initiale.

Élimination

Le chlorhydrate de tamsulosine et ses métabolites sont principalement éliminés dans les urines.

Environ 9% de la dose absorbée sont excrétés sous forme inchangée.

Chez les patients, après prise unique d'une gélule de tamsulosine au moment d'un repas, d'une part, et à l'état d'équilibre plasmatique, d'autre part, la demi-vie d'élimination est respectivement d'environ 10 et 13 heures.

En cas d'affections rénales, une réduction des doses de tamsulosine n'est pas justifiée.

Absorption

La tamsulosine, administrée sous forme de comprimé à libération prolongée, est absorbée au niveau du tractus intestinal, et sa biodisponibilité est approximativement de 55 - 59 %. Une libération lente de la tamsulosine est maintenue sur toute la gamme de pH rencontrées dans le tractus gastro-intestinal avec cependant une petite fluctuation sur 24 h. Le taux d'absorption de la tamsulosine, administrée sous forme d'un comprimé à libération prolongée, n'est pas modifié avec la prise des repas. La pharmacocinétique de la tamsulosine est linéaire. Les concentrations plasmatiques maximales sont atteintes environ six heures après l'administration à jeun d'une dose unique de tamsulosine. A l'état d'équilibre, qui est atteint au quatrième jour d'une administration réitérée, les concentrations plasmatiques maximales de tamsulosine sont atteintes entre quatre à six heures après son administration à jeun ou après un repas. Les concentrations plasmatiques maximales de tamsulosine augmentent approximativement de 6 ng/mL, après l'administration de la première dose, à 11 ng/mL à l'état d'équilibre. Considérée comme une conséquence caractéristique de la forme à libération prolongée, la concentration plasmatique résiduelle en tamsulosine atteint 40 % de la concentration maximale à jeun ou après un repas. Il existe une importante variation interindividuelle des concentrations plasmatiques de tamsulosine, que ce soit après prise unique ou prises répétées.

Distribution

Chez l'homme, la tamsulosine se lie à environ 99 % aux protéines plasmatiques et le volume de distribution est faible (environ 0,2 l/kg).

Biotransformation

L'effet de premier passage du chlorhydrate de tamsulosine est faible, celui-ci étant métabolisé lentement. La molécule est présente en grande partie sous forme inchangée dans le plasma et est métabolisée au niveau du foie.

Au cours des études conduites chez le rat, rarement la tamsulosine a été à l'origine d'une légère induction des enzymes des microsomes hépatiques.

Les métabolites ne sont pas plus actifs que la molécule initiale.

Élimination

La tamsulosine et ses métabolites sont principalement éliminés dans les urines. Après une administration sous forme d'un comprimé à libération prolongée de tamsulosine, environ 4-6 % de la dose sont excrétés sous forme inchangée.

Après l'administration d'une dose unique de tamsulosine et à l'état d'équilibre, les demi-vies d'élimination sont d'environ 19 et 15 heures, respectivement.

Absorption

La formulation à libération prolongée de la tamsulosine assure une libération lente et constante de la tamsulosine, avec comme résultat une exposition adéquate et une faible fluctuation sur 24 heures.

La tamsulosine administrée sous forme de comprimés à libération prolongée est absorbée au niveau de l'intestin. On estime qu'approximativement 57 % de la dose administrée est absorbée.

Le débit et l'importance de l'absorption de la tamsulosine administrée sous forme de comprimés de chlorhydrate de tamsulosine à libération prolongée ne sont pas affectés par l'alimentation.

La tamsulosine possède une pharmacocinétique linéaire.

Après une dose unique de tamsulosine à jeun, le pic de la concentration plasmatique de tamsulosine est atteint en un temps médian de 6 heures. Lors de la phase d'équilibre, qui est atteinte au 4ème jour de prises régulières, le pic de la concentration plasmatique de la tamsulosine survient entre la 4ème et la 6ème heure, que le patient soit à jeun ou non. Entre la 1ère dose et la phase d'équilibre, la concentration du pic plasmatique passe de 6 ng/ml à 11 ng/ml.

Les caractéristiques des comprimés de tamsulosine à libération prolongée font que la concentration plasmatique moyenne de la tamsulosine s'élève à 40 % de la concentration des pics plasmatiques, que le patient soit à jeun ou non.

Il existe une variation inter-individuelle considérable des concentrations plasmatiques atteintes, aussi bien après une dose unique qu'après des doses multiples.

Distribution

Chez l'homme, la tamsulosine est liée à 99 % aux protéines plasmatiques. Le volume de distribution est faible (environ 0,2 l/kg).

Biotransformation

Etant métabolisée lentement, l'effet du premier passage de la tamsulosine est faible. La majeure partie de la tamsulosine est présente dans le plasma sous la forme inchangée du principe actif, avant d'être métabolisé dans le foie.

Chez le rat, seule une très faible induction d'enzymes hépatiques microsomiaux est provoquée par la tamsulosine.

Aucun des métabolites n'est plus actif que le composé original.

Elimination

La tamsulosine et ses métabolites sont éliminés essentiellement par les urines. La quantité excrétée sous forme de substance active inchangée est de l'ordre de 4 à 6 % de la dose administrée en comprimés de tamsulosine à libération prolongée.

Après une simple dose de tamsulosine et lors de la phase d'équilibre, les demi-vies d'élimination ont été mesurées respectivement à 19 et 15 heures, environ.

Absorption

La formulation à libération prolongée assure une libération lente et constante de la tamsulosine, avec comme résultat une exposition adéquate et une faible fluctuation sur 24 heures.

La tamsulosine administrée sous forme de comprimés à libération prolongée est absorbée au niveau de l'intestin. On estime qu'approximativement 57 % de la dose administrée est absorbée.

Le taux et l'importance de l'absorption de la tamsulosine administrée sous forme de comprimés de chlorhydrate de tamsulosine à libération prolongée ne sont pas affectés par l'alimentation.

La tamsulosine possède une pharmacocinétique linéaire.

Après une dose unique de tamsulosine à jeun, le pic de la concentration plasmatique de tamsulosine est atteint en un temps médian de 6 heures. Lors de la phase d'équilibre, qui est atteinte au 4ème jour de prises régulières, le pic de la concentration plasmatique de la tamsulosine survient entre la 4ème et la 6ème heure, que le patient soit à jeun ou non. Entre la 1ère dose et la phase d'équilibre, la concentration du pic plasmatique passe de 6 ng/ml à 11 ng/ml.

Les caractéristiques des comprimés de tamsulosine à libération prolongée font que la concentration plasmatique moyenne de la tamsulosine s'élève à 40 % de la concentration des pics plasmatiques, que le patient soit à jeun ou non.

Il existe une variation inter-individuelle considérable des concentrations plasmatiques atteintes, aussi bien après une dose unique qu'après des doses multiples.

Distribution

Chez l'homme, la tamsulosine est liée à environ 99 % aux protéines plasmatiques. Le volume de distribution est faible (environ 0,2 l/kg).

Biotransformation

Etant métabolisée lentement, l'effet du premier passage de la tamsulosine est faible. La majeure partie de la tamsulosine est présente dans le plasma sous la forme inchangée du principe actif, avant d'être métabolisé dans le foie.

Chez le rat, seule une très faible induction d'enzymes hépatiques microsomiaux est provoquée par la tamsulosine.

Aucun des métabolites n'est plus actif que le composé original.

Élimination

La tamsulosine et ses métabolites sont éliminés essentiellement par les urines. La quantité excrétée sous forme de substance active inchangée est de l'ordre de 4 à 6 % de la dose administrée en comprimés de tamsulosine à libération prolongée.

Après une simple dose de tamsulosine et lors de la phase d'équilibre, les demi-vies d'élimination ont été mesurées respectivement à environ 19 et 15 heures.

Absorption

La tamsulosine administrée sous forme de comprimés pelliculés à libération prolongée est absorbée au niveau de l'intestin. Environ 57 % de la dose administrée est absorbée.

L'absorption de la tamsulosine administrée sous forme de comprimés pelliculés à libération prolongée, n'est pas affectée par la prise de nourriture.

La pharmacocinétique de la tamsulosine est linéaire.

Après administration d'une dose unique de tamsulosine à jeun, le pic plasmatique est atteint en moyenne 6 heures après la prise.

Après administrations réitérées, à l'état d'équilibre plasmatique qui est atteint le 4ème jour, la concentration plasmatique maximale est atteinte respectivement entre 4 et 6 heures, à jeun ou après un repas. Les concentrations plasmatiques aux pics atteignent 6 ng/ml après la première prise et jusqu'à 11 ng/ml à l'état d'équilibre.

En raison des caractéristiques de la libération prolongée de Tamsulosine comprimés pelliculés à libération prolongée, la concentration plasmatique basse de tamsulosine s'élève à 40% de la concentration plasmatique maximale à jeun ou après un repas.

Il existe une importante variation interindividuelle des concentrations plasmatiques atteintes que ce soit après prise unique ou prises répétées.

Distribution

Chez l'homme, la tamsulosine est liée à 99 % aux protéines plasmatiques. Le volume de distribution est faible (environ 0,2 L/kg).

Biotransformation

L'effet de premier passage de la tamsulosine est faible. La plus grande partie de la tamsulosine est retrouvée sous forme inchangée dans le plasma. La substance est métabolisée au niveau du foie.

Au cours des études chez le rat, la tamsulosine a uniquement été à l'origine d'une légère induction des enzymes des microsomes hépatiques.

Les métabolites ne sont ni aussi efficaces ni aussi toxiques que la molécule active elle-même.

Elimination

La tamsulosine et ses métabolites sont principalement éliminés dans les urines. Environ 4 à 6 % de la dose administrée sont excrétés sous forme inchangée.

Après administration d'une dose unique de tamsulosine sous forme de comprimé à libération prolongée, et à l'équilibre, des demi-vies d'élimination de 19 heures et 15 heures ont été respectivement mesurées.

Absorption:

La tamsulosine est absorbée au niveau du tractus intestinal, et sa biodisponibilité est pratiquement complète.

L'absorption de la tamsulosine est diminuée lors de la prise d'un repas récent.

L'uniformité de l'absorption est assurée en prenant toujours la tamsulosine après le petit déjeuner ou le premier repas de la journée.

La pharmacocinétique de la tamsulosine est linéaire.

Les concentrations plasmatiques maximales sont atteintes environ six heures après une dose unique de tamsulosine prise après un repas complet. A l'état d'équilibre qui est atteint au cinquième jour d'une administration réitérée, la Cmax des patients est supérieure d'environ deux tiers à la concentration atteinte après une dose unique. Bien que ce résultat ait été mis en évidence chez les personnes âgées, un résultat identique est attendu chez les patients plus jeunes.

Distribution:

Chez l'homme, la tamsulosine se lie à environ 99 % aux protéines plasmatiques et le volume de distribution est faible (environ 0,2 l/kg).

Biotransformation:

L'effet de premier passage du chlrohydrate de tamsulosine est faible, étant métabolisée lentement. La molécule est présente en grande quantité dans le plasma sous forme inchangée et est métabolisée au niveau du foie.

Au cours des études chez le rat, la tamsulosine a uniquement été à l'origine d'une légère induction des enzymes des microsomes hépatiques.

Aucun des métabolites n'est plus actif que la molécule initiale.

Aucun ajustement posologique n'est nécessaire en cas d'insuffisance hépatique légère à modérée .

Elimination:

La tamsulosine et ses métabolites sont principalement éliminés dans les urines. Environ 9 % de la dose absorbée sont excrétés sous forme inchangée. Chez les patients, après prise unique d'une gélule de tamsulosine au moment d'un repas, d'une part, et à l'état d'équilibre plasmatique, d'autre part, la demi-vie d'élimination est respectivement d'environ 10 et 13 heures.

Effets indésirables

Les comprimés à libération prolongée de tamsulosine ont été évalués dans deux essais cliniques menés en double aveugle versus placebo. Les évènements indésirables étaient pour la plupart légers et leur incidence généralement faible. L'effet indésirable le plus couramment observé fut une éjaculation anormale (se produisant approximativement chez 2 % des patients).

Les effets indésirables des comprimés à libération prolongée de tamsulosine ou d'une autre formule à base de tamsulosine sont classés par fréquence comme suit: fréquent (≥1/100 à <1/10); peu fréquent (≥1/1,000 à <1/100); rare (≥1/10,000 à <1/1,000); très rare (<1/10,000), y compris les cas isolés ; fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).

Affections du système nerveux

Fréquent : étourdissements (1,3%).

Peu fréquent : maux de tête.

Rare : syncope.

Affections oculaires

Fréquence indéterminée : vision floue*, déficience visuelle*.

Affections cardiaques

Peu fréquent : palpitations

Affections vasculaires:

Peu fréquent : hypotension orthostatique.

Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales

Peu fréquent : rhinite.

Fréquence indéterminée : épistaxis*.

Affections gastro-intestinales

Peu fréquent : nausées, vomissements, constipation, diarrhée.

Fréquence indéterminée : sécheresse buccale*

Affections de la peau et du tissu sous-cutané

Peu fréquent : rash, prurit, urticaire.

Rare : angio-œdème.

Très rare : syndrome de Stevens - Johnson.

Fréquence indéterminée : érythème multiforme*, dermatite exfoliative*.

Affections des organes de reproduction et du sein

Fréquent : nomalies de l'éjaculation incluant éjaculation rétrograde et anéjaculation

Très rare : priapisme.

Troubles généraux et anomalies au site d'administration

Peu fréquent : asthénie.

* Observés après la commercialisation

Comme avec les autres alphabloquants, des cas de somnolence, de trouble de la vision, de sécheresse buccale ou d'œdème peuvent être observés.

Au cours d'interventions chirurgicales de la cataracte et du glaucome, des cas de pupille étroite, connue sous le nom de syndrome de l'iris flasque peropératoire (SIFP), ont été associés à la tamsulosine au cours de la surveillance après commercialisation

Expérience après commercialisation : en plus des événements indésirables mentionnés ci-dessus, une fibrillation auriculaire, une arythmie, une tachycardie et une dyspnée ont été rapportées lors de l'utilisation de la tamsulosine. Ces évènements étant rapportés de façon spontanée après la commercialisation au niveau mondial, leur fréquence et le rôle de la tamsulosine dans leur survenue ne peuvent être déterminés.

Contre-indications

Ce produit ne doit pas être administré dans les situations suivantes:

antécédents d'hypotension orthostatique

hypersensibilité connue au chlorhydrate de tamsulosine et/ou à l'un des excipients

antécédents d'angiœdème avec la tamsulosine

insuffisance hépatique sévère (classe C de la classification de CHILD-PUGH qui implique la présence simultanée et d'expression marquée, d'au moins quatre des cinq signes suivants: encéphalopathie, ascite, hyperbilirubinémie, hypoalbuminémie, allongement du temps de prothrombine; elle indique un risque opératoire élevé lors du traitement chirurgical de l'hypertension portale).

Ce médicament est généralement déconseillé en cas d'antécédent de syncope mictionnelle ainsi qu'en association avec les antihypertenseurs alpha-bloquants .

Grossesse/Allaitement

TAMSULOSINE MYLAN L.P. 0,4 mg, gélule à libération prolongée n'est pas indiqué pour une utilisation chez la femme.L'innocuité du chlorhydrate de tamsulosine au cours de la grossesse et le passage du chlorhydrate de tamsulosine dans le lait maternel ne sont pas connus.

Fécondité

Des troubles de l'éjaculation ont été observés dans des études cliniques à court terme et à long terme avec la tamsulosine.

Des troubles de l'éjaculation, une éjaculation rétrograde et une diminution ou une absence d'éjaculat ont été rapportés après commercialisation.

Surdosage

Symptômes :

Un surdosage avec du chlorhydrate de tamsulosine peut potentiellement entrainer des effets hypotenseurs graves. Ces effets hypotenseurs graves ont été observés à différents niveaux de surdosage.

La plus forte dose ingérée suite à un surdosage involontaire de chlorhydrate de tamsulosine est de 12 mg. Il en a résulté de sévères maux de tête. Aucune hospitalisation n'a été nécessaire.

Traitement :

En cas d'hypotension artérielle brutale survenant après un surdosage, il convient de prendre des mesures adéquates sur le plan cardiovasculaire. La tension artérielle peut être restaurée et la fréquence cardiaque être normalisée en allongeant le patient. Si ceci n'est pas efficace, des produits augmentant la volémie et, si nécessaire, des vasopresseurs pourraient être utilisés. Une surveillance de la fonction rénale doit être mise en place et des mesures générales de soutien devront être appliquées.

Il semble improbable que la mise sous dialyse ait une utilité compte-tenu de la très forte liaison de la tamsulosine aux protéines plasmatiques. Des vomissements provoqués peuvent être nécessaires afin d'empêcher l'absorption. En cas d'ingestion de grandes quantités du médicament, un lavage gastrique peut être réalisé et du charbon activé ainsi qu'un laxatif osmotique, tel que du sulfate de sodium, peut être administré.

Interactions avec d'autres médicaments

Les études sur les interactions n'ont été réalisées que chez l'adulte.

Aucune interaction n'a été observée en cas d'administration concomitante avec l'aténolol, l'énalapril ou la théophylline. L'administration concomitante de cimétidine augmente les concentrations plasmatiques de la tamsulosine, alors que l'administration concomitante de furosémide les diminue ; toutefois, dans la mesure où la concentration plasmatique de tamsulosine reste dans les valeurs normales, il n'est pas nécessaire de modifier la posologie.

In vitro, aucune modification de la fraction libre de la tamsulosine n'a été observée dans le plasma humain avec le diazépam, le propranolol, le trichlorméthiazide, la chlormadinone, l'amitriptyline, le diclofénac, le glibenclamide, la simvastatine et la warfarine. La tamsulosine ne modifie pas les fractions libres du diazépam, du propranolol, du trichlorméthiazide et de la chlormadinone.

Aucune interaction n'a été mise en évidence entre la tamsulosine et l'amitriptyline, le salbutamol, le glibenclamide ou le finastéride au cours d'études in vitro menées sur des fractions microsomiales hépatiques (représentant le système enzymatique lié au cytochrome P450 impliqué dans le métabolisme).

Le diclofenac et la warfarine peuvent entraîner une augmentation du taux d'élimination de la tamsulosine.

L'administration concomitante de la tamsulosine avec les inhibiteurs puissants du cytochrome CYP3A4 peut entraîner une augmentation de l'exposition à la tamsulosine. L'administration concomitante avec le kétoconazole (un inhibiteur puissant connu du CYP3A4) conduit à une augmentation de l'AUC et du Cmax de la tamsulosine d'un facteur de 2,8 et 2,2 respectivement.

La tamsulosine ne doit pas être donnée en association avec les inhibiteurs puissants du CYP3A4 (par exemple kétoconazole) chez les patients ayant le phénotype de faible métabolisation du CYP2D6.

La tamsulosine doit être utilisée avec précaution en association avec les inhibiteurs puissants (par exemple kétoconazole) et modérés (par exemple érythromycine) du CYP3A4.

L'administration concomitante de la tamsulosine avec la paroxétine, un puissant inhibiteur du CYP2D6, conduit à une augmentation du Cmax et de l'AUC de la tamsulosine d'un facteur de 1,3 et 1,6 respectivement, mais sans signification clinique.

L'administration concomitante avec un autre alpha-bloquant est susceptible d'abaisser la pression artérielle.

L'utilisation concomitante de la tamsulosine avec les inhibiteurs de la 5-phosphodiesterase (par exemple sildénafil, tadalafil, vardénafil) peut provoquer une hypotension symptomatique chez certains patients .

Mises en garde et précautions

Mises en garde spéciales

Avant de débuter un traitement par TAMSULOSINE ALMUS L.P., un examen du patient devra être réalisé afin d'exclure d'autres causes à l'origine des mêmes symptômes que ceux de l'hypertrophie bénigne de la prostate. Un toucher rectal ainsi que, si nécessaire, un dosage de l'antigène prostatique spécifique (PSA) devra être réalisé avant l'instauration du traitement et, ensuite à intervalles réguliers.

Risque d'hypotension orthostatique :

Chez certains sujets, une hypotension peut apparaître en orthostatisme. Elle peut conduire très rarement à une syncope. En cas de symptômes prémonitoires (sensations vertigineuses, fatigue, sueurs), le malade devra être allongé jusqu'à leur disparition complète.

Ces phénomènes, en général transitoires surviennent en début de traitement et n'empêchent pas sa poursuite. Le patient devra être clairement informé de leur survenue.

Angiœdèmes :

Un œdème de la peau ou des muqueuses a été très rarement signalé. Dans ce cas, TAMSULOSINE ALMUS doit être immédiatement arrêté et le patient traité et surveillé jusqu'à disparition de l'œdème. La prescription de tamsulosine ne doit pas être reprise chez ces patients.

Syndrome de l'iris flasque per-opératoire (SIFP) :

Le «Syndrome de l'iris flasque per-opératoire» (SIFP, une variante du syndrome de pupille étroite) a été observé au cours d'interventions chirurgicales de la cataracte et du glaucome chez certains patients traités ou précédemment traités par le chlorhydrate de tamsulosine. Le SIFP peut augmenter le risque de complications oculaires pendant et après l'opération.

Interrompre le chlorhydrate de tamsulosine 1 à 2 semaines avant une intervention chirurgicale de la cataracte ou du glaucome peut être considéré utile mais le bénéfice de l'interruption du traitement n'a pas été établi. Le SIFP a également été rapporté chez des patients qui avaient interrompu la tamsulosine pendant une plus longue période avant cette chirurgie.

L'initiation d'un traitement par le chlorhydrate de tamsulosine chez des patients pour lesquels une intervention chirurgicale de cataracte et de glaucome est programmée n'est pas recommandée.Au cours de la consultation pré-opératoire, les chirurgiens et leur équipe doivent vérifier si les patients qui vont être opérés de la cataracte ou du glaucome sont ou ont été traités par tamsulosine afin de s'assurer que des mesures appropriées seront mises en place pour prendre en charge la survenue d'un SIFP au cours de l'intervention chirurgicale.

Le chlorhydrate de tamsulosine ne doit pas être associé à des inhibiteurs puissants du CYP3A4 chez des métaboliseurs lents avec un phénotype CYP2D6.

Il convient d'être prudent en cas d'administration de chlorhydrate de tamsulosine en association avec des inhibiteurs puissants ou modérés du CYP3A4 .

Précautions d'emploi

La prudence s'impose chez les sujets traités par des médicaments antihypertenseurs et notamment avec les antagonistes du calcium qui peuvent provoquer des hypotensions sévères. Il convient de tenir compte de la potentialisation qui peut en résulter et de réduire la posologie des antihypertenseurs en conséquence ;

chez les coronariens, le traitement spécifique de l'insuffisance coronaire peut être poursuivi; mais, en cas de réapparition ou d'aggravation d'un angor, le traitement par la tamsulosine devra être interrompu ;

chez l'insuffisant rénal chronique, l'insuffisance rénale entraîne une augmentation modérée des taux sanguins sans qu'une incidence accrue des effets indésirables ait été relevée lors des études cliniques. Il ne semble pas nécessaire d'adapter la posologie de la tamsulosine chez les sujets dont la clairance de la créatinine est supérieure à 10 ml/min. En revanche, la prudence s'impose chez l'insuffisant rénal sévère (clairance créatinine < 10 ml/min) car ces patients n'ont pas été étudiés ;

chez le sujet âgé de plus de 65 ans, il convient de plus particulièrement prendre en compte la survenue d'une hypotension orthostatique.



CIM-10 codes des maladies, dont la thérapie comprend TAMSULOSINE



Analogues du médicament TAMSULOSINE qui a la même composition

Analogues en Russie

  • капс. ретард:

    400 мкг

Глансин
  • капс. с модиф. высвоб.:

    0.4 мг, 0.2 мг

Омник
  • капс. с модиф. высвоб.:

    0.4 мг

  • таб. с контролир. высвоб., покр. обол.:

    0.4 мг

Омсулозин
  • капс. ретард:

    400 мкг

Профлосин
  • капс. с кишечнораствор. обол. пролонгир. действ.:

    0.4 мг

Сонизин
  • капс. с модиф. высвоб.:

    0.4 мг

Analogues en France

  • microgranules à libération prolongée en gélule:

    0,367 mg

  • comprimé pelliculé à libération prolongée:

    0,367 mg

  • comprimé pelliculé à libération prolongée:

    0,367 mg

  • microgranules à libération prolongée en gélule:

    0,357 mg

  • comprimé pelliculé à libération prolongée:

    0,367 mg, 0,4 mg

  • comprimé à libération prolongée:

    0,367 mg

  • gélule à libération prolongée:

    0,367 mg, 0,4 mg, 0,400 mg