Bagothyrox - Suite à sa conversion partielle en liothyronine (T3), en particulier dans le foie et les reins, et après passage dans les cellules de l'organisme, on observe les effets caractéristiques de l'hormone thyroïdienne sur le développement, la croissance et le métabolisme, par l'intermédiaire de l'activation des récepteurs T3.
Le médicament Bagothyrox appartient au groupe appelés Hormones thyroïdiennes
Química Montpellier S.A. (ARGENTINE) - Bagothyrox comprimé 50 мкг , ЛС-000457 - 21.06.2010
Bagothyrox
comprimé 50 мкг, 100 мкг, 150 мкг
Química Montpellier S.A. (ARGENTINE)
Hypothyroïdie.
Prophylaxie contre la récidive du goitre après résection d'un goitre euthyroïdien.
Goitre euthyroïdien bénin.
Suppression et traitement substitutif dans le cancer de la thyroïde, surtout après thyroïdectomie.
Traitement d'association dans le traitement antithyroïdien de l'hyperthyroïdie, une fois le statut euthyroïdien atteint.
Test de suppression thyroïdienne.
Suite à sa conversion partielle en liothyronine (T3), en particulier dans le foie et les reins, et après passage dans les cellules de l'organisme, on observe les effets caractéristiques de l'hormone thyroïdienne sur le développement, la croissance et le métabolisme, par l'intermédiaire de l'activation des récepteurs T3.
La substitution de l'hormone thyroïdienne conduit à la normalisation des processus métaboliques. Ainsi, par exemple, une augmentation du taux de cholestérol consécutive à une hypothyroïdie est considérablement réduite par l'administration de lévothyroxine.
Absorption
Après administration parentérale, la lévothyroxine synthétique est indifférenciable de l'hormone naturelle sécrétée de façon endogène.
Distribution
Plus de 99 % des hormones thyroïdiennes circulantes sont liées aux protéines plasmatiques, notamment à la globuline fixant la thyroxine (TBG), à la préalbumine fixant la thyroxine (TBPA) et à l'albumine, dont les capacités de fixation et les affinités varient selon les hormones. Les hormones thyroïdiennes liées aux protéines plasmatiques restent en corrélation inverse avec une faible concentration d'hormones libres. Seules ces dernières sont métaboliquement actives.
Après administration intraveineuse, le volume de distribution est estimé à 11,6 litres chez les sujets sains et à 14,7 litres chez les patients hypothyroïdiens.
Biotransformation
La principale voie métabolique des hormones thyroïdiennes est la désiodation séquentielle. Environ 80 % de la T3 circulante est dérivée de la T4 périphérique par monodésiodation. Le foie constitue le principal site de dégradation de la T4 et la T3, la désiodation de la T4 se produisant également dans un certain nombre d'autres sites, notamment les reins et d'autres tissus. Environ 80 % de la dose journalière de T4 est désiodée pour obtenir des quantités égales de T3 et de rT3 (reverse T3). La T3 et la rT3 sont ensuite désiodées à leur tour en diiodothyronine (T2). Les hormones thyroïdiennes sont également métabolisées par sulfo- ou glucuroconjugaison et excrétées directement dans la bile et l'intestin où elles subissent une recirculation entéro-hépatique.
Élimination
La clairance de la lévothyroxine est estimée à environ 0,050 litres/heure chez des patients euthyroïdiens ; elle est légèrement supérieure (0,053 litres/heure) chez les patients hypothyroïdiens. La demi-vie d'élimination de la lévothyroxine est estimée à 6 à 7 jours chez les sujets sains et 9 à 10 jours chez les patients présentant un coma myxdémateux.
Tous les effets indésirables sont indiqués par classe de système d'organe et par fréquence ; rare (³1/10 000, <1/1 000) et fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
Classe de systèmes d'organes | Fréquence | Réaction indésirable |
Affections du système immunitaire | Fréquence indéterminée | Réactions d'hypersensibilité incluant éruption cutanée, prurit et dème Dans le cas d'une hypersensibilité à la lévothyroxine ou à l'un des excipients des comprimés de Bagothyrox, des réactions allergiques cutanées (érythème) et au niveau des voies respiratoires (dyspnée) peuvent survenir. |
Affections endocriniennes | Fréquence indéterminée | Hyperthyroïdie |
Troubles du métabolisme et de la nutrition | Fréquence indéterminée | Augmentation de l'appétit, ostéoporose à des doses suppressives de lévothyroxine, en particulier chez la femme ménopausée, principalement traitée pendant une longue période |
Affections psychiatriques | Fréquence indéterminée | Agitation, insomnie, nervosité |
Affections du système nerveux | Rare | Hypertension intracrânienne bénigne chez l'enfant. |
Fréquence indéterminée | Tremblements, convulsions, maux de tête | |
Affections cardiaques | Fréquence indéterminée | Angine de poitrine, arythmies, palpitations, tachycardie, insuffisance cardiaque, infarctus du myocarde |
Affections vasculaires | Fréquence indéterminée | Bouffées vasomotrices, hypertension |
Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales | Fréquence indéterminée | Dyspnée |
Affections gastro-intestinales | Fréquence indéterminée | Douleurs abdominales, nausées, diarrhée, vomissements |
Affections de la peau et du tissu sous-cutané | Fréquence indéterminée | Alopécie chez l'enfant, hyperhidrose |
Affections musculo-squelettiques et systémiques | Fréquence indéterminée | Spasmes musculaires, faiblesse musculaire, fermeture prématurée de l'épiphyse chez l'enfant |
Affections des organes de reproduction et du sein | Fréquence indéterminée | Règles irrégulières |
Affections congénitales, familiales et génétiques | Fréquence indéterminée | Craniosténose chez le nourrisson |
Troubles généraux et anomalies au site d'administration | Fréquence indéterminée | Pyrexie, intolérance aux températures hautes chez l'enfant |
Investigations | Fréquence indéterminée | Baisse du poids |
Hyperthyroïdie sauf lorsque celle-ci a été réduite par les médications antithyroïdiennes, l'iode 131 ou la chirurgie (par exemple dans le cas du traitement au long cours de la maladie de Basedow par l'association antithyroïdien de synthèse + lévothyroxine).
Ce médicament est généralement déconseillé en cas de cardiopathies décompensées, coronaropathies et troubles du rythme non contrôlés.
Un traitement par la lévothyroxine ne doit pas être instauré en cas de syndrome coronarien aigu ou de myocardite aiguë.
L'association de la lévothyroxine à un antithyroïdien dans le traitement d'une hyperthyroïdie n'est pas indiquée en cas de grossesse .
Grossesse
La lévothyroxine a été prise par un grand nombre de femmes enceintes et de femmes en âge de procréer. Aucune forme de troubles certains dans le processus de reproduction n'a été observée jusqu'à présent. Cependant, une hypoactivité ou une hyperactivité thyroïdienne chez la mère peut influencer défavorablement le bien-être du ftus ou l'issue de la grossesse.
Les besoins en lévothyroxine peuvent augmenter pendant la grossesse en raison de l'augmentation des taux d'strogènes. La fonction thyroïdienne doit donc être surveillée à la fois pendant et après la grossesse, et la dose d'hormone thyroïdienne, ajustée s'il y a lieu. Il convient de mesurer les taux de TSH des patientes sous lévothyroxine tous les trimestres. Un taux de TSH sérique élevé doit être corrigé en augmentant la dose de lévothyroxine. Les taux TSH sériques post-partum étant similaires aux valeurs préalables à la conception, la posologie de la lévothyroxine peut être réduite jusqu'à la dose reçue avant la grossesse.
Spécialement pendant la grossesse et l'allaitement, l'hormonothérapie thyroïdienne doit être poursuivie.
Allaitement
Même au cours d'un traitement à forte dose par lévothyroxine, la quantité d'hormone thyroïdienne sécrétée dans le lait maternel pendant l'allaitement est insuffisante pour induire le développement d'une hyperthyroïdie ou la suppression de la sécrétion de TSH chez le nourrisson. Toutefois, il peut être suffisant d'interférer avec le dépistage néonatal pour l'hypothyroïdie.
Les tests de suppression ne doivent pas être réalisés pendant la grossesse et l'allaitement.
Symptômes
L'hyperthyroïdie peut résulter d'un déséquilibre du traitement ou d'un surdosage de lévothyroxine. Une augmentation du taux de T3 est un signe plus fiable de surdosage qu'une augmentation du taux de T4 ou de T4 libre.
En plus de l'exagération des effets secondaires, les symptômes suivants peuvent être observés : agitation, confusion, irritabilité, hyperactivité, maux de tête, sueurs, mydriase, tachycardie, arythmies, tachypnée, fièvre, augmentation de la fréquence des selles et convulsions. Des symptômes psychiatriques associés à l'hyperthyroïdie peuvent également se manifester, notamment labilité émotionnelle, fatigue, anxiété et nervosité. L'hyperthyroïdie clinique peut apparaître avec un retard allant jusqu'à cinq jours.
L'arrêt du traitement et un examen de suivi sont recommandés, en fonction de l'étendue du surdosage.
En cas d'intoxication (tentatives de suicide) chez l'Homme, des doses allant jusqu'à 10 mg de lévothyroxine ont été tolérées sans complications. On ne s'attend pas à des complications graves, comme une menace pour les fonctions vitales (respiration et circulation), sauf en présence d'une coronaropathie. Néanmoins, des cas de crise thyrotoxique ont été signalés occasionnellement suite à une intoxication massive ou chronique, entrainant des crises d'épilepsie, des arythmies cardiaques, une insuffisance cardiaque et le coma. Des cas individuels de mort subite d'origine cardiaque ont été signalés chez des patients faisant une consommation abusive de lévothyroxine depuis de nombreuses années.
Des cas exceptionnels de crises d'épilepsie ont été signalés chez des patients épileptiques à l'instauration du traitement par la lévothyroxine, en particulier quand la dose de lévothyroxine est augmentée rapidement.
Un usage excessif de lévothyroxine peut causer une diminution de la densité minérale osseuse, en particulier chez les femmes ménopausées.
Traitement
Le traitement est essentiellement symptomatique et d'appoint.
Le but du traitement est le rétablissement de l'état euthyroïdien clinique et biochimique en omettant ou en réduisant l'administration de lévothyroxine et d'autres mesures si nécessaire en fonction de l'état clinique.
Dans le cas d'un surdosage aigu, l'absorption gastro-intestinale peut être réduite par l'administration de charbon actif médicinal. En cas d'effets bêta-sympathicomimétiques sévères comme une tachycardie, un état d'anxiété, de l'agitation et de l'hyperkinésie, les symptômes peuvent être soulagés par des bêtabloquants (propranolol), du diazépam et/ou de la chlorpromazine. Des agents antithyroïdiens ne sont pas indiqués, car la thyroïde est déjà complètement au repos.
A doses extrêmement élevées (tentatives de suicide), la plasmaphérèse peut être utile.
Un surdosage par la lévothyroxine exige une longue période de suivi. Les symptômes peuvent apparaître avec un retard allant jusqu'à 6 jours en raison de la conversion progressive de la lévothyroxine en liothyronine.
Interactions qui diminuent l'absorption de la thyroxine
+ Résines échangeuses d'ions :
La cholestyramine, le calcium, l'aluminium, les compléments en fer, le polystyrène sulfonate de sodium, le sucralfate, le lanthanum, les chélateurs des acides biliaires (par ex., colestipol), les résines échangeuses d'anions/cations (par ex., kayexelate, sévélamer) et les inhibiteurs de la pompe à protons diminuent l'absorption de la lévothyroxine. Dans la mesure du possible, il convient de séparer les administrations de lévothyroxine et des médicaments susmentionnés afin d'éviter toute interaction au niveau de l'estomac ou de l'intestin grêle.
+ Les produits à base de soja et les régimes riches en fibres
Les produits à base de soja et les régimes riches en fibres peuvent réduire l'absorption intestinale de lévothyroxine. Chez l'enfant, on a fait état d'une élévation du taux de TSH sérique dans le contexte d'un traitement par lévothyroxine pour une hypothyroïdie congénitale et d'un régime alimentaire contenant du soja. Des doses anormalement élevées de lévothyroxine peuvent être nécessaires pour atteindre les taux sériques normaux de T4 et TSH. Pendant et à la fin d'un régime alimentaire contenant du soja, une surveillance étroite des taux sériques de T4 et TSH est nécessaire ; un ajustement de la dose de lévothyroxine peut être nécessaire.
+ Agents pour perdre du poids (dont orlistat)
En association avec certains agents diminuant le poids, comme orlistat, il peut y avoir une diminution du contrôle de l'hypothyroïdie. Cela est dû à la diminution de l'absorption des sels d'iode et/ou de la lévothyroxine.Pour éviter cela, la lévothyroxine et les médicaments de l'obésité tels que l'orlisat doivent être administrés à un intervalle d'au moins 4 heures. Une surveillance régulière de la fonction thyroïdienne est requise afin de détecter tout changement.
Interactions affectant la lévothyroxine
+ Propylthiouracile, glucocorticoïdes, propranolol, lithium, iode, agents de contraste oraux et bêtabloquants :
Ces substances inhibent la conversion de T4 en T3 et diminuent donc également l'effet thérapeutique.
+ Amiodarone et produits de contraste iodés :
En raison de leur forte teneur en iode, les produits de contraste peuvent déclencher une hyperthyroïdie comme une hypothyroïdie. La prudence est de rigueur chez les patients ayant un goitre nodulaire et peut-être une autonomie non détectée. En raison de cet effet de l'amiodarone sur la fonction thyroïdienne, un ajustement de la dose de lévothyroxine sodique peut être nécessaire.
+ Salicylates, furosémide, clofibrate :
La lévothyroxine peut être déplacée de sa liaison aux protéines plasmatiques par les salicylates, des doses élevées (250 mg) de furosémide, clofibrate, d'autres substances. Cela conduit à une augmentation du taux plasmatique de thyroxine libre (fT4).
+ Anticonvulsivants:
Les anticonvulsivants, comme la carbamazépine et la phénytoïne, renforcent le métabolisme des hormones thyroïdiennes et peut les déplacer de leur liaison aux protéines plasmatiques. L'instauration ou l'interruption d'un traitement anticonvulsivant peut altérer les besoins posologiques de lévothyroxine sodique.
+ Contraceptifs à base d'strogène, médicaments utilisés dans l'hormonothérapie substitutive après la ménopause :
Les besoins en lévothyroxine peuvent augmenter pendant la prise de contraceptifs à base d'strogène ou pendant l'hormonothérapie substitutive après la ménopause.
+ Statines :
Il est fait état que certains inhibiteurs de la HMG-CoA reductase (statines), comme la simvastatine et la lovastatine, peuvent augmenter les besoins en hormone thyroïdienne chez les patients recevant un traitement par lévothyroxine. On ne sait pas si cela se produit avec toutes les statines. Il peut s'avérer nécessaire de surveiller étroitement la fonction thyroïdienne et de procéder à des ajustements appropriés de la posologie de la lévothyroxine lorsque la lévothyroxine et des statines sont prescrites conjointement.
+ Sertraline, chloroquine/proguanil :
Ces substances réduisent l'efficacité de la lévothyroxine et augmentent le taux sérique de TSH.
+ Inhibiteurs de la tyrosine kinase :
Le traitement par inhibiteurs de la tyrosine kinase (par ex., imatinib et sunitinib) a été associé à une augmentation des besoins posologiques de lévothyroxine chez les patients souffrant d'hypothyroïdie.
+ Médicaments inducteurs enzymatiques :
Les barbituriques, la rifampicine et d'autres médicaments ayant des propriétés d'inducteur enzymatique au niveau du foie peuvent augmenter la clairance hépatique de la lévothyroxine.
+ Inhibiteurs de protéase :
Il a été rapporté que la lévothyroxine perdait de son effet thérapeutique en cas d'administration conjointe avec du lopinavir/ritonavir. Par conséquent, il convient de surveiller étroitement les symptômes cliniques et la fonction thyroïdienne chez les patients qui prennent conjointement des inhibiteurs de la protéase et de la lévothyroxine.
La méthadone, et le 5-fluorouracile peuvent augmenter la concentration sérique de la globuline liant la lévothyroxine, et donc augmenter les besoins posologiques de la lévothyroxine.
Interactions affectant les autres médicaments
+ Antidiabétiques :
La lévothyroxine peut réduire l'effet antihyperglycémiant des antidiabétiques. La glycémie doit par conséquent être surveillée régulièrement chez les patients diabétiques, en particulier au début de l'hormonothérapie thyroïdienne. La dose d'antihyperglycémiant doit être adaptée si nécessaire. La diminution de la dose de lévothyroxine peut provoquer une hypoglycémie si la dose d'insuline ou des antibiotiques oraux demeure inchangée.
+ Dérivés coumariniques :
La lévothyroxine peut potentialiser l'effet des dérivés coumariniques en raison du déplacement de la liaison aux protéines plasmatiques. En cas de traitement concomitant, une surveillance régulière de la coagulation sanguine est par conséquent requise, et la posologie de l'anticoagulant doit être ajustée si nécessaire (réduction de la dose).
+ Préparations digitaliques
Si le traitement par la lévothyroxine est instauré chez un patient sous digitaline, la dose de digitaline peut nécessiter un ajustement. Chez les patients atteints d'hyperthyroïdie, il peut être nécessaire d'augmenter progressivement la dose de digoxine au fur et à mesure du traitement car initialement les patients sont assez sensibles à la digoxine.
+ Antidépresseurs tricycliques
La lévothyroxine augmente la sensibilité des récepteurs aux catécholamines, accélérant ainsi la réponse aux antidépresseurs tricycliques (par ex. amitriptyline, imipramine).
Agents sympathicomimétiques
Les effets des agents sympathicomimétiques (comme l'adrénaline) sont renforcés.
+ Phénytoïne
Les taux de phénytoïne peuvent être augmentés par la lévothyroxine.
Interactions avec les analyses biologiques
Plusieurs médicaments peuvent diminuer la concentration sérique de la globuline liant la lévothyroxine et donc diminuer les besoins posologiques de la lévothyroxine, notamment les androgènes et les stéroïdes anabolisants.
Des concentrations plasmatiques faussement basses ont été observées avec un traitement anti-inflammatoire concomitant, comme le phénylbutazone ou de l'acide acétylsalicylique, et un traitement par lévothyroxine. L'administration conjointe d'acide acétylsalicylique et de lévothyroxine entraîne une augmentation transitoire des taux sériques de T4 libres. L'administration continue résulte en des concentrations normales de T4 libres et de TSH, et les patients deviennent donc cliniquement euthyroïdiens.
Analogues en Russie
таб.:
100 мкг, 125 мкг, 150 мкг, 50 мкг, 75 мкг
таб.:
50 мкг, 100 мкг, 150 мкг
таб.:
125 мкг, 25 мкг, 50 мкг, 75 мкг, 88 мкг, 112 мкг, 137 мкг
Analogues en France
solution injectable:
0,2 mg
comprimé:
0,1 mg, 100 microgrammes, 125 microgrammes, 150 microgrammes, 175 microgrammes, 200 microgrammes, 25 microgrammes, 50 microgrammes, 75 microgrammes
solution buvable en gouttes:
150 microgrammes
comprimé:
100 microgrammes, 112 microgrammes, 125 microgrammes, 137 microgrammes, 150 microgrammes, 175 microgrammes, 200 microgrammes, 25 microgrammes, 50 microgrammes, 75 microgrammes, 88 microgrammes
solution buvable:
100 microgrammes, 25 microgrammes, 50 microgrammes
comprimé:
100 microgrammes, 125 microgrammes, 150 microgrammes, 175 microgrammes, 200 microgrammes, 25 microgrammes, 50 microgrammes, 75 microgrammes
capsule molle:
100 microgrammes, 112 microgrammes, 125 microgrammes, 13 microgrammes, 137 microgrammes, 150 microgrammes, 175 microgrammes, 200 microgrammes, 25 microgrammes, 50 microgrammes, 75 microgrammes, 88 microgrammes
comprimé:
100 microgrammes, 112 microgrammes, 125 microgrammes, 137 microgrammes, 150 microgrammes, 175 microgrammes, 200 microgrammes, 25 microgrammes, 50 microgrammes, 75 microgrammes, 88 microgrammes
comprimé:
100 microgrammes